Les citations célèbres d'Alexandre Dumas, fils :
L'important, c'est d'aimer, de se sentir vivre et de donner la vie à d'autres êtres.
Une courtisane n'est qu'une bijoutière en faux de l'amour chez laquelle on achète du strass.
Un homme, il ne peut répondre qu'un jour il ne deviendra pas fou d'une femme perdue.
Les femmes permettent quelquefois qu'on trompe leur amour, jamais qu'on blesse leur amour-propre, et l'on blesse toujours l'amour-propre d'une femme quand, deux jours après qu'on est son amant, on la quitte, quelles que soient les raisons que l'on donne à cette rupture.
Le cœur est l'étoffe qui se déchire le plus facilement, et qui se raccommode le plus vite.
Les amis sont plus rares et plus précieux de loin que de près.
Il n'y a de vrai bonheur que celui que personne ne connaît.
Il n'y a pas de fortune, si patiemment amassée qu'elle soit, il n'y a pas d'amour, si profondes racines qu'il ait jetées au cœur, qui puisse donner à l'homme la satisfaction et le bonheur de la science acquise, et surtout de la science utile aux autres.
Le moindre événement peut ruiner un homme, le moindre caprice tuer un amour, mais la mort seule, ou la folie, cette mort de l'intelligence, peuvent détruire ce que la science a amassé.
Savoir vieillir, la science qu'on devrait acquérir tous les jours, et qui manque bien souvent à des presque centenaires.
Le sage est celui qui, spectateur des misères et des passions des hommes, en fait son profit, et apprend l'expérience sur le désenchantement des autres, comme les médecins apprennent la vie sur des cadavres inconnus.
Les femmes, c'est le plus beau spectacle qu'il soit donné à l'homme de contempler.
L'épouse qui sera mère de famille a plus besoin de respect que d'amour.
Huit jours après notre mariage, il me dit : Madame, que pensez-vous de moi, maintenant que vous me connaissez ? Mais, monsieur, lui répondis-je, vous m'embarrassez fort !
On ne peut parler une langue qu'à la condition de l'avoir sérieusement apprise.
Le mal n'est qu'une vanité, ayons l'orgueil du bien.
Une femme connaît une partie du passé de l'homme avec qui elle vit, et, dans ses amours d'autrefois, elle choisit immanquablement la femme qu'il a le plus aimée avant elle, pour utiliser sa jalousie, pour lui en vouloir un peu de cet amour antérieur, et même pour paraître en craindre l'influence dans l'avenir.
Elle a beau être millionnaire, belle et grande, une femme est toujours femme ; autrement dit, elle ne se sépare jamais de l'homme qu'elle aime, pour si peu de temps que ce soit, sans quelques vagues inquiétudes, et trouve toujours le moyen d'être jalouse de quelqu'un ou de quelque chose.
La fortune ouvre la porte à toutes les jouissances.
La fortune ne fait pas le bonheur, parce que le bonheur de l'homme n'a pas de thermomètre fixe et que son désir n'a pas de limites certaines ; mais je déclare que, parmi les choses qu'il recherche le plus obstinément, et qui, par conséquent, sont pour lui sinon le moyen unique de parvenir au bonheur, au moins un des plus certains pour se le procurer, la fortune doit être placée au premier rang.
La fortune ne fait pas le bonheur ! C'est là une vieille maxime inventée certainement par un millionnaire pour un de ses amis pauvre auquel il aimait mieux donner cette consolation que la moitié de ses rentes.
La jeunesse supplée à la fortune.
Il est fort mal d'insulter ceux qui sont faibles ! La femme, le vieillard et l'enfant doivent être sacrés pour l’homme fort.
Il n'y a adultère que là où il y a amour entre le mari et la femme.
Rien n'est plus joli qu'une Anglaise, quand elle se met à être jolie.
Le cerveau de l'écrivain n'est que l'estomac de sa pensée.
La femme a l'orgueil de vouloir être toujours au premier plan dans la vie de son mari.
Le plaisir n'est que l'ombre de l'amour.
L'amour le plus sincère n'a jamais été que l'ombre du bonheur.
Nous sommes usés avant d'avoir servi.