Les citations célèbres de George Sand.

1 - Notre citation favorite de George Sand :

Photo de George Sand L'amitié, c'est une sorte d'amour aussi, immense et sublime en de certains moments, mais insuffisante, parce qu'elle ne s'occupe que des malheurs sérieux et n'agit que dans les grandes et rares occasions. La vie de tous les jours, cette chose si odieuse et si pesante dans la solitude, cette succession continuelle de petites douleurs fastidieuses que l'amour seul peut changer en plaisirs, l'amitié dédaigne de s'en occuper. (Extrait de Jacques publié en 1834.)
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2 - Les pensées et citations célèbres de George Sand :

La vie solitaire est une vie anomale ; l'âme incomplète n'y peut donner qu'une vie incomplète.

George Sand - Evenor et Leucippe (1846)

L'amour ne se brise pas comme une chaîne matérielle : il ne peut que s'éteindre peu à peu.

George Sand - Antonia (1863)

Une femme, quand elle est héroïque, ne l'est pas à demi.

George Sand - Elle et lui (1859)

Comprendre l'amour du mal est impossible à qui a l'amour du bien.

George Sand - Correspondance (1812-1876)

La flatterie est le joug qui courbe les têtes ardentes et légères.

George Sand - Indiana (1832)

La femme est imbécile par nature, c'est un être avec qui il faut savoir manier la louange et chatouiller son amour-propre.

George Sand - Indiana (1832)

Un mot de toi, un regard, un baiser, auraient suffi pour m'absoudre.

George Sand - Indiana (1832)

La plus grande impiété dont l'homme puisse souiller sa vie, c'est la paresse et l'indifférence.

George Sand - Un hiver à Majorque (1842)

L'amour est un, et toute union veut l'unité.

George Sand - Mademoiselle La Quintinie (1863)

Il n'y a de consolation, pour les cœurs brisés, que dans les douces affections.

George Sand - Le tiroir du diable (1853)

L'oubli est un monstre stupide qui a dévoré trop de générations.

George Sand - L'histoire de ma vie (1855)

Je ne puis me séparer de toi sans te dire que mon cœur en saigne déjà.

George Sand - Leone Leoni (1835)

L'amour étend l'égoïsme à deux êtres fondus en un seul.

George Sand - Le compagnon du tour de France (1841)

L'amour est égoïste, exigeant, fantasque !

George Sand - Françoise, Comédie (1856)

Un noble époux est un ami, un soutien, un autre soi-même.

George Sand - Consuelo (1843)

Qui trop s'admire se croit dispensé d'être aimable.

George Sand - Mont Revèche (1853)

Restez tel que vous êtes ; ne descendez jamais au-dessous de vous-même.

George Sand - Valentine (1831)

Le temps et l'expérience marchent pour tous.

George Sand - Valentine (1831)

Les femmes les plus retenues dans l'apparence sont les plus trompeuses.

George Sand - Claudie, Théâtre (1851)

Une nuit d'amour sans lendemain, sans conditions et sans regrets, voilà tout ce que je veux !

George Sand - La Daniella (1857)

Quand le véritable amour envahit le cœur, c'est une irruption qui emporte le passé comme un rêve.

George Sand - Melchior (1842)

La Providence ne doit rien à ceux qui ne savent pas attendre.

George Sand - Flaminio, Théâtre (1854)

L'amour est un trésor et une conquête pour les uns, une attente ou un regret pour les autres.

George Sand - Flaminio, Théâtre (1854)

Le vrai amour ne s'offense pas, il ne connaît pas la rancune, il ne cherche pas à se venger.

George Sand - Flaminio, Théâtre (1854)

Le vrai amour s'expose et se livre sans rien exiger, il n'a pas de dépit, il ne craint pas le ridicule.

George Sand - Flaminio, Théâtre (1854)

L'amour vrai, l'amour sacré, l'amour de l'âme n'habite point le cœur de l'incrédule.

George Sand - Mademoiselle La Quintinie (1863)

Tout est beau et serein dans la mort du juste ; son départ cause des larmes, mais son souvenir laisse l'espérance et la consolation sur la terre.

