Les proverbes cubains.

Les querelles et la mer, regarde-les de loin.

Parle peu et bien, et on te prendra pour quelqu'un.

Celui qui possède peu se vante peu.

Il n'y a pas de pire pauvreté que d'être orgueilleux et pédant.

Ne te laisse pas abattre par la pauvreté, ni enorgueillir par la richesse.

Avec de la patience et l'espérance tout est possible.

La pauvreté a toujours été source d'inventivité.

Dans toutes vos demandes, voyez grand.

Garde-toi d'une femme qui s'est déjà mariée deux fois.

Contre la paresse, un bon bâton.

Celui qui n'a rien à perdre n'a rien à craindre.

Ce que l'on perd avec certains, on le gagne avec d'autres.

Ayez confiance en vous et vous réussirez.

Personne ne vit sans pécher.

Laisse-dire, et fais ce que tu dois.

Derrière le comptoir, ni amitié ni parenté.

Là où deux mangent, trois peuvent manger.

Les péchés inavoués sont toujours plus nombreux que les péchés avoués.

Le berger endormi, le bétail dans le blé.

En tout pays, chaque semaine a son lundi.

La patience est la clé du bonheur.

Que celui qui n'aime pas voyager reste chez lui.

Une femme sans pudeur est une fleur sans odeur.

Un mulet gratte un autre mulet.

Celui qui a une mère n'a pas à pleurer.

Il est malvenu de juger sans avoir entendu tous les parties.

On peut pardonner, mais jamais on doit oublier.

Pour réussir sa vie, un homme doit être père.

La pauvreté n'est pas une honte, mais elle est source de malice.

À celui qui ne part pas, fais-le partir.

On ne respecte en ce monde que ceux qui ont de l'argent.

Celui qui attend l'aide des autres mange mal et dîne encore plus mal.

Il n'y a pas de péché sans peine, ni de bien sans récompense.

Le monde appartient à celui qui vainc.

Ce que ton père t'a enseigné, tu ne dois l'oublier.

Un orme ne peut pas donner de poires.

À cause des péchés des parents, les enfants marchent courbés.