Des mots d'amour pour lui écrire que tu es fou d'elle !

1 - Des mots d'amour uniques pour ta belle :

Les mots pour déclarer ton amour Si vous recherchez un petit mot ou bien un joli message d'amour pour une réconciliation après une dispute, ou pour lui déclarer votre flamme, cette rubrique est faite pour vous ! Souvenez-vous de ces mots d'Alfred de Musset Le plaisir des disputes, c'est de faire la paix. Alors, réconciliez-vous ! N'attendez pas que les choses s'enveniment, et faites vous-même le premier pas. Par contre, si vous l'aimez en secret et n'osez lui déclarer votre flamme amoureuse, il est d'autres mots qu'il vous faut garder en mémoire Mieux vaut avoir des remords que des regrets. Autrement dit, mieux vaut regretter un acte tenté plutôt qu'une démarche non effectuée ! Pour résumer : Qui ne tente rien n'a rien. Osez, et écrivez-lui votre déclaration d'amour, lancez-vous afin de savoir si vos sentiments sont partagés ! Si vous manquez encore d'inspiration, consultez notre rubrique consacrée à la Saint-Valentin ainsi qu'une sélection de petites phrases à envoyer par texto.

2 - Les 65 mots à offrir à l'amour de ta vie :

Je t'aime d'un amour éternel et infini ! Aime-moi autant que je t'aime mon ange, et nous aurons le bonheur le plus parfait que puisse contenir la vie. Si tu savais quel est mon bonheur quand ton corps si pur et si virginal est dans mes bras, il me semble que c'est la plus haute preuve d'estime que tu puisses me donner, et je suis fier de me sentir estimé d'un ange tel que toi ! Adieu mon amour, reçois mille baisers de ton Victor.

Victor Hugo - Les lettres à la fiancée (1821)

Quand libre de tout, quand je pourrai passer tous mes instants près de toi, n'avoir qu'à t'aimer, et ne penser qu'au bonheur de te le dire et de te le prouver, je sens que je t'aimerai mille fois plus encore. Depuis que je te connais, je t'adore tous les jours davantage : cela prouve combien la maxime de La Bruyère, que l'amour vient tout d'un coup, est fausse.

Napoléon Bonaparte - Les lettres d'amour à Joséphine, le 17 juillet 1796.

Je me suis brûlé comme un papillon à la flamme de tes beaux yeux.

Victor Cherbuliez - Le roman d'une honnête femme (1865)

Aujourd'hui, j'ose tout, je dirai tout ; je ne puis garder plus longtemps mon secret, il m'étoufferait. Je t’ai aimée du premier instant que je t’ai vue. Tu m'est apparue comme une vision ; je fus ébloui, je crus rêver ; pourtant mon cœur avait pressenti cette rencontre, depuis longtemps il te cherchait. Tout ce qu'il avait aimé, admiré dans ce monde : la lumière, la beauté du ciel, les fleurs, autant de messagers qui t'annonçaient ! Tu étais son espérance, son attente secrète, car en te voyant, je dis : La voilà donc, c'est elle !

Victor Cherbuliez - Le roman d'une honnête femme (1865)

Viens, je vais t'apprendre à sentir le prix de l'amour véritable dont tu n'as connu que l'ombre. Dans la retraite et le silence, nous nous rendrons nécessaires l'un à l'autre, la vie intime nous dira tous ses secrets, nous amasserons heure par heure un trésor de souvenirs qui ne seront qu'à nous, et nos deux âmes se lieront d'une si étroite habitude que rien ne les pourra désunir.

Victor Cherbuliez - Le roman d'une honnête femme (1865)

Je t'aime mon adoré, je ne suis pas une minute sans penser à toi – et que quand je t'attends, je ne peux pas m'occuper à autre chose qu'à t'écrire tout ce qui me passe par le cœur. Je t'aime, je suis folle de toi. Viens vite mon ange.

Juliette Drouet - Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo (1833-1883)

Oui, tu es mon appui, tu es ma terre ferme, tu es mon espoir, ma joie, mon bonheur, tu es mon tout. Je t'aime mon bien-aimé, et quand je ne te l'écris pas, je le pense, et quand je te l'écris, je le sens de toutes mes forces. Je t'aime mon adoré.

