Les citations célèbres d'Alphonse Karr.

1 - Nos citations favorites d'Alphonse Karr :

Photo / portrait d'Alphonse Karr La femme qui aime et l'homme amoureux sont réellement plus beaux tous les deux. Il est des oiseaux qui ne chantent et qui ne revêtent certaines couleurs éclatantes qu'à l'époque de leurs amours : le feuillage et les fleurs sont la parure des noces de la terre amoureuse fécondée par le soleil ; les fleurs elles-mêmes ne brillent de tout leur éclat et n'exhalent leurs plus suaves parfums qu'au moment où les petites nymphes et les petits gnomes qui les habitent s'aiment et se le disent sous les belles courtines de saphir, de pourpre ou de topaze que forment leurs riches pétales, a écrit Alphonse Karr. (Extrait : L'esprit d'Alphonse Karr, publié en 1888.) Autre citation d'Alphonse Karr : L'amour, la seule passion qui cherche son bonheur dans celui d'un autre. (Extrait : Encore les femmes, livre publié en 1858.)
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2 - Les pensées et citations célèbres d'Alphonse Karr :

Il y a plus de joie au ciel pour un pécheur qui se repent que pour dix justes qui restent dans la bonne voie.

Alphonse Karr - Encore les femmes (1858)

À 75 ans une femme ne meurt pas parce qu'elle est vieille, mais parce qu'on ne l'amuse plus.

Alphonse Karr - Les soirées de Sainte-Adresse (1853)

ll faut faire l'amour comme on mange du poisson, ne pas avaler les arêtes.

Alphonse Karr - La Pénelope normande, le 13 janvier 1860.

On ne mange de bon appétit que le fruit défendu.

Alphonse Karr - À l'encre verte (1881)

Il faut bien aimer les femmes pour ne pas les détester !

Alphonse Karr - Raoul Desloges (1851)

Il est permis de se moquer de l'orgueil, mais ce serait un grand malheur de décourager les orgueilleux.

Alphonse Karr - Sous les orangers (1848)

Il faut tant aimer une femme pour découvrir qu'elle est fâchée, quand sa délicatesse l'empêche de se plaindre !

Alphonse Karr - Agathe et Cécile (1853)

La jeunesse, c'est l'âge le plus heureux, c'est celui où l'homme vit le plus à la fois.

Alphonse Karr - Les soirées de Sainte-Adresse (1853)

Un homme amoureux fait, au moment de nouer un tendre lien, toutes sortes d'imprudences.

Alphonse Karr - Les proverbes, Un mélodrame (1852)

Cachez votre bonheur, soyez heureux tout bas.

Alphonse Karr - Les proverbes, Un mélodrame (1852)

Si l'on ne veut devenir haineux et méchant, il ne faut rien être dans ce pays d'envieux.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

La jalousie est un mélange de l'amour, de la haine, de l'avarice et de l'orgueil.

Alphonse Karr - Clothilde (1839)

L'amour naît d'un regard, et meurt dans une larme.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

L'amour vit d'illusions qu'il ne faut pas briser au rude contact de la réalité.

Alphonse Karr - Brillat le menuisier (1859)

La fatigue physique est le meilleur remède aux peines de l'âme et aux anxiétés de l'esprit.

Alphonse Karr - Devant les tisons (1853)

Il y a dans la vie des carrefours où les meilleurs amis se séparent.

Alphonse Karr - Clovis Gosselin (1851)

Amour, mariage et famille, charmantes choses qui occupent l'esprit d'une belle jeune femme.

Alphonse Karr - Brillat le menuisier (1859)

La musique commence où la poésie finit.

Alphonse Karr - Midi à quatorze heures (1842)

Il n'y a de véritables amitiés que celles dont l'origine est oubliée.

Alphonse Karr - Feu Bressier (1844)

L'espérance et le souvenir ont le même charme et le même prestige : c'est l'éloignement.

Alphonse Karr - Les soirées de Sainte-Adresse (1853)

La timidité est une sentinelle avancée de la pudeur.

Alphonse Karr - Au soleil (1890)

La pudeur est la gardienne non seulement de l'honneur, mais aussi du charme.

Alphonse Karr - Au soleil (1890)

La pudeur est la plus sûre des coquetteries.

Alphonse Karr - Encore les femmes (1858)

Par la lecture, on s'absente de soi-même et de sa propre vie.

Alphonse Karr - Plus ça change (1875)

Le langage de l'amour a une si douce musique qu'on n'est pas exigeant pour les paroles.

Alphonse Karr - En fumant (1861)

L'amour, c'est le parfum de l'âme qui s'épanouit.

Alphonse Karr - Encore les femmes (1858)

La femme est un animal qui s'habille, babille et se déshabille.

