La diligence est la mère de la chance.
La vengeance est l'arme du fou.
L'ouvrier diligent et travailleur ne manque jamais de pain.
Une seule fleur ne fait pas le printemps.
Tout affamé rêve de manger.
Quand on s'attaque à trop de choses, on finit par tout gâcher.
Celui qui aime Dieu aime aussi les hommes.
L'homme sans ami est comme la gauche sans la droite.
Le goinfre est du pays où les arbres n'ont pas d'écorces.
Le ventre reçoit et le peu et le trop.
On ne fait pas fumier du pain.
Bouche d'homme, gueule de chien, demandent pain.
On ne peut savoir de quoi demain sera fait.
Homme de vin ne vaut rien.
La pauvreté ne fait pas honte.
Un seul Dieu, mais plusieurs saints.
Chacun dirige l’eau vers son moulin.
Les morts avec les morts, les vivants avec les vivants.
Le pauvre ne craint pas les voleurs.
Le menteur, quand il dit la vérité, tombe malade.
On reconnaît la belle journée dès le matin.
L'homme passe, le monde demeure.
Le cabri saute la table, la chevrette saute le mur.
Si le mal est devant, on court le rattraper ; s'il est derrière, on s'arrête pour l'attendre.
Les yeux qui ne se voient pas s'oublient.
Même un âne ne tombe pas deux fois dans le même sable mouvant.
Fais ce qui est bien, sois charitable, et laisse passer.
Plutôt que beaucoup d'esprit, ayez toujours un peu de chance.
N'est pas beau ce qui est beau, mais ce qui me plaît.
À bon voyageur, bons pieds.
Le nombre des enfants est la richesse de l'homme.
L'eau passe, la pierre demeure.
Jupe de femme est lange du diable.
Du chêne naît un chêne.
Si tu donnes, oublie ; si tu reçois, rappelle-toi.
Jusqu'à ce que tu arrives à Dieu, tu te feras manger par les saints.
Si tu courbes la tête, le sabre passera au-dessus, ils ne te la couperont pas.
Même quand il est rassasié, l'homme avide a toujours faim.
Ce qui est mauvais, écris-le sur l'eau courante.
Un métier en main est un bracelet d'or.
Je crois en tes douleurs, mais je n'entends que les miennes.
Un escalier se balaie en commençant par le haut.