Juliette Drouet - Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo (1833-1883)

Mon adoré, mon amour, si tu pouvais voir dans mon âme comme dans la tienne – si tu connaissais l’emploi de mon temps minute par minute comme tu connais le tien, tu saurais que toutes mes affections, toutes mes pensées sont à toi et pour toi – Car je t'aime, vois-tu, de toutes les forces de mon âme et de tout le temps que Dieu nous donne chaque jour.

Juliette Drouet - Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo (1833-1883)

Hier à pareille heure, j'étais bien heureuse, mon adoré, et je n'avais pas besoin de t'écrire pour te dire combien je t'aime. Aujourd'hui, je t'aime autant, sinon plus, et je suis triste parce qu'au lieu de te posséder... je te désire ! Au lieu de te baiser... je t'écris. Ton absence, c'est un gros nuage de pluie sur mon soleil. Je donnerais 10 ans de ma vie pour la journée d'avant-hier. Je donnerais toute ma vie pour un jour tout entier avec toi. Je ne peux rien dire autre chose que : Je t'aime.

Juliette Drouet - Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo (1833-1883)

Je t'aime d'un amour éternel et infini ! Aime-moi autant que je t'aime, ange, et nous aurons le bonheur le plus parfait que puisse contenir la vie. Il me tarde de te voir, de lire dans tes yeux tout l'amour que tu me portes. Tu es, mon adorée, le seul être sur lequel puisse jamais reposer tout ce qui désire, tout ce qui aime, tout ce qui espère en moi, c'est-à-dire mon âme tout entière.

Victor Hugo - Les lettres à la fiancée (1821)

Quand ta lèvre pure approche la mienne, quand ta douce main se pose sur mon front, mon ange, je ne donnerais ces moments-là pour toutes les félicités de la terre et du ciel. Ces instants de bonheur enivrants, je me demande alors ce que j'ai fait pour les mériter ! Je vais te voir dans peu d'instants ; dans peu d'instants je saurai si ta nuit a été paisible, si tu as pensé à moi en t'endormant et en t'éveillant, si tu as un peu désiré pendant cette longue matinée de voir arriver l'heure qui doit me ramener près de toi. Adieu, ange, mon ange adoré. Je t'embrasse tendrement.

Victor Hugo - Les lettres à la fiancée (1821)

Le baiser que tu m'as donné en partant à travers ton voile ressemble à l'amour à travers l'absence. C'est doux et triste et enivrant pourtant. Il y a un obstacle, mais on se sent, on se touche, on s'unit. Tu n'es pas à mon côté en ce moment, et cependant je t'ai, je te vois là, tes yeux charmants se fixent sur mes yeux, je te parle, et je te dis : M'aimes-tu ? Et j'entends ta voix émue me répondre tout bas : Oui. C'est une illusion, et c'est une réalité. Tu es bien là, oui, mon cœur te fait présente. Mon amour fait roder partout autour de moi ton fantôme adoré et souriant. Et puis, néanmoins, tout me manque ; je ne suis pas longtemps dupe de moi-même, je n'ai qu'à demander un baiser de ce fantôme pour qu'il s'évanouisse, je ne puis le coucher près de moi qu'en rêve. Tiens, vois-tu, c'est charmant de songer à toi, mais j'aime encore mieux te tenir, te parler, te prendre sur mes genoux, t'entourer de mes bras, te couvrir et te brûler de mes caresses. Te voir pâlir et rougir sous mes baisers, te sentir frissonner dans mes embrassements, c'est la vie, la vie pleine, entière, vraie, c'est le rayon de soleil, c'est le rayon du paradis ! Je t'aime.

Victor Hugo - Les lettres à la fiancée (1821)

Mon amour, quand tu vivras sans cesse avec moi, il me semble qu'il me faudra un courage surnaturel pour ne point passer toute ma journée dans tes bras ; il me semble que je ne pourrai m'empêcher d'employer tous mes instants à te couvrir de baisers et d'embrassements. Le désir de te voir heureuse, bien heureuse, est tout-puissant sur moi. Mon ange, oh ! que je voudrais te voir en ce moment, te presser dans mes bras, m'assurer qu'elle est bien là, près de moi, qu'elle est bien vivante, cette adorable femme, toi, sans qui je ne puis vivre ! Adieu, je t'embrasse et je t'adore, je t'aime.

