La sagesse populaire.

1 - Les pensées et citations de la sagesse populaire :

La citation favorite Le Dictionnaire de la sagesse populaire est un recueil moral de citations, d'apophtegmes et d'axiomes de tous les temps et de tous les pays du marquis Louis-Pierre-François de Chesnel de la Charbonelais, connu sous le nom de plume d'Adolphe de Chesnel (1791-1862), et publié par Jacques Paul Migne en 1855. Cette rubrique vous propose quelques citations et sentences d'auteurs anonymes extraites du Dictionnaire de la sagesse populaire, dont cette sentence sous forme de conseil : Des livres ne prends, pour ton bien, que ce qu'il faut, mais fais-le bien.
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2 - Ce dictionnaire vous propose 142 citations et pensées de la sagesse populaire.

L'opportunité, c'est le don de l'à-propos, c'est l'art de saisir l'occasion : occasio prœceps.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Soyez ridicule une fois, on croira que vous l'êtes toujours.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Connaître et sentir son bonheur, c'est en doubler la jouissance.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La fainéantise est une mort prématurée : ce n'est pas vivre que de ne pas agir.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'esprit s'attache, par paresse et par constance, a ce qui lui est facile ou agréable.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les hommes font les lois, les femmes font les mœurs.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Un cœur qui sait régler ses désirs sait triompher de toutes choses.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Sois modéré même dans la bonté, afin de rendre tes regrets moins fréquents.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Ne redoute point l'homme qui s'agite inutilement, mais redoute celui qui demeure toujours calme.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Que ton mécontentement n'ait jamais le caractère de l'injure.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Quel que soit ton mécontentement, aie toujours un langage poli qui te maintienne dans ton droit.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le succès donne du talent ; la réussite du courage.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les bienfaits sont le seul trésor qui s'accroît à mesure qu'on le partage.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le succès est dû à la prévoyance ; la réussite reflète la compétence.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Imposer, sans proposer une concertation, cela est voué à l'échec.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Afin d'aider vos amis, ayez toujours trois choses ouvertes : La main, le visage et le cœur.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les plus beaux efforts de l'esprit humain sont ceux qui tendent à perfectionner notre raison.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Comment aimer une vie qui mène à la mort par des chemins toujours semés d'épines ?

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'homme de courage est inébranlable ; s'il est renversé, il combat à genoux.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Dans le doute, mieux vaut savoir faire marche arrière.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'amour de Dieu est doux et tranquille, l'amour du monde est amer et inquiet.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le plus doux repos est toujours celui qui s'achète par la fatigue.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Un sot ne se fatigue jamais de porter en lui sa sottise.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'homme qui saisit à peine le présent, qui oublie le passé, ne peut prévoir l'avenir.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'éducation fait la différence entre les hommes : les talents la font prodigieuse, et la fortune encore plus.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le temps est tout : cinq minutes font la différence entre la défaite et la victoire.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Point de vertu sans croire en Dieu, point de bonheur sans vertu.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Tout excès de fierté prend sa source dans la médiocrité.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La réussite ou l'échec sont la rançon du savoir-faire.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Réussite engendre succès ; succès engendre suite.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le succès naît de la persévérance.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Deux sortes d'hommes ne réfléchissent point : l'homme effrayé et le téméraire.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Qui a plusieurs métiers, n'en a aucun.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Qui est propre à tout n'est propre à rien.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Une belle femme est un miroir où chacun peut se mirer.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le secret est la garde la plus assurée de l'amour.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le libéral double le mérite du présent par le sentiment, l'avare le gâte par le regret.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les gens de cœur et d'esprit se font leur fortune eux-mêmes.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Vous cesserez de craindre, dès que vous cesserez de désirer.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le bien a toujours de puissants ennemis, et le mal trouve presque toujours de la protection.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La satiété des plaisirs est le tourment des heureux.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Une des premières vertus est de tolérer chez les autres ce qu'on s'interdit à soi-même.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La communication est la base de toute relation.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La communication est la base de tout enrichissement.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

C'est marcher à grands pas que de s'arrêter à propos.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'hypocrite a toujours deux visages, et souvent deux cœurs.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'affection découvre plutôt ce qu'on est qu'elle ne fait voir ce qu'on voudrait paraître.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

