Les citations célèbres d'Alphonse de Lamartine.

1 - Notre citation favorite d'Alphonse de Lamartine :

Photo de Alphonse de Lamartine La poésie c'est ce que l'homme a de plus divin dans la pensée ; de ce que la nature visible a de plus magnifique dans les images et de plus mélodieux dans les sons ! C'est à la fois sentiment et sensation, esprit et matière, et voilà pourquoi c'est la langue complète, la langue par excellence qui saisit l'homme par son humanité tout entière, idée pour l'esprit, sentiment pour l'âme, image pour l'imagination, et musique pour l'oreille, a écrit Alphonse de Lamartine. (Extrait : Des destinées de la poésie, écrit en 1834.) Autre citation d'Alphonse de Lamartine : Borné dans sa nature, infini dans ses vœux, l'homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux : soit que, déshérité de son antique gloire, de ses destins perdus il garde la mémoire, soit que de ses désirs l'immense profondeur lui présage de loin sa future grandeur. Imparfait ou déchu, l'homme est le grand mystère, dans la prison des sens, enchaîné sur la terre, esclave, il sent un cœur né pour la liberté ; il veut sonder le monde et son œil est débile ; il veut aimer toujours : ce qu'il aime est fragile ! (Extrait : L'homme, les Méditations poétiques publiées en 1820)
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2 - Les pensées et citations célèbres d'Alphonse de Lamartine :

La colère consume et n'illumine pas.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Le paresseux s'assied, l'impatient devance.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Élargissez, mortels, vos âmes rétrécies !

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Dieu fit l'esprit sans bornes pour comprendre.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

L'égoïsme et la haine ont seuls une patrie, la fraternité n'en a pas !

Alphonse de Lamartine - La Marseillaise de la paix, le 28 mai 1841.

Le flambeau de l'étude éclaire la raison.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La retraite (1820)

Aime mon âme ! elle sera avec toi toute ta vie.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Il y a toujours au fond de mon cœur une larme qui filtre goutte à goutte.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

L'homme ne connaît le vrai bonheur qu'après l'avoir perdu !

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Il y a plus de génie dans une larme que dans tous les musées.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

C'est peu de croire en toi, bonté, beauté suprême, je te cherche partout, j'aspire à toi, je t'aime.

Alphonse de Lamartine - La prière, Méditation XIX (1820)

Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges, jeter l'ancre un seul jour ?

Alphonse de Lamartine - Lac, Méditation XIV (1820)

Malheur aux lâches ! on n'est jamais cruel que faute d'être assez courageux.

Alphonse de Lamartine - Histoire de la Restauration, LV (1851)

Le geste aide le mot, l'œil explique le cœur.

Alphonse de Lamartine - Jocelyn, le 20 septembre 1793.

Ce monde est une énigme : heureux qui la devine !

Alphonse de Lamartine - Réflexion, Poésies diverses (1832)

Malheur à qui l'épargne, insensé qui le pleure ; le temps est ton navire et non pas ta demeure.

Alphonse de Lamartine - Réflexion, Poésies diverses (1832)

Tous les temps n'ont qu'un jour à qui n'a qu'une idée, celui qui vit en toi date en éternité !

Alphonse de Lamartine - XIIIe Harmonie, Le solitaire (1830)

Les anges amoureux se parlent sans parole, comme les yeux aux yeux.

Alphonse de Lamartine - Chant d'amour, Méditation LIV - Naples 1822.

Ici-bas, la douleur à la douleur s'enchaîne, le jour succède au jour, et la peine à la peine.

Alphonse de Lamartine - L'homme (1815-1820)

J'ai passé l'âge heureux où la fleur de la vie, l'amour, s'épanouit et parfume le cœur.

Alphonse de Lamartine - À une jeune arabe (1832)

Il y a des amitiés foudroyantes qui fondent les âmes d'un seul éclair.

Alphonse de Lamartine - Cours familier de littérature (1856)

Malheur à vous qui dès l'aurore respirez les parfums du vin ! Et que le soir retrouve encore chancelants aux bords du festin !

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La poésie sacrée (1820)

Mes jours fondent comme la neige au souffle du courroux divin ; mon espérance, qu'il abrège, s'enfuit comme l'eau de ma main.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La poésie sacrée (1820)

Le désir et l'amour sont les ailes de l'âme.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

C'est la langue du ciel que parle la prière, et que le tendre amour comprend seul sur la terre.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

Vouloir c'est faire, exister c'est produire !

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

La critique est la puissance des impuissants.

