Les proverbes polonais.

Bien que le soleil se réchauffe en avril, parfois le vent soufflera de la neige.

Le paysan tire et Dieu porte les balles.

L'argent gagné par le trafic ne constitue pas un gain honorable, et Dieu ne le bénit pas.

L'amour sans jalousie est comme un Polonais sans moustache.

Si tu es dans l'angoisse, tourne-toi vers Dieu.

Au pauvre, même la nuit de noce est courte.

Malheur à la maison où la vache cogne le bœuf !

Une brave épouse tient trois angles de la maison, et son mari le quatrième.

Chacun porte les mains tournées vers soi.

Si de vieux os se marient, il y a plus de gêne que d'amour.

Même à Paris, on ne fera pas de l'avoine avec du riz.

Quand la guerre commence, l'enfer s'ouvre.

Une paix de fer est meilleure qu'une guerre d'or.

Qui danse le vendredi, pleure le dimanche.

Sans bœuf, pas de bouillon.

Sourire d'affamé est sourire mensonger.

Une vache qui mugit beaucoup donne peu de lait.

Tel tu fréquentes, tel tu deviens.

À Dieu le chandelier, et la chandelle au diable.

Qui n'a pas vu d'église s'incline devant l'âtre.

Eau qui dort sape les berges.

L'âme des gens de bien est un sanctuaire où les méchants sont jugés.

Ce que Dieu a donné ne peut être repris, ce que Dieu n'a pas donné tombe des mains.

Quand on a eu peur, on retrouve Dieu.

Un arrangement à l'amiable vaut mieux que tous les procès.

Quand on n'écoute plus la raison, on est capable de tout.

Souffler dans la ruche pour mettre les abeilles en furie.

Le pire démon est celui qui prie.