Découvrez 63 citations, pensées et sentences arabes :
Quand l'homme loyal donne sa parole, il la tient.
Qui n'a pas de frère est manchot.
Ne va pas chercher le francolin dans la grotte du lion.
Rien ne semble beau comme ce qu'on aime.
Ne lance jamais une flèche que tu ne puisses la retrouver.
Celui qui dort ne connaît pas celui qui veille.
La route du mensonge est courte.
Quand on veut faire la route à deux, il faut bien connaître son compagnon.
Les passions violentes et l'agitation continuelle de l'âme affaiblissent le corps.
S'il pleut sur moi, quelques gouttes d'eau tomberont sur vous.
L'âme espère aussi longtemps qu'elle ne sort du corps.
La prière d'un innocent est sans voiles.
Méfie-toi de la louange : elle est à l'usage du flatteur, du menteur qui veut nuire.
Qui va petit à petit arrive au terme de sa course.
Il n'y a pas de rose toujours verte.
Si tu as peur de celui qui commande, épargne celui qui obéit.
Si tu me demandes quel mal tu fais à la fourmi en posant le pied sur elle, je te demanderai quel mal te fait l'éléphant en marchant sur toi !
Voulez-vous chasser loin de vous la concupiscence ? Prenez le chemin de votre atelier lorsque vous sentez ses attaques.
La cruauté est la force des lâches.
C'est un crime de demeurer dans l'oisiveté en attendant le secours destiné aux vrais malheureux, lorsqu'on est soi-même capable de travailler et de faire du bien.
Quand votre esprit fatigué veut se délasser par quelque jeu, usez-en comme du sel dont vous assaisonnez votre viande.
Imitez l'exemple que vous donne la fourmi pendant l'été, si vous désirez vous reposer comme elle pendant l'hiver de votre vie.
Tout chien aboie sur sa porte ; tout lien s'enorgueillit dans sa forêt.
Les biens de ce monde ne nous appartiennent qu'en usufruit ; ce corps n'est qu'un vêtement de louage, cette vie n'est qu'une hôtellerie.
Quand tu auras à te conseiller toi-même, défie-toi du parti où te poussent tes désirs ; car raison et désir sont deux.
Qui veut paraître grand est petit.
Le repentir après la faute ramène à l'état d'innocence.
Nous devons tenir pour parent celui qui nous secoure de ses biens dans la détresse, et non pas celui qui nous touche par le sang et qui nous abandonne.
Le monde malgré sa forme attrayante est rempli de poison comme le corps d'un serpent.
La fortune ravit avec promptitude et violence ce qu'elle semblait nous donner avec plaisir et empressement.