Victor Hugo - Les lettres à la fiancée (1821)

Mon plus grand désir, ma bien-aimée, serait que tu puisses connaître mon âme comme tu connais la tienne. Tu saurais qu'il n'est pas, je ne dis pas une seule des émotions de mon cœur, mais un seul des mouvements de tout mon être qui ne soit dirigé vers toi. Même absente, je te cherche de l'âme et du regard ! Dans peu de temps je te verrai, mais que ce peu de temps me semble long ! Adieu, ange, adieu, mon Adèle adorée.

Victor Hugo - Les lettres à la fiancée (1821)

Ma douce et belle, ma chérie, mon amour, ma vie, si Dieu le veut, je passerai mon existence auprès de toi et pour toi. Je t'aime avec tant de force et de tendresse que je ne passe pas une minute sans penser à toi. Je t'aime de toute mon âme, je t'adore de tout mon cœur.

Jean Steinmann - Léon Bloy (1955)

Plus tu es loin de moi, et plus mon coeur a besoin de t'aimer, et de jouir de ta tendresse. Reviens-moi, tu me manques tant, je veux vivre au plus tôt ces instants qui te ramèneront dans mes bras.

Sophie Cottin - Claire d'Albe (1798)

À nul autre au monde je ne donnerai mon cœur. C'est décidé dans les conseils d'en haut ; c'est la volonté du ciel : Je suis à toi. Toute ma vie est une preuve certaine que je devais te rencontrer. Je le sais, c'est Dieu qui t'a envoyé à moi ; c'est toi qui seras mon gardien jusqu'au tombeau ; c'est toi qui m'apparaissais dans mes rêves ; inconnu, tu m'étais déjà cher ; ton regard me suivait ; ta voix résonnait dès longtemps dans mon âme. Non, ce n'était pas un rêve. À peine entré, je t'ai reconnu. Je me sentis frémir, je me sentis consumer. N'est-ce pas, je t'avais déjà entendu ? C'est toi qui me parlais dans le silence. Qui es-tu ? Mon ange gardien ? Résous mes doutes. Peut-être que tout ceci n'est qu'une vaine illusion, l'erreur d’une âme qui ne se connaît plus. Peut-être qu'une tout autre destinée m'attend ; mais c'en est fait. Dès à présent je te remets ma vie. Je t'attends.

Alexandre Pouchkine - Eugène Onéguine (1821-1831)

Oh ! que les dimanches sont tristes, ceux que l'on passe loin de son amour ! J'ai pourtant pensé à toi si fort que j'aurais dû t'évoquer, et si tu ne m'es pas apparue, c'est que la magie n'est plus qu'un vain mot. Dis, ne me prive plus de toi ce jour-là ! Je t'aime, et je baise tes mains chères avec tendresse.

Rémy de Gourmont - Les lettres intimes à l'Amazone (1926)

Tes yeux et tes cheveux, tes épaules et ton sourire sont d'inépuisables coffrets d'amour. J’aime infiniment chacune de tes grâces visibles et chacune de tes grâces spirituelles.

Rémy de Gourmont - Les lettres intimes à l'Amazone (1926)

Hier, d'avoir touché ta main ma main a longtemps conservé ton odeur. Ton odeur est dans mon cœur ! D'avoir touché ta main, la mienne est parfumée, et d'avoir frôlé ton cœur, mon cœur est tout troublé. Mon cœur est toujours troublé aujourd'hui, parce que je t'aime.

Rémy de Gourmont - Les lettres intimes à l'Amazone (1926)

Si je connaissais des dieux comme j'aimerais à les remercier de t'avoir envoyé vers moi. Car tu m'es un présent tombé du ciel, au moment de ma vie où j'ai été au plus mal, où je ne tenais plus à rien, où je n'espérais plus rien, où je ne voulais plus rien. Où serait le bonheur sans toi ? Je t'aime.

Rémy de Gourmont - Les lettres intimes à l'Amazone (1926)

Mon adorée, pour nous, vieillir, c'est rajeunir ; nos cœurs se renouvellent et recommencent. Sous nos cheveux blancs, nous avons un amour Printemps. Je t'aime ! Tu es l'ange, tu es la femme, tu es la vie, tu es l'âme dont j'ai toujours rêvé. Mon cœur est à toi, mon cœur est avec toi. Je t'embrasse et je te baise, je te veux et je te possède, tu es l'avenir de mon espérance. Tu es plus que mon bonheur, tu es ma vie, je t'aime.