George Sand - L'histoire de ma vie (1855)

L'amour, c'est l'amitié portée jusqu'à l'enthousiasme.

George Sand - Teverino (1846)

Dieu n'exauce point les vœux de la haine.

George Sand - Les lettres d'un voyageur (1834)

L'homme privé d'idéal est l'esclave de lui-même.

George Sand - Spiridion (1839)

Nous ne savons rien, nous avons tout à apprendre.

George Sand - Spiridion (1839)

Vivre d'amour et en mourir, c'est beau pour une femme.

George Sand - Lélia (1833)

Il n'y a rien d'impossible quand on s'aime.

George Sand - Jean de la Roche (1859)

Oublie la malice des hommes, abandonne-les à leurs souffrances.

George Sand - Histoire du véritable Gribouille (1851)

C'est parce que je t'aime que je veux te donner des preuves d'amour véritable.

George Sand - Lavinia (1834)

Le bonheur d'autrui est un spectacle qui dessèche et dévore.

George Sand - Valentine (1831)

Je suis une pierre que le temps désagrège, et la tranquillité de ces blocs, dont toute l'affaire est de subir l'action des jours et des nuits, me gagne, me pénètre, me calme et endort ma vitalité.

George Sand - Impressions et souvenirs (1871)

C'est ne pas vivre que de vivre dans le désir et dans l'attente.

George Sand - Le compagnon du tour de France (1841)

Un homme abruti n'appartient plus à aucune espèce, il doit être mis à l'écart de la société.

George Sand - Lélia (1833)

C'est être heureux que de vivre dans deux âmes à la fois.

George Sand - Mademoiselle Merquem (1868)

L'amour, c'est le complément de la vie, c'est son apogée ; c'est végéter que d'être seul.

George Sand - Mademoiselle Merquem (1868)

Le doute est un mal nécessaire, on peut dire qu'il est un grand bien, et que, subi avec douleur, avec humilité, avec l'impatient désir d'arriver à la foi, il est un des plus grands mérites qu'une âme sincère puisse offrir à Dieu. Oui, certes, si l'homme qui s'endort dans l'indifférence de la vérité est vil, si celui qui s'enorgueillit dans une négation cynique est insensé ou pervers, l'homme qui pleure sur son ignorance est respectable, et celui qui travaille hardiment à en sortir est déjà grand, même lorsqu'il n'a encore rien recueilli de son travail. Mais il faut une âme forte, ou une raison déjà assez mûre pour traverser cette mer tumultueuse du doute sans y être englouti.

George Sand - Spiridion (1839)

L'amour du gain pousse les ambitieux jusque dans des précipices où la terre manque sous leurs pieds.

George Sand - La ville noire (1861)

L'amour, c'est une chose qui embrouille la cervelle et fait clocher la raison.

George Sand - Antonia (1863)

Ce qu'il y a de plus doux, de plus noble et de plus bienfaisant dans la vie, c'est d'aimer, c'est de sentir et de concevoir le beau idéal. Voilà pourquoi il faut aimer tout ce qui s'en rapproche, le rêver sans cesse, le chercher partout, et le prendre tel qu'on le trouve.

George Sand - Les maîtres mozaïstes (1838)

Quand nos larmes se sont mêlées, nos cœurs se sont entendus.

George Sand - Jacques (1834)

Ce qu'il y a de plus doux au monde, c'est la tristesse qu'on partage : les larmes qui se mêlent à d'autres larmes sont un baume pour la douleur.

George Sand - Jacques (1834)

La solitude prolongée assombrit et désenchante, elle répand l'effroi dans l'âme la plus forte.

George Sand - La Comtesse de Rudolstadt (1843)

Il y a dans l'humanité, à l'heure qu'il est, une souffrance morale qui ne peut rien amener de bon. Le méchant souffre, et la souffrance du méchant, c'est la rage ; le juste souffre, et la souffrance du juste, c'est le martyre auquel peu d'hommes survivent.

