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Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Les meilleures citations de Claude Boiste.

1 — Notre citation préférée de Claude Boiste :

Photo de Claude Boiste Chaque soir, le sommeil vient nous ôter notre fardeau pour nous faire voltiger dans le pays des songes ; puis chaque matin, l'impitoyable nécessité nous le recharge sur les épaules, a écrit Claude Boiste. Et dans son Dictionnaire universel de la langue française, édition de 1835 revue, corrigée et considérablement augmentée par Charles Nodier de l'Académie française, Pierre-Claude-Victor Boiste a écrit : Celui qui aime mieux se faire craindre que se faire aimer doit craindre tous ceux qui ne l'aiment pas.
Thèmes en rapport : #sommeil #fardeau #songes #nécessité #craindre

2 — Les meilleures citations et phrases de Claude Boiste :

Le malheur allonge la vie, le plaisir l'abrège.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le travail sauve de l'ennui.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les mécontents sont souvent moins malheureux qu'ils ne voudraient.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les lois d'exception, toujours odieuses, ne sont qu'un despotisme légal.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'imprévoyance nous perd, la vigilance nous garde.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'homme insensé est un clavecin sans cordes.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les plus hautes dignités sont des piédestaux qui rapetissent les hommes sans mérite.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le mariage entre deux amants éperdus est un contrat passé dans le transport de la fièvre.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La négative est le refuge de l'imbécile ignorance.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Il existe une musique de style, et celui qui ne la possède pas, ne saura jamais écrire.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Il est une fermeté douce qui ressemble à une barre de fer entourée de velours.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

On ne peut s'empêcher de sourire en voyant les médisants et les calomniateurs se tuer à qui mieux mieux.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Si l'on n'est pas toujours maître de tenir sa promesse, on l'est presque toujours de n'en pas faire.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Si les hommes avaient une juste idée de Dieu, ils n'auraient plus besoin de ses représentants.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La philosophie n'applique ses mépris qu'aux choses ; le philosophisme l'applique aux hommes.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le menteur a besoin d'une mémoire exquise.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La plupart des hommes ne sont ni à aimer, ni à haïr, mais juste à supporter.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Qui a deux cordes à son arc se tire d'une mauvaise affaire.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le bien vivre n'a d'autre mobile que le bien mourir.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le plus malheureux des hommes est celui qui fait le plus de malheureux.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le pouvoir absolu sous des formes populaires est le grand œuvre du machiavélisme.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Il n'y a de louanges désirables que celles des hommes louables.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le mariage est une loterie, chacun doit y prendre lui-même son billet.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Il y a des espérances qui ne valent pas mieux qu'un billet perdant de loterie déjà tirée.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les désirs de l'homme sont sans limite, ils ont l'univers pour perspective.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le jeune homme doit s'attacher au vieillard, comme le lierre à l'orme.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le beau parleur aime mieux avoir les mains et les pieds liés que la langue.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Une jeunesse licencieuse ne transmet à la vieillesse qu'un corps usé.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'esprit, comme le corps, a sa lassitude ; il fonctionnera mal si vous ne lui accordez aucun repos.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

On se lasse de plaindre ceux qui se plaignent toujours.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'homme se connaît par sa langue, de même qu'une mauvaise noix à sa légèreté.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Dans l'amour, si l'inconstance donne des plaisirs, la constance seule donne le bonheur.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le malheur est aux lieux qu'on habite, et le bonheur où l'on n'est jamais.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Celui qu'on aime n'a point de défauts, et si l'on vient à le haïr, il n'a plus de vertus.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les insultes sont toujours les raisons de ceux qui ont tort.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Qui ne plaint personne ne mérite pas qu'on le plaigne.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Ne jugeons promptement de personne ni en bien ni en mal.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le despotisme aime l'ignorance qui n'a d'opinion que celle qu'il lui donne.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Ne séparez jamais l'homme que vous jugez des circonstances où il se trouvait.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Nous n'avons pas de plus dangereux flatteurs que nous-mêmes.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les courtisans voient de trop près, le peuple voit de trop loin, les citoyens éclairés se placent au vrai point de vue.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Tout livre est l'art d'un homme, mais la nature est l'art de Dieu.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Ceux qui croient que l'argent fait tout sont sujets à tout faire pour de l'argent.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

