La bouche qui parle trop vite fait perdre la confiance.
Les ouvrages de femmes sont sans fin.
La mort dans la jeunesse est un naufrage.
Deux yeux qui voient ne valent pas une main qui palpe.
Les compagnons de table sont faciles à trouver, mais rares sont les compagnons de mort.
Dix langues qui affirment ne valent pas deux yeux qui voient.
Qui sème le silence récolte la paix.
Celui qui est sous le ciel, comment peut-il craindre la pluie ?
Si vous montez à terre, vous rencontrez le tigre ; si vous descendez dans une barque, vous rencontrez le crocodile.
Le travail est la source de tous les biens.
Le riz qui est dans ton grenier est ton ennemi, il excite la jalousie de ceux qui n'en ont pas.
Le savoir-faire ne vaut pas l'expérience, dix gendres ne valent pas un beau-père.
Le vieux buffle n'aime que l'herbe tendre.
Quand on agit, il faut y mettre tout son cœur et ne pas se retourner, même si l'aimée vous chatouille les côtes mille fois.
Pour juger d'un éléphant, il faut regarder sa queue ; pour une jeune fille, il faut voir sa mère.
Une seule bûche ne peut faire un feu.
Un seul poisson pourrit tout un panier.
Quand l'eau baisse, les fourmis mangent les poissons ; quand l'eau monte, les poissons mangent les fourmis.
Le pied de l'éléphant ferme le bec de l'oiseau.
Si un chien vous mord, ne mordez pas le chien.
Laisse le sage détruire un ennemi par un autre ennemi, une épine par une épine.
Supportons la boue pour manger les anguilles.
Il faut enfiler lentement l'aiguille dont le chas est petit.
N'étale pas tes entrailles pour que les corbeaux s'en repaissent.
Les pieds trop agiles font tomber de l'arbre.
Tel est courageux au village qui est peureux en forêt.
Neuf patiences et neuf persévérances feront obtenir des barres d'or.
Les rayures de l'homme sont à l'intérieur, celles du tigre sont au dehors.
Les fruits ne tombent pas loin de l'arbre.
L'or qui tombe à terre ne se ternit pas.
Comme il y a du poisson dans l'eau, il y a du riz dans les rizières.