Victor Hugo - Lettre d'amour à Juliette Drouet (1833-1883)

Mon doux rayon de soleil, chaque jour j'ai besoin de te voir, de te presser sur mon cœur, de sentir tes mains sur mon corps, de mourir sur tes lèvres. Ange, mon ange adoré, ma vie est entre tes mains, j'ai besoin de l'air que tu respires, loin de toi j'étouffe et ne saurais vivre ! Ma douce et belle, nous sommes unis pour l'éternité, toi et moi, la mort seule peut nous séparer. Toutes mes pensées sont pleines de toi, je t'aime avec fureur.

Maxalexis - Des mots d'amour rien que pour toi (2016)

Mon amour, j'ai besoin de l'air que tu respires comme de la seule atmosphère où je puisse vivre. Sache que je n'ai de bonheur que dans l'espoir du tien, et que je n'ai de plaisir que sûr de ton plaisir. Tu es seule le but de mon existence, l'entière occupation de ma pensée. Vivre avec toi, longtemps, toujours, te consacrer tout ce que je suis, tout ce que je vaux, est mon unique projet pour les années à venir. Mon ange, ma douce et belle, tout ce que j'apprécie dans la vie est en toi, et chaque goutte de mon sang ne coule que pour toi seule. Je t'aime.

Maxalexis - Des mots d'amour rien que pour toi (2016)

Auprès de toi ma vie prend sens. Je t'ai dans la peau, je t'ai dans l'âme. Sans toi je ne suis rien. Tu es ma drogue, mon espérance, tu es mon idéal. Je t'aime.

Paule Salomon - La spirale du bonheur (2012)

J'ai envie de te tenir, te parler, t'entourer de mes bras, te couvrir et te brûler de mes caresses. Te voir pâlir et rougir sous mes baisers, te sentir frissonner dans mes embrasements, c'est la vie, la vie pleine, entière, vraie, c'est le rayon de soleil, c'est le rayon du paradis ! Ô mon ange, que tu es belle, viens que ma bouche pose et cueille sur la tienne ce mot qui est le plus doux des baisers : Je t'aime !

Victor Hugo - Les lettres à la fiancée (1821)

Ange aimé, quelle douce soirée que celle d'hier ! Que de richesse dans ton cher cœur ! Ton amour est donc inépuisable, tout comme le mien ! Chaque mot m'a apporté de nouvelles joies, et chacun de tes regards en étendait la profondeur. L'expression calme de ta physionomie donnait un horizon sans bornes à nos pensées ! Oui, tout était alors infini comme le ciel, et doux comme son azur. La délicatesse de tes traits adorés se reproduisait, je ne sais par quelle magie, dans tes jolis mouvements. Je savais que tu étais tout amour, mais j'ignorais encore combien tu étais si gracieuse. Tes mots vibrent toujours dans mon oreille, ils s'y roulent et s'y jouent encore. Ange du ciel, je t'envoie un doux baiser.

Honoré de Balzac - Louis Lambert (1832)

Hier soir, pas un cri d'oiseau, pas une brise : la solitude, et nous ! Les feuillages immobiles ne tremblaient même pas dans ces admirables couleurs du couchant qui sont tout à la fois ombre et lumière. Toi, rieuse et humble, te donnant tout entière en âme, en pensée, et te dérobant à la plus timide des caresses ! Chères coquetteries du cœur ! Elles vibrent toujours dans mon oreille, ces délicieuses paroles qui n'étaient ni des promesses, ni des aveux, mais qui laissaient à l'amour ses belles espérances, sans craintes et sans tourments ! Quel chaste souvenir dans la vie ! Quel épanouissement de toutes les fleurs qui naissent au fond de l'âme, et qu'un rien peut flétrir, mais qu'alors tout animait et fécondait ! Ce sera toujours ainsi, n'est-ce pas, ma bien-aimée ? En me rappelant, ce matin, les vives et fraîches douceurs dont ce moment a été la source, je me sens dans l'âme un bonheur qui me fait concevoir le véritable amour comme un océan de sensations éternelles et toujours neuves où l'on se plonge avec de croissants délices. Chaque jour, chaque parole, chaque caresse, chaque regard doit y ajouter le tribut de sa joie écoulée. Oui, les cœurs assez grands pour ne rien oublier, doivent vivre, à chaque battement, de toutes leurs félicités passées, comme de toutes celles que promet l'avenir. Voilà ce que je rêvais autrefois, et ce n'est plus un rêve aujourd'hui ! J'ai rencontré sur cette terre un bel ange, toi, qui m'en a fait connaître toutes les joies ! Ange du ciel, je te salue par un baiser.

