Les 22 pensées et citations sur le thème : Déclarer sa flamme amoureuse.
Qu'un long baiser nous unisse à jamais, qu'un long amour m'assure tes attraits.
Vous avez des joues qui appellent le baiser d'une sœur, et des lèvres qui réclament le baiser d'un amant.
Ton cœur m'est tout : mon bien, ma loi ; te plaire est toute mon envie. Enfin, en toi, par toi, pour toi, je respire et tiens à la vie.
Je respire, je sens, je pense, j'aime en toi !
Sur tes lèvres entrouvertes, je dépose le mot amour en cinq lettres.
Tes initiales sont gravées, en toutes lettres de noblesse, sur ce coeur qu'est ma vie, ou je t'offre nos plus belles années, mon amour mes faiblesses, cueille-les je t'en prie.
Si je pouvais tenir tout l'amour dans ma main, alors, je tiendrai la tienne !
Il y a deux choses que j'aime avant tout : toi le jour, toi la nuit.
C'est pas d'ma faute à moi, si mon cœur tout en émoi, bat tout fou... bat tout doux... rien que pour toi !
Voici mon nom et mon adresse, écris-moi vite, écris demain, allons faire un bout de chemin, avec une pointe d'ivresse.
Tu es la joie de mon âme, mon bonheur serait de t'avoir pour femme.
J'ai toute la nuit eu la fièvre, je vous adorais en dormant ; le mot amour sur votre lèvre faisait un vague flamboiement.
S'il est un rêve d'amour, parfumé de rose, où l'on trouve chaque jour quelque douce chose, un rêve que Dieu bénit, où l'âme à l'âme s'unit, oh ! j'en veux faire le nid où ton cœur se pose !
Je ne veux point vous le dissimuler, mon cœur va tout à vous quand je le laisse aller.
Jamais ne passe une nuit, jamais ne passe un jour, sans que dans ma pensée je ne te voie et ne t'attende ; on n'a jamais pu chauffer une fournaise ou un four, à un point tel que mes soupirs ne soient encore plus cuisants, et quand il m'arrive de te voir auprès de moi, j'étincelle comme le fer dans un feu ardent, et je voudrais te dire tant de choses que dans ma précipitation à parler, la flèche ne peut être décochée.
Ce que je ressens, ce que je vois et ce qui me guide n'est pas en moi ; mais je ne puis le trouver, et il me semble qu'un autre me le montre. Ceci, madame, m'arrive depuis que je vous ai vue, depuis que m'agite un sentiment doux et amer, un oui et un non ; vos yeux en sont la cause.
Si j'avais cédé à la fièvre qui me brûlait, c'est un baiser d'amour que je t'aurais donné.
Quand je vous dis je vous aime, je deviens le verbe aimer à tous les temps.
Sans rien oser, sans rien prétendre, près de vous je me trouve heureux ; un mot, un regard un peu tendre, un sourire comble mes vœux.
Pour séduire une belle, au lieu de lui parler de soi, il est plus adroit, selon moi, et plus doux de lui parler d'elle.
Je vous aime, ô jeune fille ! aussi lorsque je vous vois, mon regard de bonheur brille, aussi tout mon sang pétille, lorsque j'entends votre voix.
C'est un amour sans mélange que l'amour que j'ai pour vous.