George Sand - La petite Fadette (1849)

Dieu laisse les orgueilleux à eux-mêmes.

George Sand - Le marquis de Villemer (1861)

La loi des temps n'a pas une marche régulière, à certaines époques de la vie des nations, un siècle est parcouru dans une heure, et quand l'humanité a péniblement accompli son œuvre préparatoire, elle se précipite et fait son étape en moins de temps qu'il ne lui en a fallu pour se lever et se mettre en marche.

George Sand - Correspondance (1812-1876)

Le grand amour, ce rêve de toute une vie !

George Sand - Françoise, II, 10 (1856)

L'amour ne vit que d'enthousiasme ; tout ce qui porte atteinte à sa délicatesse le flétrit.

George Sand - Horace, I (1842)

Oubliez l'ingrat qui vous abandonne ; souvenez-vous de l'ami dévoué qui vous reste fidèle.

George Sand - Les sept cordes de la lyre (1840)

L'âme est une lyre dont il faut faire vibrer toutes les cordes.

George Sand - Les sept cordes de la lyre (1840)

La grâce et le charme sont le partage exclusif de la jeunesse.

George Sand - Les sept cordes de la lyre (1840)

L'amour est la seule chose qui puisse être infinie dans le cœur de l'homme.

George Sand - Les sept cordes de la lyre (1840)

Changer d'amant n'est pas changer d'amour.

George Sand - Lélia (1833)

Aimer, c'est vivre à deux.

George Sand - Lélia (1833)

Il n'est qu'un bonheur au monde, c'est l'amour ; tout le reste n'est rien.

George Sand - Jacques (1834)

Heureux celui qui peut espérer de ressentir un nouvel amour !

George Sand - Jacques (1834)

Les desseins de Dieu sont impénétrables, et sa miséricorde est immense.

George Sand - Lélia (1833)

Hélas ! l'amour ne vit pas longtemps de doux regards et de billets doux.

George Sand - Flaminio, Théâtre (1854)

Le malheur qui ne se plaint pas a le droit de se faire respecter.

George Sand - Claudie, Théâtre (1851)

Mieux vaut ne pas se hâter de déclarer son amour avant d'être certain que cet amour ne soit partagé.

George Sand - Heures du soir, Le livre des femmes (1833)

Apprends la courtoisie des manières, elles sont l'expression de ton cœur.

George Sand - Mauprat (1837)

C'est toujours une sotte chose de se laisser aller à parler de soi. Ceux qui ont besoin de cela pour nous connaître ne nous aiment point, et ceux qui nous aiment nous devinent.

George Sand - Lettre à Anselme Pépétin, le 30 mai 1842.

Le gueux n'a jamais rien, il aime à croupir dans l'inaction.

George Sand - Le dieu Plutus (1862)

On n'a rien à écouter d'un ingrat ni d'un faux ami.

George Sand - Le meunier d'Angibault (1845)

Il faut se méfier de l'homme à qui le vin ne desserre jamais les dents.

George Sand - Jacques (1834)

Je ne crois au danger que quand je le touche, et je l'oublie dès qu'il est passé.

George Sand - Les lettres d'un voyageur (1834)

La vie d'un ami, c'est la nôtre, comme la vraie vie de chacun est celle de tous.

George Sand - L'histoire de ma vie (1855)

L'amour et le besoin de manger ; ça nous humilie, tant pis !

George Sand - Antonia (1863)

Un homme qui parle d'amour avec esprit est médiocrement amoureux.

George Sand - Indiana (1832)

L'amour est un contrat aussi bien que le mariage.

George Sand - Indiana (1832)

Dans la politique, toute poésie est un mensonge auquel la conscience se refuse.

George Sand - Lettre à Joseph Mazzini (1850)

Il faut un travail rude et une haute volonté pour faire de la passion une vertu.

George Sand - Lettre à M.***, Juin 1835.

L'art est une démonstration dont la nature est la preuve.

George Sand - Avant-propos de François le Champi (1850)

Le repos est un rêve ; la vie est un orage.