Honoré de Balzac - Louis Lambert (1832)

Bientôt, cœur chéri, plus d'obstacles ! Nous serons libres d'être l'un à l'autre, chaque jour, à chaque heure, à chaque moment, toujours ! Nous pourrons rester, pendant toutes les journées de notre vie, heureux comme nous le sommes furtivement en de rares instants ! Nos sentiments si purs, si profonds, prendront les formes délicieuses des mille caresses que j'ai rêvées. Ton petit pied se déchaussera pour moi ! Tu seras toute à moi ! Aucun sentiment humain ne troublera plus notre amour. Je pourrai regarder au fond de tes yeux pour deviner la chère âme qui s'y cache et s'y révèle tour à tour, pour y épier tes désirs ! Je t'aime de tous les amours.

Honoré de Balzac - Louis Lambert (1832)

La grâce de ton moindre geste est toujours nouvelle pour moi. Il me semble que je passerais les nuits à respirer ton souffle ; je voudrais me glisser dans tous les actes de ta vie, être la substance même de tes pensées ; je voudrais être toi-même. Mettre mon cœur à nu, te dire toute l'ardeur de mes rêves, te dévoiler la chaude ambition de mes sens enflammés par l'attente du bonheur, et réveillés par toi, par toi si douce de formes, si attrayante en tes manières ! Chérie aimée, je t'aime.

Honoré de Balzac - Louis Lambert (1832)

Mon cœur est en repos quand il est auprès de toi, c'est son état naturel, et le seul qui lui plaise.

Madame de Sévigné - Lettre à Mme de Grignan (sa fille), le 5 octobre 1673.

Sur ton corps, je graverai des mots d'amour, pour que jamais tu ne puisses m'oublier.

Maxalexis - Ni moi sans toi, ni toi sans moi (2013)

Si tu m'apprivoises, tu seras pour moi unique au monde, je serai pour toi unique au monde.

Antoine de Saint-Exupéry - Le petit prince (1943)

Mon paradis sur terre serait de vivre avec toi ; cent ans ne sont pas assez, il nous faut l'éternité. Être ensemble, le matin, le soir, à toute heure ; t'enlacer, te chérir, te protéger, t'aimer, c'est pour ces années à venir mon unique projet. Vivre avec toi, toi, mon trésor, mon bonheur, mon tout... mon amour.

Maxalexis - Des mots d'amour rien que pour toi (2014)

Ma chérie, tu es toute aimable, toute charmante, toute adorée ; mais vois-tu, tu serais-là à mes côtés, je verrais ton doux et beau sourire qui m'enivre d'amour, et ce tendre regard qui appelle si fort mes baisers, tu m'en offrirais sans compte et sans mesure, tu me prodiguerais tous les dons de ta tendresse, que je te dirais : Ma douce et belle, donnes-en-moi encore et toujours, tu es l'âme de mon âme.

Mirabeau - Lettre à Sophie Ruffei, le 1er avril 1779.

Sais-tu ce que j'aime le plus en ce monde ? C'est toi. Toi qui depuis ce premier baiser échangé a transformé ma vie en un soleil ! Être auprès de toi à cet instant pour te câliner dans mes bras, j'en rêve : Être le zéphyr qui plane sur ta vie comme un ange protecteur invisible, comme un vent frais et parfumé, jouer de ta chevelure, effleurer tes épaules, m'enivrer de ton souffle et de cet air que tu respires, puis me poser amoureusement sur tes lèvres de miel : Tu me manques terriblement !

Maxalexis - Tu me manques terriblement (2014)

Mon chéri, il manque une chose à mon bonheur, et cette chose sais-tu quoi ? C'est toi mon amour mon cœur. J'attends, pour être heureuse, de t'avoir revu et retrouvé, me plonger dans tes yeux.

Victor Cherbuliez - Une gageure (1890)

J'aime reposer ma tête sur l'épaule de mon mari adoré, tantôt reculer ou avancer mon front, pour mieux le contempler tour à tour de très loin ou de très près. Le manger du regard, lui tirer les cheveux, la moustache, puis lui présenter mes deux petites lèvres fraîches et rouges comme des cerises, tout en lui disant : Mets bien vite là ton petit bec sur ma bouche !