On n'est jamais plus fin que lorsqu'on n'a pas besoin de l'être.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Il y a un mépris des éloges qui n'est pas modestie, mais orgueil.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Il faut bien du courage et de la modération pour soutenir l'ingratitude de ceux qu'on aime.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

On est toujours petit quand on a des faiblesses à cacher, des intérêts à soutenir.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les louanges sont des satires quand elles ne sont pas sincères.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les animosités les mieux fondées sont toujours un grand fardeau à soutenir.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La plus grande difficulté dans l'éducation des enfants, est que les parents soient un exemple.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'opportunité est une occasion qui ne se présentera qu'une fois à toi ; saisis-la.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Il faut une grande fermeté pour dissimuler un grand outrage.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Ce n'est pas seulement la valeur qui fait les hommes extraordinaires, c'est elle qui les commence et les autres vertus les achèvent.

Les Échos de la pensée, 38 (1855)

La vie se passe à courir des plaisirs à l'ennui, et à retourner de l'ennui aux plaisirs.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La plus haute vengeance à exercer contre celui qui médit est le mépris ou l'oubli.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La délicatesse est la perfection de la sensibilité et la recherche du sentiment.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La vieillesse est honorable pour tout cœur bien né.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Un père et une mère sont naturellement nos premiers amis ; personne d'autre au monde à qui nous soyons plus redevables.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Prescrire l'affection, c'est commander l'hypocrisie : l'attachement doit naître de lui-même.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Quand le cœur s'attendrit, l'esprit en est plus beau.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Dites ce que vous pensez, et ne faites pas trop valoir votre opinion.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Il faut être bien sûr de soi-même pour juger les autres.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La peur est plus persuasive que la raison.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Il y a bien de l'esprit à savoir se taire à propos.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Être riche n'est rien, le tout est d'être heureux.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Respectez, en toute occasion, les usages, le rang et la bienséance.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les méchants sont hardis, les sages sont timides.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La morale du sage est la voix de son cœur.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Pour parler à propos, il faut parler rarement.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Des heureux que l'on fait on reçoit le bonheur.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les enfants et les fous s'imaginent que vingt francs et vingt ans n'ont jamais de fin.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Pardonne à tous, et rien à toi.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'imprudence laisse échapper les secrets, l'amitié les confie ; l'amour, le véritable amour les livre, et ne s'en aperçoit pas.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Plus l'amour vieillit, plus il est faible ; l'amitié devient plus forte en vieillissant.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'estime est plus flatteuse que l'amitié et que l'amour, elle captive mieux les cœurs et fait moins d'ingrats.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La vie parait trop courte à ceux qui savent en jouir et en connaissent le prix.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Qui de femme honnête est séparé, d'un don divin est privé.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La paresse est, de tous les vices, la plus niaise ; elle ne mène qu'à l'ignorance.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La promptitude à croire le mal sans l'examiné, est un effet de l'orgueil et de la paresse.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La sincère amitié est si rare qu'elle est inappréciable, mais rien n'est plus commun que la simulation de ce sentiment.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le temps qui passe emporte les peines et les plaisirs.

Les Échos de la pensée, 37b (1855)

La vertu ne nous paraîtrait pas si belle si elle n'était un triomphe.

Les Échos de la pensée, 47 (1855)

Il n'y a de vrai bonheur pour l'homme sur la terre, que dans l'exercice de sa raison et de son cœur.

Les Échos de la pensée, 48 (1855)

La plus belle faiblesse d'un homme, si c'en est une, c'est d'être sensible jusqu'aux larmes aux malheurs de son semblable.

Les Échos de la pensée, 49 (1855)

La voix des remords qui s'élève dans notre âme fait l'apologie de la vertu.

Les Échos de la pensée, 51 (1855)

De quelque manière que l'on se venge, on se venge toujours mal.

Les Échos de la pensée, 46 (1855)

C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. Voilà le principe de toute impertinence.

Les Échos de la pensée, 1 (1855)

Les plus grandes choses n'ont besoin que d'être dites simplement : Elles se gâtent par l'emphase.

Les Échos de la pensée, 2 (1855)

Un poltron peut être un fort honnête homme, tant qu'il n'occupe point la place d'un homme courageux.

