Qui n'a pas de mère doit tout garder dans son cœur.
Le travail doit être continu, même si les récoltes sont intermittentes.
Consulte le sage, et tu auras sa sagesse en partage.
Une rivale est toujours une rivale, fût-elle le col d'une jarre !
Qui a de l'argent a souvent des tourments.
Que la chance t'accompagne en premier, et qu'on te mette du henné aux pieds.
Il ne faut faire confiance à personne, pas même aux doigts de sa propre main.
Après quarante ans, on connaît plus de morts que de vivants.
Le fils du rat saura creuser.
La politesse ne coûte rien et achète tout.
Le petit déjeuner du matin est un trésor de santé.
Les chanceux, même le vent est à leur service.
Il est inscrit au paradis, une belle-mère n'aime jamais sa belle-fille.
D'une bonne vigne prenez le plant ; d'une bonne mère, prenez la fille.
Bon amandier n'épanouit ses fleurs qu'en premier quartier.
La politesse est une clef d'or qui ouvre toutes les portes.
La patience est la clé de la guérison.
Quand les vents se sont disputés, le voyageur supporte le fardeau.
La durée fait fondre même le marbre.
Métier dans les mains, assurance contre la faim.
La rencontre des hommes vaut des trésors.
Même s'il porte un précieux harnais, l'âne ne se transforme pas en cheval de course.
Bienheureux es-tu qui possèdes sous la terre, quatre onces de chair.
À la bouche fétide, il n'y a que l'écorce du noyer.
Dans une caravane, c'est toujours le gueux qui dort le mieux.
L'hospitalité donne des droits qu'elle refuse au père.
Un fils ne grandit pas aux yeux de sa mère.
Qui veut la réussite ne doit pas ménager ses efforts.
Les rivales sont amies, et les belles-sœurs ennemies.
Le mensonge arrive vite à l'âge mûr, mais ne vit pas de longs jours.
On ne trouve le repos que dans la tombe.
Le pied va où le cœur le mène.
Le temps fait fondre même le marbre.
Chaque gouvernement a ses hommes.
Souris à la vie pour qu'elle te sourie.
Ce qui est mort l'est à jamais.