Victor Cherbuliez - La ferme du Choquard (1883)

Oh ! je t'aime, je t'aime pour le bonheur que tu m'as procuré, je t'aime pour les chagrins que tu m'as causés, car tu fais bien souffrir les gens quand tu t'en mêles. Tu es une vraie chatte, et dès que tu joues de la griffe... Bref, c'est du velours aujourd'hui que cette petite patte... Je t'aime à tort et à travers, je t'aime malgré tout, et je crois que les hommes qui n'aiment pas malgré tout n'ont jamais aimé.

Victor Cherbuliez - La ferme du Choquard (1883)

Ma chérie, je n'ai pas plus de mérite à t'aimer, que les rivières n'en ont à couler, où le feu à brûler : c'est ma nature, c'est mon essence : Je t'aime parce que je t'aime. Je t'adorerais encore, même s'il me serait libre de choisir l'indifférence ou l'amour, la constance ou l'inconstance, mais cela ne l'est pas, ne pouvant contredire mon cœur qui t'aime : Je t'aime. Aime-moi de même, quand un cœur d'amour est brûlant, il ne sent pas ce qui est tiède. Dis-le-moi souvent, dis-moi que tu n'as jamais aimé comme tu m'aimes, que je sois le seul que tu puisses aimer ainsi. Dis-le-moi encore, dis-le-moi toujours.

Mirabeau - Les lettres à Sophie Ruffei (1777-1780)

Être avec les gens qu'on aime, dit Jean de La Bruyère, cela suffit. Rêver leur parler, ne leur parler point, penser à eux, penser à des choses plus indifférentes, mais auprès d'eux, tout est égal, on se sent bien. Ô ma chérie, que cela est vrai ! et qu'il est vrai aussi qu'on en prend tellement l'habitude, que cela devient une partie nécessaire de l'existence ! Hélas ! je sais bien, je dois savoir trop bien, depuis trois mois que je suis loin de toi, que je ne te possède plus, que mon bonheur gémit. Chaque matin, lorsque je me réveille, je te cherche ; il me semble que la moitié de moi-même manque, et cela est trop vrai. Vingt fois dans le jour je me demande où tu es : juge combien l'illusion est forte, et qu'il est cruel de la voir disparaître ! Lorsque je me couche, je ne manque pas de te faire ta place ; je me pousse tout près du mur, et laisse un grand vide dans mon petit lit. Ce mouvement est machinal, ces pensées sont involontaires. Ah ! comme on s'accoutume au bonheur ! hélas ! on ne connaît son bonheur que lorsqu'on l'a perdu ; et je suis sûr que nous ne savons combien nous sommes nécessaires l'un à l'autre, que depuis que la foudre nous a séparés. Tu me manques terriblement, je t'embrasse tendrement mille fois.

Mirabeau - Les lettres à Sophie Ruffei (1777-1780)

Mon amour, épouse adorable, mon univers, toi le charme de ma vie, la consolation de mes maux, la douceur de mes nuits, la plus aimable et la plus aimée des femmes ; je presse ton cœur contre le mien, et mes lèvres ardentes cueillent sur tes lèvres humides le bonheur et la volupté. Donne-moi ta langue, donne-la moi, cette langue parfumée que je cherche amoureusement, et qui m'apporte la joie de vivre. Mille baisers je t'envoie, en attendant de te serrer dans mes bras.

Mirabeau - Les lettres à Sophie Ruffei (1777-1780)

Te voir, t'entendre, rester auprès de toi ; détester les nuits où tu n'es pas dans mes bras ; vivre avec toi, avec toi sourire ; baiser ta joue, tes yeux, tes lèvres, voilà mon doux espoir, voilà toute mon espérance.

George Gordon Byron - La fiancée d'Abydos (1813)

Un seul de tes regards, un seul de tes sourires, me rend heureux : je t'aime éperdument.

Marie-Jeanne Riccoboni - The foundling, ou L'enfant trouvé (1755)

Un jour passé sans te voir n'est plus un jour pour moi, c'est un siècle, une éternité.

