Le devoir est souvent la sentinelle inflexible qui consigne le bonheur à la porte.
Le devoir est pour quelques-uns une camisole de force.
Le devoir est ce que l'on attend des autres, ce n'est pas ce que l'on fait soi-même.
Chacun conçoit clairement le droit et le devoir : le droit pour soi, le devoir pour les autres.
Le devoir est une dette que l'on est plus empressé de reconnaître que de payer.
Le devoir, c'est d'aimer ce que l'on se commande à soi-même.
Le devoir n'est pas toujours très poli. Il dit : Je veux ! à pleine bouche, et : J'entends ! à pleine menace. Ce qui est gentiment demandé est pourtant déjà accordé, monseigneur le Devoir !
Le devoir, c'est l'amour de Dieu sous tous les noms.
Le devoir ne consiste pas à faire grand, mais à faire ce que l'on a à faire.
Le devoir est toujours sévère, il veut une tension, il réclame l'effort.
Le devoir est à chaque instant frère du sacrifice.
Le devoir est la plus grande des idées, parce qu'il implique l'idée de Dieu, de l'âme, de la liberté, de la responsabilité, de l'immortalité ; il est aussi la plus généreuse, parce qu'en dehors d'elle, il n'y a que le plaisir et l'intérêt.
Le devoir aide à vivre, parce qu'il divise le temps et ordonne le travail.
Le devoir d'un père est de corriger les défauts de ses enfants : le penchant de la mère est de les excuser. Le père doit les corriger, mais sans trop de rigueur : la mère doit compatir à leur faiblesse, mais sans trop de complaisance.
Le devoir est de porter son fardeau avec soumission, la douceur est d'alléger le fardeau des autres.
Le devoir est moins ce qu'on doit aux autres que ce qu'on se doit à soi-même.
Le devoir subsiste dans les limites où il nous est possible de l'accomplir.
Le devoir, c'est la conscience mise en action.
Le devoir est la nécessité volontaire, la lettre de noblesse de l'homme.
Le devoir est un fruit placé bien haut sur l'arbre du bien, et nos bras sont si petits !
Le devoir est auprès de ceux qu'on aime.
Le devoir porte chacun au dehors de soi, car il a pour but la conservation, le bien de tous.
Le devoir d'un fils est de veiller sur ses parents.
Le devoir pour l'homme est de travailler à son amélioration morale.
Le devoir est la base de la société, l'indispensable condition de l'existence commune.
Le devoir seul nous cramponne sérieusement à la vie.
Le devoir est un dieu qui ne veut point d'athée.
Le devoir pur est le pur dévouement, ou la justice et l'amour suprême.
Le devoir est le mot de toute vie, même celle de l'enfant. Sous sa forme positive s'appelle l'obéissance ; sous sa forme négative, le renoncement. Sous toutes deux, le devoir, autorité sacrée, donne la paix et le bonheur.
Le devoir est une bride sans mors, qui ne retient que le coursier tranquille.
Le devoir, c'est le devoir, et vice-versa.
Le devoir de respecter la vie et la propriété d'autrui est une exigence fondamentale de la vie sociale.
Le devoir n'est fait que pour nous rendre heureux.
Le devoir d'une femme est de bien gouverner sa maison.
Le devoir d'un bon soldat consiste à savoir se taire.
Le devoir c'est la volonté de l'autre en moi, c'est l'aliénation de ma liberté propre.
Le devoir de chacun est non seulement d'aimer les autres, mais encore et surtout de se rendre soi-même digne d'être aimé par les autres.
Le devoir, c'est ce qu'on exige des autres.
Fais ton devoir, les dieux feront le reste