Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Samuel Richardson

Quelques mots sur l'auteur :

Photo de Samuel RichardsonCélèbre romancier et écrivain anglais né le 19 août 1689 dans le comté de Derby, Samuel Richardson est décédé le 4 juillet 1761 à Londres. Il meurt à l'âge de 71 ans d'une attaque d'apoplexie, Richardson repose auprès de sa première femme dans l'église Saint-Bride à Londres. Pour de plus amples informations, lisez sa biographie sur Wikipédia.

Les 87 pensées et citations de Samuel Richardson :

Un malheur ne vient jamais seul.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Que chacun s'habille à sa taille et se chausse à son pied.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Quelquefois la solitude fait mes uniques délices. Que le majestueux silence de la nuit, le spectacle du ciel étoilé, celui du lever ou du coucher du soleil, disposent à la méditation !

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Je sais que si vous me raillez quelquefois sur mes airs graves, c'est sûrement dans la vue de faire entrer quelque rayon de gaieté dans mon âme au milieu de mes infortunes, et que votre badinage ne va point jusqu'au mépris. Il n'est pas donné à tout le monde d'avoir le talent d'offrir des leçons sérieuses et importantes avec un art heureux qui sait plaire et instruire à la fois.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Le diable, bien rusé qu'il est, a appris à cacher ses cornes.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

La plupart des peines, qui sont le partage des pauvres mortels, viennent ou de l'excès de leurs désirs ou des bornes trop étroites de leurs perfections.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Quelque chose qui puisse arriver, le temps et la patience triomphent de tout.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Quand les criminels s'obstinent à nier, on les torture jusqu'à ce qu'ils jasent.

Samuel Richardson - Pamela, ou la vertu récompensée (1740)

Un homme qui se noie s'attachera à une paille.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Les fées, dit-on, sont toujours prêtes à servir les amants.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

La sensibilité est la source des doux plaisirs.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

En ce monde, hélas ! il y a beaucoup de gens à deux faces.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Sous un air de douceur il y a parfois beaucoup de venin caché dans les moindres paroles.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

J'ai peu de demandes pour moi-même, beaucoup plus pour d'autres.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Une personne artificieuse ensorcelle son monde par des manières flatteuses et insinuantes.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

La résistance enflamme les désirs, elle aiguise les traits de l'amour et attise ses feux.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Les différents entre deux personnes qui s'aiment deviennent une raison de s'aimer davantage.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Quand un criminel ne veut pas parler, on le met en presse jusqu'à ce qu'il meure.

Samuel Richardson - Pamela, ou la vertu récompensée (1740)

La vie n'est plus vie pour moi sans vous.

Samuel Richardson - Pamela, ou la vertu récompensée (1740)

Quand on a à faire les choses, il faut les faire de bonne grâce.

Samuel Richardson - Pamela, ou la vertu récompensée (1740)

Mon honneur m'est plus cher que la vie.

Samuel Richardson - Pamela, ou la vertu récompensée (1740)

Le peuple met son orgueil et sa principale gloire dans la probité. Les grands sont livrés à l'amour du pouvoir des grandeurs, des plaisirs, et leur ambition forge une sorte d'orgueil suprême et faux, qui n'engloutit que trop souvent l'orgueil de la vertu.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Il faut éviter de se laisser surprendre dans un état où l'on serait fâché qu'on nous vît.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Souvent une seconde querelle arrive avant que la première soit terminée, et c'est si bien notre usage, qu'il n'est pas aisé de juger quel sera le succès de nos amours.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Les femmes ne savent pas jurer, elles ne savent que maudire.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Une femme, une fois subjuguée, elle l'est pour toujours.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Il en est de certains génies comme de certains fruits qui ne mûrissent que trop tard.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Tel je te vois, tel je te crois !

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Les enfants ne sont que trop portés à oublier le respect dû à la vénérable vieillesse.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

Les larmes sont toujours la marque d'un bon cœur.

Samuel Richardson - Clarissa Harlowe (1748)

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