Les 92 pensées et citations sur le thème : Être heureux.
C'est quand on est heureux qu'on doit se souvenir de ceux qui ne le sont plus.
On peut être bon sans être heureux, mais on ne peut être heureux sans être bon.
Pour être heureux il faut un jugement sain ; il faut que, content du présent quel qu'il soit, on sache aimer ce que l'on a ; il faut que la raison nous fasse trouver du charme dans toute situation.
Celui-là est heureux qui cultive l'honnête, et qui ne se laisse ni enfler ni abattre par les événements ; qui ne connaît pas de plus grandes délices que celles qu'il puise dans son cœur, et pour qui la vraie volupté est le mépris des voluptés.
Vous voulez être heureux ? Soyez-le par vous-même !
J’aime mieux me faire chier tout seul que d’être heureux avec les autres.
Pour être heureux que faut-il ? De la vie faire deux parts : une moitié pour l'amour, l'autre pour l'amitié.
Ne se laisser éblouir de rien, c'est le seul, oui, le seul moyen d'être toujours heureux.
Je ne peux être heureux que là où je ne suis pas.
L'art d'être heureux consiste à savoir être en harmonie avec soi-même, avec ses semblables.
On n'est jamais si heureux ni si aimé qu'on le croit.
Le bonheur pour certains est quelque chose de si naturel, je dirais volontiers de si inévitable, qu’ils ne s’y attachent pas avec cette ardeur qu'on éprouve pour un bien déjà perdu et qu'on peut perdre de nouveau. Ils ne sauraient comprendre à quel point l'étonnement d'être heureux peut ajouter à l'intensité du bonheur.
Au lieu de vivre, j'ai usé ma jeunesse dans des rêves insensés. L'avenir est inconnu ; je veux mettre à profit le présent. Il m'appartient, et personne, oh ! personne ne pourra désormais m'empêcher de jouir de la vie à ma manière. Quelle insolence dans ces âmes superbes auxquelles le monde ne suffit pas ! Quelle orgueilleuse condamnation elles ont l'air de prononcer sur ceux qui ne veulent pas, comme elles, souffrir sans relâche de la disproportion entre leurs besoins et ce que la vie peut offrir pour les satisfaire ! Quel dédain ! Quel redoublement de passion pour leurs chimères ! Ah ! je le sens, ce ne sont pas leurs tendances seules que je hais, c'est elles-mêmes ! Qu'on me laisse donc être heureux comme je l'entends ! Qu'on me laisse déployer cette activité qui a besoin des hommes, de la terre, des affaires compliquées et difficiles, pour éclater dans toute sa force ! Je ne suis pas fait pour végéter toujours dans la vie privée. Les sentiments fanés de ma jeunesse ne me suffisent plus ; il faut un vaste champ à mon activité.
On est heureux qu'à la condition de s'adapter à son milieu, ce qui demande une certaine souplesse naturelle ou une éducation très intelligente. L'adaptation au milieu, voilà le secret du bonheur, mais ne s'adapte pas qui veut.
Pour être heureux par ses enfants, il faut leur donner le bonheur ; c'est de leur bonheur qu'on jouit. L'expérience m'a convaincu de tous les avantages de la douceur pour développer les facultés intellectuelles et morales, pour inspirer aux jeunes gens le sentiment de l'honnête et du beau.
Un homme peut être heureux avec une femme tant qu'il n'est pas question d'amour entre eux.
Il ne suffit pas à l'homme d'être heureux, il faut aussi que les autres ne le soient pas.
Nous étions faits pour être libres, nous étions faits pour être heureux, le monde l'est lui pour y vivre, et tout le reste est de l'hébreu.
Je vous souhaite d'être heureux autant que je l'ai été, mais plus longtemps tout de même, bien plus longtemps !
C'est oublier la place que le cœur tient dans la vie à côté de la raison que de prendre l'égoïsme pour l'art d'être heureux.
Il faut une grande force d'âme pour renoncer à être heureux lorsqu'on sent qu'on pourrait l'être.
On est heureux lorsqu'on est d'accord avec sa vie ; et on est d'accord avec elle lorsqu'on l'accepte.
Il n'est au pouvoir d'aucune femme de rendre un homme heureux, fût-elle la perfection sur terre. L'homme ne sera heureux que s'il l'aime, fût-elle un choléra.
On est facilement heureux quand on croit que rien ne vous est dû.
Je ne sais pas ce que c'est que le bonheur. Je n'ai jamais été heureux mais j'ai toujours été gai.
Le but de la vie, c'est d'être heureux. On n'y arrive que lentement. Il y faut une application quotidienne. Quand on l'est, il reste beaucoup à faire : à consoler les autres.
Pour être heureux, il faut faire ce qu'on veut, et avoir fait ce qu'on doit.
La première condition pour être heureux est de se croire indispensable au bonheur d'un autre ; cela fait accepter la vie.
On n'est heureux que par l'espérance ou le souvenir ; en avant ou en arrière de nous, le bonheur est toujours loin.
Il n'y a presque pas d'hommes qui aient été continuellement malheureux ; il n'y en a pas qui soient continuellement heureux. La vie n'est donc ni une excellente ni une très mauvaise chose, mais, passez-moi l'expression, une chose médiocre participant des deux.
Dans une relation amoureuse, il n'est que de s'entendre ! Rien n'est plus facile que d'être heureux pourvu que de part et d'autre on y apporte quelque complaisance.
Il ne dépend pas toujours de nous d'être heureux, mais il dépend de nous de mériter de l'être.
On cherche moins à être heureux qu'à réunir les conditions sociales du bonheur.
Être heureux est le seul pied de nez que nous pouvons décocher à la mort.
Il faut oser être heureux et oser le dire en se reconnaissant dépositaire, non auteur de son bonheur, en étant humble et non orgueilleux.
L'amour nous donne envie de parler, de rire, d'être heureux sans raison. Il nous fait découvrir quelques-uns de nos possibles encore en friche.
C'est une terrible chose d'être heureux ! Comme on s'en contente ! Comme on trouve que cela suffit ! Comme, étant en possession du faux but de la vie, le bonheur, on oublie le vrai but, le devoir !
L'art d'être heureux en amour consiste à tout donner sans rien demander.
Un ardent désir d'être heureux est la moitié du bonheur.
Il ne faut à l'homme, pour être heureux, ni richesses, ni dignités, mais le strict nécessaire suffit à la joie du corps, la culture désintéressée des lettres à la joie de l'esprit, l'accomplissement du devoir à la joie de la conscience, l'amour de Dieu et des hommes à la joie surabondante de l'âme tout entière.