Sophie Cottin - Malvina (1800)

Je ne sens plus rien, l'amour, l'ardent amour a tout dévoré ; il a réuni en un seul point toutes les parties sensibles de mon être, et il y a placé ton image en mon coeur : c'est là le temple où je te recueille, où je t'adore en silence quand tu es loin de moi ; mais si j'entends le son de ta voix, si tu fais un mouvement, si mes regards rencontrent tes regards, si je te presse doucement sur mon sein... alors, ce n'est plus seulement mon cœur qui palpite, c'est tout mon être, c'est tout mon sang, qui frémissent de désir et de plaisir ; quand un torrent de volupté sort de tes yeux, il vient inonder toute mon âme, tout mon corps.

Sophie Cottin - Claire d'Albe (1798)

Rempli de ton image adorée, je n'ai plus d'autre sentiment que l'amour et l'adoration de tes perfections ; toute autre pensée que la tienne s'évanouit. Perdu d'amour et de tendresse, je sens que tout moi s'élance vers toi. Je voudrais te couvrir de baisers, recevoir ton haleine, te tenir dans mes bras, sentir ton cœur battre contre mon cœur, et m'abandonner avec toi dans un océan de bonheur et de vie : Je t'aime.

Sophie Cottin - Claire d'Albe (1798)

Je t'aime comme je n'ai jamais aimé ! Tu es, tu seras mon seul et unique. Ah ! si tu m'aimais autant que je t'aime, mon amour, nous laisserions là chacun nos familles, nos ennuis, nos entourages où il y a tant de haine, et nous irions vivre dans un joli pays, où tu voudras. Là nous ne verrions personne, et nous serions heureux, loin de tout ce monde. Oui ! je veux te voir, te voir tous les jours ! Mon bon chat, écris-moi de grâce un petit mot, à défaut de ta chère présence. Une lettre me fera l'effet d'un talisman. Mille caresses mon chat, je t'aime.

Honoré de Balzac - Les parents pauvres (1847)

Viens mon amour, je veux te sentir fondre entre mes bras ! Oui... fondre d'amour sans nulle résistance ni retenue. Te sentir abandonnée sous la douceur de mes doigts. J'aime les frissons de ta peau, ton souffle qui accélère à la moindre de mes caresses. Je veux t'entendre me dire « viens », « prends-moi », entendre tes « oui » puis tes « encore » ! Je t'attends impatiemment mon amour, je t'aime mon ange... viens, rejoins-moi !

Maxalexis - Des mots d'amour rien que pour toi (2013)

Je me sens seul ce soir loin de toi, toi qui occupe toutes mes pensées. Il n'est pas une heure, une minute où tu ne me manques. J'ai envie de me blottir contre toi, sentir tes mains sur mon corps, tes lèvres sur ma peau, ta bouche sur ma bouche. Reviens-moi vite mon amour, je t'aime ineffablement.

Maxalexis - Des mots d'amour rien que pour toi (2013)

Mon amour tu es si loin de moi, mais chaque jour pourtant tu es en moi ! Oui, tout le temps, c'est toi et toi seul que je respire ; c'est toi et toi seul que je désire, et nul ne pourra prendre en mon coeur ta place !

Fabienne Lhoumeau - Le fil de soi (2010)

Tu es mon bonheur suprême : Je t'aime ! je t'aime ! je t'aime ! Tu es ma joie de vivre. Sans toi, que m'importe le jour : À toi mon cœur et mon amour !

Uranio Fontana - Lo zingaro (1840)

N'amour, tu es la femme de ma vie. Je le dis, je l'écris, je le crie. Tu es l'amour de ma vie. Malgré les hauts et les bas, on sait très bien que la vie, c'est ensemble qu'on la fera ! Je ne puis me passer de toi.

Albert Glatigny - Les mots d'amour (1864)

Je veux être l'arbre, si tu es la fleur ; la fleur si tu es la rosée ; la rosée, si tu es le rayon de soleil, pour qu'à jamais tous deux nous soyons unis. Si tu es, jeune fille, le royaume des cieux, je veux être alors une brillante étoile, et si tu deviens demain l'enfer, je veux être damné, pourvu que nous soyons unis.

Sándor Petőfi - Poésies magyares (1847)

La seule pensée de te perdre me fait encore tressaillir. Sais-tu, mon bel amour, combien tu m'es nécessaire ? Que ce soit pour le meilleur comme pour le pire, je t'aimerai toujours, tu es pour mon cœur l'être le plus cher.