George Sand - Tamaris (1862)

Le cœur de l'homme est fait pour la tranquillité comme un oiseau pour la cage.

George Sand - Tamaris (1862)

Le rire est une gaieté optimiste et sympathique.

George Sand - La Daniella (1857)

La vanité est le plus despote, et le plus inique des maîtres.

George Sand - Teverino (1846)

Une femme ne peut pas aimer d'amour un homme qu'elle sent inférieur à elle en courage ; l'amour sans vénération et sans enthousiasme n'est plus que l'amitié : l'amitié est une froide compagne pour aider à supporter les maux immenses que l'amour a fait accepter.

George Sand - La mare au diable (1846)

L'amour c'est la vertu de la femme, c'est pour lui qu'elle se fait une gloire de ses fautes, c'est de lui qu'elle reçoit l'héroïsme de braver ses remords. Plus le crime lui coûte à commettre, plus elle aura mérité de celui qu'elle aime. C'est le fanatisme qui met le poignard aux mains des religieux.

George Sand - Indiana (1832)

L'homme qui ne se sent pas la force d'être froid et implacable dans sa vengeance, doit abjurer toute velléité d'impatience et de ressentiment.

George Sand - Indiana (1832)

On rend un homme infidèle par le soupçon excessif de son infidélité.

George Sand - Constance Verrier (1860)

Il n'y a d'homme accompli que celui qu'on aime.

George Sand - Constance Verrier (1860)

La femme vit par la pensée de l'amour autant que par l'amour même.

George Sand - Constance Verrier (1860)

L'homme dit : aimons pour vivre ; et la femme répond : vivons pour aimer.

George Sand - Constance Verrier (1860)

Qui a bon cœur n'est jamais sot.

George Sand - François le Champi (1850)

Le présent, c'est la vie, et la vie n'est pas dans l'isolement.

George Sand - Les lettres retrouvées, Hier et aujourd'hui (1848)

L'amitié partage toutes les peines et non tous les plaisirs.

George Sand - L'histoire de ma vie (1847)

Chagrin d'enfant et rosée du matin n'ont pas de durée.

George Sand - François le Champi (1850)

On est si heureux de se sentir encore naïf en dépit de l'âge et de l'expérience qu'on peut bien pardonner aux autres de vous trouver niais.

George Sand - Flaminio, Théâtre (1854)

L'amour, c'est la fusion, l'identification de deux êtres qui s'admirent et s'adorent l'un l'autre.

George Sand - Le diable aux champs, IV, 10 (1857)

La solitude du cœur rend triste et maussade.

George Sand - Le marquis de Villemer (1861)

L'abandon de deux volontés qui se confondent en une seule est un miracle.

George Sand - La comtesse de Rudolstadt (1843)

L'amour n'a que faire dans le mariage qui est la tendresse.

George Sand - Correspondance (1812-1876)

J'ai peine à croire qu'en perdant ceux qu'on aime on conserve son âme entière.

George Sand - Les lettres d'un voyageur (1834)

La chasteté est nue comme Eve avant sa faute.

George Sand - Jacques (1834)

Le dévouement tue l'amour et le change en amitié.

George Sand - Jacques (1834)

On ne brise pas la vie d'un siécle sans se briser avec lui.

George Sand - Mademoiselle La Quintinie (1863)

L'avenir peut s'éveiller plus beau que le passé.

George Sand - Aldo le rimeur (1833)

Hélas ! il est facile de prescrire la patience ! Si vous étiez, comme moi, placée entre ceux qui vivent encore et ceux qui ne vivent plus, vous seriez, comme moi, agitée d'une sombre colère, et tourmentée d'un insatiable désir d'être quelque chose, de commencer la vie, ou d'en finir avec elle.

George Sand - Lélia (1833)

Il ne suffit pas de trouver le calice amer, il faut encore le boire jusqu'à la lie.

George Sand - Lélia (1833)

On ne sait jouir de rien à force de vouloir jouir de tout.

George Sand - Lélia (1833)

La brièveté des jours m'interdit le triste plaisir des rêveries.

George Sand - Lélia (1833)
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