Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Les réflexions et pensées populaires.

Les 36 citations extraites des Échos de la pensée.

On est plus sociable et d'un meilleur commerce par le cœur que par l'esprit. Il faut donc s'accommoder à tous les esprits.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 33 (1855)

Il faut savoir douter où il faut ; assurer où il faut ; se soumettre où il faut. Qui ne fait ainsi n'entend pas la force de la raison.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 17 (1855)

Il ne faut jamais hasarder la plaisanterie qu'avec des gens polis et qui ont de l'esprit.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 7 (1855)

Les manières polies donnent cours au mérite et le rendent agréable, car il faut avoir de bien éminentes qualités pour se soutenir dans la politesse.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 11 (1855)

Ce n'est pas seulement la valeur qui fait les hommes extraordinaires, c'est elle qui les commence et les autres vertus les achèvent.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 38 (1855)

De la plus douce raillerie à l'offense, il n'y a souvent qu'un pas à faire.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 16 (1855)

Il est plus glorieux de triompher de la volupté que des ennemis les plus redoutables.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 27 (1855)

Celui-là se peut dire riche à qui rien ne manque que le superflu.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 29 (1855)

Toutes choses entrent dans l'abime du passé, d'où elles ne sortent plus jamais.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 37 (1855)

Un ami est une seconde âme que l'on se choisit pour lui communiquer tous les mouvements de la nôtre, et donner plus d'étendue à notre existence ; c'est le plaisir d'être deux fois.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 45 (1855)

Les principes, en toutes choses, doivent être simples, si l'on veut les faire goûter.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 3 (1855)

Les consolations les plus agréables pour les infortunés, ne sont pas toujours celles qui les empêchent de pleurer.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 40 (1855)

Le temps qui passe emporte les peines et les plaisirs.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 37b (1855)

La vertu ne nous paraîtrait pas si belle si elle n'était un triomphe.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 47 (1855)

Il n'y a de vrai bonheur pour l'homme sur la terre, que dans l'exercice de sa raison et de son cœur.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 48 (1855)

La plus belle faiblesse d'un homme, si c'en est une, c'est d'être sensible jusqu'aux larmes aux malheurs de son semblable.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 49 (1855)

La joie de l'âme conserve la santé du corps, et le repos de la conscience sert de consolation à l'un et à l'autre dans toute sorte d'afflictions.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 52 (1855)

La voix des remords qui s'élève dans notre âme fait l'apologie de la vertu.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 51 (1855)

Les pleurs de l'infortuné sont une source dont le cours ne s'arrête que par épuisement.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 42 (1855)

Il y a des plaies qu'il faut savoir guérir sans les toucher : Les consolations ne servent souvent qu'à aigrir nos douleurs.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 43 (1855)

L'amitié est descendue du ciel pour consoler les hommes des maux de la terre.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 44 (1855)

De quelque manière que l'on se venge, on se venge toujours mal.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 46 (1855)

C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. Voilà le principe de toute impertinence.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 1 (1855)

Les plus grandes choses n'ont besoin que d'être dites simplement : Elles se gâtent par l'emphase.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 2 (1855)

Un poltron peut être un fort honnête homme, tant qu'il n'occupe point la place d'un homme courageux.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 12 (1855)

La vraie politesse ne consiste pas à faire des compliments et des révérences, mais à dire et à faire des choses agréables à ceux avec qui nous vivons.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 10 (1855)

Les plaisirs du monde sont trompeurs : ils promettent plus qu'ils ne donnent.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 9 (1855)

La volupté est étrangère aux personnes raisonnables.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 8 (1855)

On espère vieillir ; on craint la vieillesse : c'est-à-dire l'on aime la vie et l'on fuit la mort.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 24 (1855)

Celui qui n'a aucune vertu porte toujours envie à celle des autres.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 21 (1855)

Il faut louer la vertu en quelque sujet qu'elle se rencontre.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 20 (1855)

La morale sans culte fait des philosophes et des sages mondains.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 18b (1855)

Le culte sans morale fait des hypocrites ou des superstitieux.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 18a (1855)

Les larmes du malheureux ne veulent être essuyées que par ceux qui savent en répandre.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 41 (1855)

La sagesse est communément le fruit de l'expérience.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 32 (1855)

La plupart des hommes passent leur vie à s'ennuyer et à trouver la vie courte.

Réflexion populaire - Les Échos de la pensée, 23 (1855)

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