Alphonse Karr - Crédo du jardinier (1875)

L'amour crée la beauté, l'amour met de l'expression dans le regard.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

En amour, quand deux yeux se rencontrent, ils se tutoient.

Alphonse Karr - Geneviève (1860)

II y a des choses bien au-dessus de l'argent que l'argent ne peut nous atteindre que de loin.

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

Deux amants silencieux sont semblables à deux harpes montées au même diapason, toujours prêtes, au moindre contact, à confondre leur voix en une céleste harmonie.

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

Je ne crains que ceux que j'aime, mais je les crains diantrement.

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

La femme doit attendre qu'on l'invite à l'amour, comme au bal !

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

Il y a quelque chose de pire que les vices, ce sont les fausses vertus.

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

Tu m'aimes, je t'aime, je ne vis que par toi et pour toi.

Alphonse Karr - Einerley (1838)

C'est ma part de bonheur dans la vie que je vais confier à ton cœur : Je t'aime.

Alphonse Karr - Geneviève (1860)

Je suis borgne, mais l'ennemi est aveugle.

Alphonse Karr - Les fleurs animées (1847)

Les rudes épreuves de la vie ne payent pas trop cher une heure d'amour.

Alphonse Karr - Clothilde (1839)

Chaque femme est sa propre poupée, qu'elle habille et arrange.

Alphonse Karr - Encore les femmes (1858)

Un médecin combat les effets d'une maladie en recherchant les causes.

Alphonse Karr - Une poignée de vérités (1858)

L'amour est la plus terrible et la plus honnête des passions, c'est la seule qui ne puisse s'occuper de son bonheur sans y comprendre le bonheur d'un autre.

Alphonse Karr - Promenade hors de mon jardin (1856)

Le sort est un grand poète comique qui se donne parfois à lui-même de singulières représentations aux dépens des vanités humaines.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

On demande en général à la vie plus qu'elle ne renferme ; nous sommes accoutumés à mettre notre bonheur dans des choses impossibles, et notre malheur dans des choses inévitables.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

L'amitié n'existe pas plus entre deux femmes qu'entre deux épiciers domiciliés en face l'un de l'autre.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

La lecture est un moment favorable pour s'absenter, vivre avec les grands morts et relire les anciens.

Alphonse Karr - Le règne des champignons (1885)

Le vulgaire croit que la beauté est la mère de l'amour, c'est l'amour au contraire qui crée la beauté.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

L'amour est l'origine, la cause et le but de tout ce qu'il y a de grand, de beau et de noble.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

L'amour, dans le mariage, serait l'accomplissement d'un beau rêve, s'il n'en était trop souvent la fin.

Alphonse Karr - Promenade hors de mon jardin (1856)

La gaieté, le rire, la raillerie, c'est la force des Français.

Alphonse Karr - Au soleil (1890)

Je t'aime de l'amour le plus passionné, le plus ardent.

Alphonse Karr - Geneviève (1860)

Quand on invente, on sait bien s'arranger pour donner aux choses un air de vraisemblance, mais la vérité n'y fait pas tant de façon ; elle ne fait aucun frais pour être crue, ces soins minutieux sont bons pour le mensonge.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

Faites-vous belle, c'est un devoir pour les femmes ; il est si doux de vous voir ; les femmes n'ont pas le droit de nous priver du bonheur de les admirer, elles n'ont pas le droit de ne pas être belles.

Alphonse Karr - Une heure trop tard (1833)

Il n'y a de jolis enfants que ceux dont on est le père.

Alphonse Karr - Une heure trop tard (1833)

Résigne-toi à la vie dans laquelle le hasard t'a mis ; livre-toi aux plaisirs, faute de bonheur.

Alphonse Karr - Une heure trop tard (1833)

Ton petit cœur vif et léger n'est pas fait pour le mien : l'amour pour toi, c'est un plaisir ; pour moi, c'est la vie !

Alphonse Karr - Sous les tilleuls (1832)

La femme qui dit à un homme qu'elle l'aime, et qui refuse de le lui écrire, se réserve les moyens de l'abandonner et de le trahir plus tard ; c'est plus qu'un parjure, c'est un faux serment.

Alphonse Karr - Sous les tilleuls (1832)

Autant les femmes sont discrètes sur l'amour qu'elles ont couronné, autant elles aiment à parler de celui qu'elles n'ont pas partagé.

Alphonse Karr - Sous les tilleuls (1832)

Il y a dans un adultère beaucoup plus de haine contre le mari que d'amour pour l'amant.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

J'aime la fleur, comme l'oiseau qui chante, et le bleu de vos yeux comme le bleu du ciel.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

Tout homme de courage est homme de parole ; à des vices bas, il ne peut consentir.

Alphonse Karr - Le siècle des microbes (1891)

Quand la femme obéit à ses instincts, ce qu'elle aime le plus dans l'homme, c'est l'audace.

