Les 162 citations et pensées sur aimer. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur aimer :
Malheureux qui ne savez pas qu'aimer c'est vivre, et qui jouissez d'une vie qui est une mort, vous découvrirez un jour que vos plaisirs sont un pur néant, qu'en vain vous les multipliez, tout le bien que peut produire l'existence charnelle est égal à zéro, et qu'un zéro multiplié par cent, multiplié par mille, reste toujours égal à n'importe quel autre zéro !
Qui donc faut-il aimer ? À qui croire ? De qui n'attendre aucune trahison ? Qui mesure obséquieusement toutes les choses et toutes les paroles de ce monde sur notre mètre ? Qui ne répand point de calomnies contre nous ? Qui se préoccupe constamment de nos intérêts ? Pour qui nos défauts ne sont-ils pas désagréables ? Qui ne nous ennuie jamais ? Sans chercher un vain idéal, sans perdre votre peine à cette recherche, aimez-vous vous-même, cher lecteur !
Quand je n'aime plus du tout, je n'aime bientôt plus rien. D'un grain noir dans mon ciel je tire involontairement une tempête ; d'un atome de fiel j'empoisonne toute ma vie intérieure ; d'une semence invisible je fais germer toute une moisson de plantes vénéneuses.
Il y a deux façons de ne pas aimer l'art : ne pas l'aimer et l'aimer de façon rationnelle.
Le plus grand bonheur d’une femme n'est pas d'être aimée, mais d'aimer, car elle a plus besoin d'aimer que d'être aimée. Aussi le plus grand malheur de la malhonnête femme n'est pas de ne pouvoir plus être aimée, mais de ne pouvoir plus aimer. Elle passe sa vie à chercher un homme qu'elle aime, et quand elle est bien convaincue de sa chute et de son malheur, elle aime un chien ou un oiseau.
Dis-moi ce que tu aimes et comment tu l'aimes, et je te dirai ce que tu vois dans le monde.
Aimez : l'amour vous met au cœur un peu de joie ; aimez, l'amour allège : aimez, car le bonheur est pétri dans l'amour comme un lys dans la neige !
On sait comment on aime, on ne sait jamais comment on est aimé.
On sait qu'on aime ; mais on ignore pourquoi l'on aime, quand on a commencé d'aimer, et combien, et comment. Le simple bon sens vous conseille donc de ne compter, contre un pareil sentiment si indéfinissable, si instinctif, si ténébreux, que sur cette idée, que tout finit.
Aimons les autres, pour eux, non pour nous. Ainsi nous n'aurons point de déceptions.
J'aime mieux rien que tout ce qui n'est pas ce que j'aime.
Aimez-vous, aimez-vous, vous qui le pouvez, vous de qui il dépend d'avoir la vie belle et bonne, de marcher à deux d'un pas tranquille et sûr. Aimez-vous, ce sera bien. meilleur que de chercher d'autres bonheurs. Ce sera bien plus sûr que de troubler le vôtre par de vaines dissensions.
Aimer, même sans retour, est moins triste que de ne pas aimer.
Être aimé est une joie exquise, mais un peu personnelle. Aimer en est une plus pure et tellement faite de dévouement qu'elle est presque céleste.
Pensons plutôt à aimer qu'à être aimé ; en faisant l'un nous obtiendrons l'autre.
On peut estimer quelqu'un sans l'aimer. On ne peut pas l'aimer sans l’estimer.
Il n'y a rien qui nous transforme autant que l'amour. Quand on aime, la vie est belle.
Comment avons-nous tant de peine à nous aimer les uns les autres, et nous supportons-nous si mal, tandis que Dieu nous aime et nous supporte tant ?
Il faut aimer les gens comme ils sont et non comme on voudrait qu'ils fussent ; telle est la vraie charité, et j'ai de fameux progrès à faire dans cette voie-là.
On aime ses amis pour eux ou pour soi : dans le premier cas on les aime mieux, dans le second on les aime plus.
On croit avoir tout fait pour l'être préféré quand on l'aime comme on voudrait être aimé de lui. Il se trouverait plus heureux, si on l'aimait comme il veut être aimé.
On aime ceux qui nous plaisent jusqu'à ce que nous ayons découvert les raisons de ne plus les aimer.
Dans la première jeunesse, on aime une femme parce qu'elle est une femme, ce n'est que plus tard qu'on aime une femme parce qu'elle est elle.
Aimer, c'est être embêtant, tatillon, exigeant, c'est vouloir qu'on soit mieux qu'on n'est, c'est empoisonner l'existence de l'être qu'on aime.
Aimer par le cœur, c'est avoir d'avance tout pardonné à ce qu'on aime.
Quand on aime, les yeux sont sujets au papillotage.
Quand on aime, on se sent moins d'esprit ; quand on est aimé, on en a davantage.
Pour que les femmes vous aiment, il faut qu'elles sentent qu'on est tout à elles, qu'on n'a pas, à côté, une passion avec laquelle on risque de les oublier pendant une semaine, un mois ou un an.
Je remercie ceux que j'ai admirés dans ma vie ; je bénis moins ceux que j'ai aimés.
N'est-il pas pénible de se dire qu'aimer ce n'est pas toujours respecter ?
Aimer, ce n'est pas toujours absoudre l'être aimé, c'est regretter de ne pouvoir toujours le faire.
J'irai bâiller à Londres, souper à Madrid, rire à Paris, discuter à Munich, dépenser à Pétersbourg, pleurer à Rome, oublier à Venise, aimer partout où je trouverai un cœur à aimer.
Aimer c'est aimer ce qui est simple, et donc mystérieux. Ce qui est compliqué n'est jamais mystérieux.
Décrypter une femme, c'est déjà l'aimer.
Aimer doit être l'occasion d'oser être qui l'on est, sans négociation ni demi-choix.
Aimer, se faire aimer, voilà le but qu'il ne faudrait jamais oublier.
Les soins d'autrui se règlent sur les nôtres : On ne peut être aimé si l'on n'aime les autres.
Aimer, ce n'est pas aimer dans l'espoir de quelque chose, c'est aimer ici et maintenant, quel que soit l'avenir. Aimer, c'est toujours aimer au présent.
T'aimer, c'est te porter en moi à chaque instant, nourrir un feu qui me réchauffe.
On aime sans motif, et on désaime sans cause.
Un cœur aimant aime toujours, même s'il ne se sent pas aimer.
L'amour est involontaire, nous ne sommes pas libres d'aimer qui nous aime.
Laissez-moi t'aimer. Quelques jours, quelques années.
Comme tu m'aimerais si tu m'aimais comme je t'aime.
Ne pas être jaloux, c'est ne pas aimer vraiment.
Aimer est plus qu'être aimé.
Après le malheur de n'être pas aimé, je n'en connais pas de plus grand que d'aimer.
Est-on vraiment obligé d'aimer ceux qu'on admire ?
Ne pas aimer, ce n'est pas vivre ; n'aimer que modérément, c'est languir plutôt que vivre.
Aimer, c'est être doublement, car c'est comprendre et rendre. Ainsi deux êtres qui s'aiment en valent trois ; et c'est peut-être pourquoi ils deviennent trois. La génération est ainsi le symbole visible de ce miracle de l'amour, qui fait que 1 + 1 = 3.