Les Échos de la pensée, 12 (1855)

La vraie politesse ne consiste pas à faire des compliments et des révérences, mais à dire et à faire des choses agréables à ceux avec qui nous vivons.

Les Échos de la pensée, 10 (1855)

Les plaisirs du monde sont trompeurs : ils promettent plus qu'ils ne donnent.

Les Échos de la pensée, 9 (1855)

On espère vieillir ; on craint la vieillesse : c'est-à-dire l'on aime la vie et l'on fuit la mort.

Les Échos de la pensée, 24 (1855)

Celui qui n'a aucune vertu porte toujours envie à celle des autres.

Les Échos de la pensée, 21 (1855)

La morale sans culte fait des philosophes et des sages mondains.

Les Échos de la pensée, 18b (1855)

La sagesse est communément le fruit de l'expérience.

Les Échos de la pensée, 32 (1855)

La plupart des hommes passent leur vie à s'ennuyer et à trouver la vie courte.

Les Échos de la pensée, 23 (1855)

Il est plus honorable de confesser ses fautes que de vanter ses mérites.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'ingratitude est une banqueroute morale.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La solitude laisse à la réflexion le temps d'examiner tous les mouvements de l'âme.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Il en coûte peu pour plaire, mais il en coûte beaucoup pour plaire longtemps.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le bonheur n'est agréable qu'autant qu'on a la connaissance du malheur.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Il est rare que l'amour ne soit fou dans une âme folle.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Les plaisirs imprévus sont les plus agréables.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Qui ne tient pas sa promesse, n'est guère plus lié que s'il n'avait rien promis.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Toute promesse d'intérêt s'évanouit, dès que l'intérêt cesse.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Pour son bonheur entretenir, promettre ne faut sans tenir.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La femme est à l'homme ce que le soleil est à la lune.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Votre femme est une rose, disait-on à un poète aveugle : Je m'en doutais aux épines, répondit-il !

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Qui se marie se met en chemin pour faire pénitence.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Si vous voulez rendre le mariage impossible, accordez à la femme les mêmes droits qu'à l'homme.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le plus grand tort de tous les hommes envers leurs femmes, c'est de les avoir épousées.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La femme libre, c'est un navire à la merci des flots.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Un célibataire, c'est un vieillard en enfance.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

En amour, qui donne tout sans réserve, n'a plus besoin de compter.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le temps n'est jamais perdu s'il est donné aux autres.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Qui a faute d'argent et d'or, bien repose et sûrement dort.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Aux pauvres un œuf, vaut tout autant qu'un bœuf.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Le monde parle, l'onde roule, le vent souffle et l'âge s'écoule.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Bonne épargne dans la jeunesse, se retrouve dans la vieillesse.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La vie est une lampe ; jouis-en tandis qu'elle brûle : si tu dors, c'est autant de perdu.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Il n'y a point de temps perdu, les uns ont le bon, les autres le mauvais.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Passant, le temps se passera, et le temps passé jamais ne reviendra.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

La sincérité est le tribut de l'amitié, elle est sa caution et détermine son existence.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Si tu fatigues ton terrain, en culture tu n'es pas fin.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

En culture tous les progrès, pour le pays sont des bienfaits.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

En culture être le premier, ne se peut faire sans étudier.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Veux-tu rendre ton bien meilleur ? Toi-même sois-en régisseur.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Homme qui paye ce qu'il doit, est plus riche que l'on ne croit.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Mieux vaut payer et peu avoir, qu'avoir moult (beaucoup) et toujours devoir.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Quand parler d'autrui tu voudras, regarde toi, tu te tairas.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Pour faire l'achat d'un domaine, réfléchis plus d'une semaine.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Qui connaît le sol et le ciel, en culture sait l'essentiel.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Sache-le bien : expérience, en culture, passe science.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Que vos amis absents aient autant de place dans votre mémoire que les présents.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Si ton ami a commis quelque offense, ne va soudain contre lui t'irriter, et doucement, pour ne le dépiter, fais lui ta plainte et reçois sa défense.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Dormant la grasse matinée, n'espère pas de bonne année.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

L'ingratitude peut quelquefois s'excuser, mais jamais se justifier.

Dictionnaire de la sagesse populaire (1855)

Toutes choses entrent dans l'abime du passé, d'où elles ne sortent plus jamais.

Les Échos de la pensée, 37 (1855)

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