Alphonse Karr - Clothilde (1839)

La plaisanterie, c'est une arme que j'ai choisie avec préméditation.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

S'il faut respecter le bonheur des autres, il faut également traiter le sien avec délicatesse.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

Je t'aime ! je t'aime, mais écoute-moi bien : je t'aime sans restriction.

Alphonse Karr - Les proverbes, Un mélodrame (1852)

Les sots sont un ennemi toujours supérieur en nombre.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

Rien n'arrive dans la vie ni comme on le craint, ni comme on l'espère.

Alphonse Karr - Une poignée de vérités (1858)

Le bon sens réunit tout d'abord la majorité, mais contre lui.

Alphonse Karr - En fumant (1861)

Une femme aime moins son amant pour l'esprit qu'il a que pour l'esprit qu'on lui trouve.

Alphonse Karr - En fumant (1861)

La poésie ne sait parler du bonheur que lorsqu'il est absent, perdu ou passé.

Alphonse Karr - En fumant (1861)

Les injures sont humiliantes pour celui qui les dit, quand elles n'humilient pas celui qui les reçoit.

Alphonse Karr - En fumant (1861)

En politique, plus ça change, plus c'est la même chose.

Alphonse Karr - En fumant (1861)

L'erreur a ses martyrs comme la vérité.

Alphonse Karr - Une poignée de vérités (1858)

La vérité est le nom que les plus forts donnent à leur opinion.

Alphonse Karr - Une poignée de vérités (1858)

Beaucoup de femmes ne s'aperçoivent pas qu'une noble simplicité à beaucoup de succès.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

J'ai fait pendant quinze ans une guerre assez rude, non seulement aux vices, mais aux vicieux ; non seulement à l'absurdité, mais aux sots ; — mais, en ce temps-là, je n'étais jamais à plus de soixante lieues de ceux que j'attaquais, et au besoin je faisais au moins la moitié du chemin pour demander pardon d'une erreur ou la rectifier, ou pour maintenir une vérité et la soutenir.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

Les envieux égoïstes s'efforcent d'étouffer et de cacher le bien fait par autrui.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

Avec de l'imagination, on peut adorer une femme ; il n'est pas aussi facile de l'aimer.

Alphonse Karr - Vendredi soir (1835)

Les femmes qui sont le plus justement heureuses et fières de leur beauté sont trompées en moins par leur miroir. Jamais elles ne sauront tout ce qu'un homme amoureux leur ajoute de charmes qui ne sont visibles que pour lui.

Alphonse Karr - Une poignée de vérités (1858)

Je vois bien que l'homme perfectionne tout autour de lui, mais je ne vois pas qu'il se perfectionne lui-même.

Alphonse Karr - Une poignée de vérités (1858)

Une femme sage reste sage quelquefois, par cela seul qu'elle l'a été longtemps.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

On n'aurait guère de vices si on n'avait que les siens. Tel vice, tel défaut, est parfois l’exagération, l'exaspération d'une vertu ou d'une qualité, ou du moins en est la doublure.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

Le bonheur n'est pas une rose bleue, le bonheur est l'herbe des pelouses, le liseron des champs, le rosier des haies, un mot, un chant, n'importe quoi.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

Le marchand de vin qui vend du jus de sureau pour du jus de raisin est aussi coupable, et coupable du même crime, que le consommateur qui le paierait avec une pièce de plomb qu'il ferait passer pour une pièce d'argent.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

Le bon laboureur est l'égal d'un grand poète et d'un grand homme d'État ; mais un poète médiocre et un brouillon ou un parvenu sans talents ne sont pas du tout les égaux d'un bon laboureur.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

La politique turbulente qui, depuis bientôt un siècle, fait que nous nous jetons tantôt à droite, tantôt à gauche, cause au vaisseau un roulis qui l'empêche d'avancer et de « gouverner », et donne des nausées aux passagers, en attendant qu'elle fasse chavirer et couler le bâtiment.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

Il n'y a rien qui ne lui paie un tribut de joie, rien qui, pour un enfant, ne soit un jouet. Les papillons dans l'air, les bleuets dans les blés, le sable des rivages, la luzerne des champs, les allées vertes des bois, tout lui donne des plaisirs, tout lui promet tout bas des bonheurs mystérieux.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

L'amour est une chasse où le chasseur doit se faire poursuivre par le gibier.

Alphonse Karr - La Pénelope normande, le 13 janvier 1860.

On en est arrivé, par haine de l'esprit, à appeler esprit l'absence de bon sens, et à appeler bon sens l'absence d'esprit.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

Une femme dans un salon est une fleur dans un bouquet ; chez elle, elle est tout le bouquet.

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

La mélancolie est la chaîne qui lie la fin de l'homme à son commencement.

Alphonse Karr - Les fleurs animées (1847)

L'amour, le véritable amour purifie tout comme le feu.

