Aux rendez-vous d'amour, tout mon temps t'appartient et pour toujours,
Unique centre de tous mes espoirs, de toutes mes pensées et de toutes mes joies, je n'ai d'autres projets que passer mes jours sur tes lèvres, je ne vis que pour toi.
Je t'aime parce que tu es admirablement belle, parce que tu es charmante, parce que tu es adorable, parce que tu as toutes les grâces, et qu'auprès de toi toute femme me paraît laide. Oui, je t'aime, je te donne pour jamais mon cœur, mon amour et ma vie.
Qu'un long baiser nous unisse à jamais, qu'un long amour m'assure tes attraits.
Vous avez des joues qui appellent le baiser d'une sœur, et des lèvres qui réclament le baiser d'un amant.
Pendant qu'il vibre encore, venez, venez bercer ce cœur qui vous implore.
Tes yeux sont des îles où mes rêves s'exilent.
J'ai refermé sur toi mes bras, et tant je t'aime que j'en tremble, aussi longtemps que tu voudras, nous dormirons ensemble.
Tu es le soleil de mes jours, tu les éclaires, tu les prolonges, ils sont à toi.
Ton cœur m'est tout : mon bien, ma loi ; te plaire est toute mon envie. Enfin, en toi, par toi, pour toi, je respire et tiens à la vie.
Ma vie à ta vie enchaînée, qui s'écoule comme un seul jour, est une coupe toujours pleine, où mes lèvres à longue haleine puisent l'amour.
Vous me manquez, je suis absente de moi-même.
Je respire, je sens, je pense, j'aime en toi !
Sur tes lèvres entrouvertes, je dépose le mot amour en cinq lettres.
Si mon coeur sur un coeur doit se reposer, mon coeur sur ton coeur veut se poser.
Tes yeux sont un océan, un seul regard de toi je m'y noie.
Tes initiales sont gravées, en toutes lettres de noblesse, sur ce coeur qu'est ma vie, ou je t'offre nos plus belles années, mon amour mes faiblesses, cueille-les je t'en prie.
Chaque moment à vos côtés n'est que pur plaisir, je ne vous parle pas de vos yeux, si merveilleux, mais de votre doux sourire.
La beauté n'est qu'une image, la tienne est un mirage, qui me fait perdre le nord ! j'en tremble de tout mon corps.
Si je pouvais tenir tout l'amour dans ma main, alors, je tiendrai la tienne !
Il y a deux choses que j'aime avant tout : toi le jour, toi la nuit.
C'est pas d'ma faute à moi, si mon cœur tout en émoi, bat tout fou... bat tout doux... rien que pour toi !
De tes lèvres si ambrées, je t'offre tout mon univers pour un seul de tes baisers.
J'ai rêvé d'un baiser tout plein de vous !
Dès l'instant que je t'ai vu, un sentiment impérieux s'est emparé de moi : Ton visage, ton esprit, ton caractère, ton âme, tout m'a entraîné vers toi.
Mon enfant, songe à la douceur d'aller là-bas vivre ensemble ; aimer à loisir, aimer et mourir, au pays qui te ressemble !
Voici mon nom et mon adresse, écris-moi vite, écris demain, allons faire un bout de chemin, avec une pointe d'ivresse.
Tu es la joie de mon âme, mon bonheur serait de t'avoir pour femme.
Aux rendez-vous d'amour, tout mon temps t'appartient et pour toujours.
J'ai toute la nuit eu la fièvre, je vous adorais en dormant ; le mot amour sur votre lèvre faisait un vague flamboiement.
S'il est un rêve d'amour, parfumé de rose, où l'on trouve chaque jour quelque douce chose, un rêve que Dieu bénit, où l'âme à l'âme s'unit, oh ! j'en veux faire le nid où ton cœur se pose !
Je ne veux point vous le dissimuler, mon cœur va tout à vous quand je le laisse aller.
J'aime toute chose en toi, et je t'aime en toute chose.
Je brûle d'amour pour toi.
Jamais ne passe une nuit, jamais ne passe un jour, sans que dans ma pensée je ne te voie et ne t'attende ; on n'a jamais pu chauffer une fournaise ou un four, à un point tel que mes soupirs ne soient encore plus cuisants, et quand il m'arrive de te voir auprès de moi, j'étincelle comme le fer dans un feu ardent, et je voudrais te dire tant de choses que dans ma précipitation à parler, la flèche ne peut être décochée.
Ce que je ressens, ce que je vois et ce qui me guide n'est pas en moi ; mais je ne puis le trouver, et il me semble qu'un autre me le montre. Ceci, madame, m'arrive depuis que je vous ai vue, depuis que m'agite un sentiment doux et amer, un oui et un non ; vos yeux en sont la cause.
Je t'aime sans passé, je t'aime sans avenir, mais je t'aime comme je respire.
Je ne respire que pour toi, tu es tout dans tout pour moi.
Si j'avais cédé à la fièvre qui me brûlait, c'est un baiser d'amour que je t'aurais donné.
Quand je vous dis je vous aime, je deviens le verbe aimer à tous les temps.
Sans rien oser, sans rien prétendre, près de vous je me trouve heureux ; un mot, un regard un peu tendre, un sourire comble mes vœux.
Pour séduire une belle, au lieu de lui parler de soi, il est plus adroit, selon moi, et plus doux de lui parler d'elle.
Je vous aime, ô jeune fille ! aussi lorsque je vous vois, mon regard de bonheur brille, aussi tout mon sang pétille, lorsque j'entends votre voix.
C'est un amour sans mélange que l'amour que j'ai pour vous.
Voilà longtemps que je vous aime : l'aveu remonte à dix-huit ans ! Vous êtes rose, je suis blême ; j'ai les hivers, vous les printemps.
Je n'ai plus que toi de chemin, j'ai mis mon cœur entre tes mains.
Le temps des uns, le temps des autres, le tien le mien peut devenir notre.