Alphonse de Lamartine - Harmonies poétiques et religieuses (1830)

Un travail est fini, un autre aussitôt commence.

Alphonse de Lamartine - Jocelyn, le 16 mai 1801.

Aimons-nous ! car partout où Dieu mit deux coeurs, s'aimer est doux !

Alphonse de Lamartine - Jocelyn, le 12 octobre 1800.

Mon âme est un rayon de lumière et d'amour, qui du foyer divin détaché pour un jour, de désirs dévorants loin de toi consumée, brûle de remonter à sa source enflammée.

Alphonse de Lamartine - La prière, Méditation XIX (1820)

L'amour est un enfant capricieux.

Alphonse de Lamartine - La chute d'un ange (1838)

L'honnêteté, quand elle est vendue et achetée, devient déshonnête.

Alphonse de Lamartine - Histoire des Constituants (1853)

La poésie est la langue de tous les âges de l'humanité, naïve et simple au berceau des nations, conteuse et merveilleuse comme la nourrice au chevet de l'enfant.

Alphonse de Lamartine - Des destinées de la poésie (1834)

La poésie c'est l'incarnation de ce que l'homme a de plus intime dans le cœur.

Alphonse de Lamartine - Des destinées de la poésie (1834)

Religion, politique, philosophie, systèmes, l'homme a prononcé sur tout, il s'est trompé sur tout ; il a cru tout définitif, et tout s'est modifié ; tout immortel, et tout a péri ; tout véritable, et tout a menti !

Alphonse de Lamartine - Des destinées de la poésie (1834)

L'homme n'a rien de plus inconnu autour de lui que l'homme même.

Alphonse de Lamartine - Des destinées de la poésie (1834)

Étendre son esprit, resserrer ses désirs, c'est là ce grand secret ignoré du vulgaire.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La retraite (1820)

Empire, gloire, liberté, tout est par le temps emporté.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La retraite (1820)

Quel crime avons-nous fait pour mériter de naître ?

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Le désespoir (1820)

Les yeux sur mon tombeau, je pleure sur moi-même.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

Le jour du bonheur n'a pas de lendemain.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

J'en jure par la mort, dans un monde pareil : non, je ne voudrais pas rajeunir d'un soleil, je ne veux pas d'un monde où tout change, où tout passe, où tout s'use et tout s'efface.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

J'ai vécu ; j'ai passé ce désert de la vie, où toujours sous mes pas chaque fleur s'est flétrie.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

L'univers est le temple, et la terre est l'autel.

Alphonse de Lamartine - La prière, Méditation XIX (1820)

Il y a deux sortes de révolutions : les révolutions en arrière et les révolutions en avant. Révolutions pour révolutions, il vaut mieux servir celles de l'avenir ; car si l'avenir a des illusions, sans doute comme toute chose humaine, le passé n'a que des ruines.

Alphonse de Lamartine - Les pensées diverses (1869)

La douleur lentement m'entr'ouvre le tombeau : Salut, mon dernier jour ! sois mon jour le plus beau !

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

L'homme est comme l'arbre qu'on secoue pour en faire tomber ses fruits : On n'ébranle jamais l'homme sans qu'il en tombe des pleurs.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

La prédestination de l'enfant, c'est la maison où il est né.

Alphonse de Lamartine - Confidences (1849)

Cher amour, épanche ta douleur ; j'adoucirai ta peine en écoutant ta plainte.

Alphonse de Lamartine - Méditation XLI, À Elvire (1820)

Tout un monde d'amour éclos dans un regard.

Alphonse de Lamartine - La chute d'un ange, XII vision (1838)

L'or qu'au plaisir le riche apporte, ne fait que glisser dans sa main ; le pauvre qui veille à la porte, attend les miettes de ce pain.

Alphonse de Lamartine - Pour une quête (1830)

Le plaisir est une prière et l'aumône une volupté.

Alphonse de Lamartine - Pour une quête (1830)

Ignorant d'où je viens, incertain où je vais.

Alphonse de Lamartine - L'homme, Méditations poétiques (1820)

Aimer, prier, chanter, voilà toute ma vie.

Alphonse de Lamartine - Le poète mourant (1815-1820)

Celui qui sait attendrir sait tout.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Nous n'avons à nous que le jour d'aujourd'hui !

Alphonse de Lamartine - L'homme (1815-1820)

Ta jeune et brillante image, que le regret vient embellir, dans mon sein ne saurait vieillir comme l'âme, elle n'a point d'âge.

Alphonse de Lamartine - Souvenir (1815-1820)
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