Au nouvel an, étrennes aux enfants.
En bonne année le grain est du foin ; en mauvaise année la paille est en grain.
Au nouvel an, les jours croissent du pas d'un enfant.
S'il pleut à la nouvelle année, le laboureur n'aura guère de denrées.
Au Nouvel An, les jours s'allongent du pet d'une jument.
Santé au nouvel an, c'est en donner abondamment.
Gel et soleil au nouvel an, présage de bon printemps.
Quand le soleil brille le jour de l'an, c'est signe de gland.
Au jour de l'an les jours croissent du repas d'un coq.
Le jour, quand vient l'an neuf, croît du repas d'un bœuf.
Nuit du nouvel an sereine, signe d'une année pleine.
À l'an neuf, le jour augmente d'un pas de bœuf.
Pour les âmes encore jeunes, les approches du nouvel an ramènent en foule les impressions heureuses : ce sont les hirondelles de décembre.
Au nouvel an claire journée nous annonce une bonne année.
Beau jour de l'an, beau mois d'août.
Le mauvais an entre en nageant.
Le vent dominant au jour de l'an existe la moitié de l'an.
C'est une ingrate journée que le jour de l'an des villes : on s'y agite en visites, on s'y fatigue en compliments, on s'y consume en riens laborieux.
Il est aussi difficile de lire dans la physionomie d'un nouvel an que dans le visage d'un nouveau-né.
Nuit de nouvel An sereine, signe d'une année pleine.
Au premier de l'an, fais deux crêpes pour avoir de l'argent.
Depuis que pour nous le jour luit, un an succède à l'an qui suit.
Calme et claire nuit de l'an, à bonne année donne l'élan.
Jour de l'an beau, mois d'août très chaud.
L'an passé est toujours le meilleur.
De Saint-Paul la claire journée, nous dénote une bonne année.
Quand il pleut le jour de l'An, les blés déclinent jusqu'à la moisson.
An de nouveau, tous nous est beau.
En bonne année et mauvaise, venez toujours le ventre à l'aise.
Nuit du Nouvel An étoilée, promet une bonne année.
Vent qui souffle à la sortie de la messe de minuit, dominera l'an qui suit.