Maxalexis - Ni moi sans toi, ni toi sans moi (2013)

Ma chérie ! je ne puis te voir, je ne puis penser à nous sans me rappeler cette très jolie chanson écossaise : Elle était née pour être belle, et moi pour mourir de son amour !

Maxime Du Camp - Les forces perdues (1867)

Mon Loulou d'Amour, je t'aime et je t'aimerai toujours. Je n'ai jamais été si heureuse qu'auprès de toi : Tu es l'homme de ma vie. Sache que mon cœur ne vit et ne bat que pour toi.

Maxalexis - Des mots d'amour rien que pour toi (2016)

Ce fut une belle soirée que je n'oublierai jamais ! Ton regard parla, et tu m'offris en tremblant tes lèvres si douces. Mon cœur sent encore trop quel fut mon bonheur. Je t'aime, je t'aime.

Johann Wolfgang von Goethe - Les complices (1769)

Hier, mes bras t'ont entouré, mes lèvres ont tremblé sur tes lèvres, ma bouche a balbutié sur ta bouche. Tu es à moi pour toujours, tu es à moi pour jamais ! Je t'aime.

Johann Wolfgang von Goethe - Les souffrances du jeune Werther (1774)

Je pense constamment à toi ! ton image est gravée pour toujours dans mon cœur. Aujourd'hui, je me trouve à la place où tu marchais hier, et je cherche sur le sable la trace de tes pas.

Johann Wolfgang von Goethe - Les souffrances du jeune Werther (1774)

Mon amour, je suis heureux de t'écrire, moi qui y passerais, si j'osais, tous les moments que je ne puis passer près de toi afin de ne faire que changer de bonheur. C'est pour moi une jouissance si vive de t'écrire qu'ensuite tout travail me devient insipide. Mon bonheur suprême serait de pouvoir te parler sans cesse quand je suis près de toi et de t'écrire toujours quand j'en suis loin. Ô combien je t'aime ! Plus je te vois et plus j'ai besoin de te voir.

Victor Hugo - Les lettres à la fiancée (1821)

Hier à pareille heure, j'étais bien heureuse, et je n'avais pas besoin de t'écrire pour te dire combien je t'aime. Aujourd'hui, je t'aime autant, sinon plus, et je suis triste parce qu'au lieu de te posséder je te désire, au lieu de te baiser je t'écris. Ton absence, c'est un gros nuage de pluie sur mon soleil. Je donnerais 10 ans de ma vie pour la journée d'avant-hier. Je donnerais toute ma vie pour un jour tout entier avec toi. Si le bonheur pouvait s'acheter avec la vie, il y a longtemps que la mienne serait dépensée. La vie ce n'est rien, le bonheur c'est tout ! Je voudrais te voir. Il me semble qu'il y a un mois que je ne t'ai vu, de même que les deux jours que nous avons passés ensemble nous paraissaient n'en faire qu'un. Mon bien aimé, je ne sais rien te dire que mon amour, rien désirer que ta personne. Je ne pense à rien, qu'à toi. Je ne peux rien dire autre chose que : Je t'aime.

Juliette Drouet - Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo (1833-1883)

Je t'aime mon bien-aimé ; mon seul but, ma seule ambition, mon seul présent et mon seul avenir, c'est mon amour. Je ne vis que dans lui, je ne pense que par lui, je ne sens que lui. J'ai hâte de te voir ! j'ai tant de baisers, tant d'étreintes, tant d'amour à te donner, que tu devrais te presser d'arriver pour ne pas les laisser sans bouche pour les recevoir, sans mains pour les sentir et sans oreilles pour les entendre. Je t'aime, je t'aime toujours plus.

Juliette Drouet - Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo (1833-1883)

Je t'aime ! Ce mot-là bat dans mes veines, dans mes tempes et dans mon cœur en même temps que mon sang. Le jour où je cesserai de t'aimer, je cesserai de vivre. Mais tant que mon âme durera, elle continuera de t'aimer quelque part qu'elle soit, enfer ou paradis.

Juliette Drouet - Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo (1833-1883)

Sois à moi comme je suis à toi, mon adoré mon bien aimé, et n'ayons jamais que le même but : vivre et mourir ensemble, la main dans la main, cœur contre cœur, et nos âmes enlacées. Sourions à la vie et à tous ceux qui nous aiment. Je t'aime.

Juliette Drouet - Mille et une lettres d'amour à Victor Hugo (1833-1883)

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