Alphonse Karr - Encore les femmes (1858)

La vanité est l'écume de l'orgueil.

Alphonse Karr - En fumant (1861)

Relativement aux femmes et à l'amour, l'homme est bien faible... surtout lorsqu'il est fort.

Alphonse Karr - En fumant (1861)

Ce serait une épouvantable chose que l'avarice, si les avares vivaient toujours.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

Dans la vie commune, une femme doit s'appuyer sur un homme un peu plus grand qu'elle.

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

Le mariage : liaison d'amour ou on se plaint généralement l'un de l'autre.

Alphonse Karr - Encore les femmes (1858)

L'amitié de deux femmes n'est jamais qu'un complot contre une troisième.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

La grâce de la femme est trompeuse et sa bonté n'est que vice

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

La raison désire l'honnête et l'utile ; la vanité et la passion portent au voluptueux et à l'excessif.

Alphonse Karr - La maison de l'ogre (1890)

Il n'y a de grandes passions que les passions malheureuses.

Alphonse Karr - Les guêpes (1839-1849)

Un premier amour trompé met beaucoup d'amertume dans le présent et de défiance dans l'avenir ; une horrible déception, comme un vent brûlant, dessèche, avec les premières fleurs d’une vie, avec les nobles et belles illusions de la jeunesse, les fruits qui devaient succéder aux fleurs.

Alphonse Karr - Feu Bressier (1844)

À moins d'être millionnaire, on n'a pas le moyen d'avoir une femme a soi, on ne peut plus aimer que les femmes des autres, et se faire parasite du bonheur conjugal.

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

L'amour d'une femme est le soleil de l'âme ; il donne la vie et la force.

Alphonse Karr - Sous les tilleuls (1832)

Notre génération s'est perdue par les besoins nouveaux. « Le pain quotidien » s'est tellement compliqué de fricots divers, d'assaisonnements variés, de condiments ruineux ; il se mange dans de telles assiettes, sur de telles tables, dans de tels logis, qu'on ne les conquiert, les uns que par un travail de galérien, et les autres que par la servilité et par le crime ; si bien que ce « pain quotidien », ce n'est plus à Dieu, mais au diable qu'il faut le demander chaque matin.

Alphonse Karr - L'esprit d'Alphonse Karr (1888)

L'amitié des jeunes filles n'est que l'apprentissage de l'amour.

Alphonse Karr - La famille Alain (1848)

Il y a des malheureux imaginaires, comme des malades imaginaires.

Alphonse Karr - La maison de l'ogre (1890)

De toute la vie, de tout ce qu'elle renferme de bonheur et de plaisir, de tout ce qu'elle peut offrir au cœur et à l'esprit, je ne connais rien, rien qu'une femme.

Alphonse Karr - Sous les tilleuls (1832)

Le cœur danse sur des chansons que chante l'espérance.

Alphonse Karr - Sous les tilleuls (1832)

La vie se partage en deux parts : l'espérance et les regrets.

Alphonse Karr - Sous les tilleuls (1832)

Travailler à soixante-dix ans ! Oh ! non, j'aimerais mieux mendier par les rues.

Alphonse Karr - L'histoire d'un pion (1854)

Tout le monde veut avoir un ami, mais personne ne s'occupe d'en être un.

Alphonse Karr - Une vérité par semaine (1852)

Quelque grande que soit la douleur pieuse d'un héritier, elle n'égale pas celle qu'il ressentirait si l'homme dont il pleure la mort revenait à la vie.

Alphonse Karr - Fa Dièze (1834)

Il n'y a que les gens qui aiment qui comprennent les saintes délicatesses de la chasteté.

Alphonse Karr - Sur la plage (1862)

Les vieillards ne doivent pas blâmer tous les plaisirs de la jeunesse, comme un buveur qui casse son verre après avoir bu, ou comme le voyageur égoïste qui trouble l'eau de la source quand il n'a plus soif.

Alphonse Karr - Pensées, maximes et réflexions (1855)

Sans crainte, sans espoir, j'attends ici la mort ; mon tour viendra bientôt !

Alphonse Karr - Raoul Desloges (1851)

Les femmes qui veulent qu'on croie à la pureté de leur liaison d'amitié avec un homme y ajoutent peu de foi quand il s'agit d'autres femmes qu'elles-mêmes, et elles ne répondent que par un sourire d'incrédulité à l'affirmation qu'un homme leur fait qu'il n'a avec une femme de leurs amies qu'une liaison de tendre amitié, dégagée de tout ce qui appartient à l'amour.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)

L'amitié d'homme à femme est une chimère, à moins que l'on ne donne le nom d'amitié à une liaison dans laquelle l'amour est devenu l'accessoire après avoir été le principal.

Alphonse Karr - Les femmes (1853)
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