On n'aime pas longtemps ceux qu'on n'estime pas.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Laissez parler les médisants, ils se montrent et se font connaître tout seuls.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La vraie connaissance de Dieu est une parfaite ignorance de lui.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Ni le trône, ni le sceptre ne préservent du malheur.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Toute femme qui cède à son amant est une idole renversée.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Toute puissance appuyée sur l'opinion doit suivre ses mouvements ou renverser.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Il est plus facile de renverser que d'élever.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le sage raisonne sur et non pas contre les faits.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le cœur d'une femme est la plus grande des contradictions ; rien n'est plus indéchiffrable que ses sentiments, et la pénétration la plus vive s'égare dans le labyrinthe de ses passions.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les extrêmes se touchent : l'homme réellement supérieur et l'homme vil ne se peuvent offenser.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le médisant, le calomniateur et le traître se proscrivent eux-mêmes, ils sont comme exilés au sein même de leur patrie.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La crainte d'un malheur imaginaire nous précipite quelquefois à la rencontre d'un réel, dont nous pouvons au moins mesurer toute l'étendue, comme on aime mieux voir un danger en face que le sentir derrière soi.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'orgueil vient de Satan, et le pédantisme vient de l'ignorance.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Sans la grandeur d'âme, on ne peut trouver les nuances entre le ton de l'arrogance et celui de la dignité.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le pédantisme, enivré de sa vaine science, est tout bouffi d'arrogance.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Rien de beau que le vrai, mais tout ce qui est vrai n'est pas beau.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La source de la véritable science est dans les faits.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La raillerie n'est presque jamais qu'une méchanceté timide et déguisées.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La cupidité est la ruine de la charité ; la charité est la destruction de la cupidité.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La vanité fait des prodiges de mémoire en racontant sa vie.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les drapeaux des partis sont des linceuls dans lesquels on ensevelit la patrie.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Il y a des gens qui, à force de raconter les mêmes fables, finissent par les croire vraies.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Il faut allier, par un sage tempérament, une force qui retienne les enfants sans les rebuter, et une douceur qui les gagne sans les amollir.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les habits sont des surfaces artificielles, et les hommes s'y arrêtent.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'amabilité ressemble souvent au duvet doux et brillant de fruits durs et amers.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'innocence se prend au piège de l'amour.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Les extases d'une admiration feinte sont un piège auquel se prennent la pudeur, et la femme qu'elle embellissait.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Que de choses, que d'heureux hasards, que de complaisances de la fortune et des hommes il faut pour le bonheur d'un capricieux !

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

De capricieux à capricieux, et de brave à brave malaisément la concorde y règne.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Qui peut dominer les sentiments de son cœur reste maître de ses actions.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Ne vous pressez jamais de publier votre ouvrage : chaque jour amène perfection.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'obéissance est nécessaire dans toute association, même entre des rebelles.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Nos désirs s'étendent à mesure que la fortune les satisfait.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le pressentiment est un messager du destin.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Le vice et la vertu, l'égoïsme et la bonté, font mauvais ménage ensemble.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

L'humeur annonce plus souvent le secret mécontentement de soi-même que des autres.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

La bonne éducation double l'homme ; le bon usage double la fortune.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

Tout homme qui veut dominer sort du rang, et ne se fait que des ennemis.

Pierre-Claude-Victor Boiste - Le dictionnaire universel (1843)

3 — La liste des auteurs populaires :

Le dictionnaire des meilleurs auteurs français et étrangers »
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