Il y a, dans la femme heureuse, quelque chose de plus étincelant que les diamants : c'est le sourire.
Citation de Gustave Vapereau ; L'homme et la vie (1896)
Il y a, dans la femme heureuse, quelque chose de plus étincelant que les diamants : c'est le sourire.
Pour qu'une femme soit heureuse, il faut d'abord qu'elle soit passionnée.
La seule chose importante en ce bas monde est de rendre heureuse une femme.
La femme ne vit pas seulement de pain, de dentelles et de cachemires, il faut nourrir son âme si on veut la voir heureuse, épanouie et vertueuse.
La femme tout à fait heureuse se résume en une caresse, en un baiser, en un soupir.
Une femme heureuse crée une atmosphère d'harmonie autour d'elle, dont bénéficient la maison, les voisins, la famille, les affligés. Cent femmes heureuses sauveraient pour ainsi dire une ville, par le rayonnement de bonté qui émanerait de leur cercle, car il n'y a tant de méchants que parce qu'il y a beaucoup de gens aigris.
Heureuse le femme qui peut être connue à fond et se donner tout entière.
La coquetterie ne va bien qu'à la femme heureuse.
Rendre heureuse une femme, c'est se faire un paradis dans son propre cœur.
C'est curieux les dames ! Il faut toujours se demander si on les a rendues heureuses.
Heureuses sont les femmes auxquelles un bel ange, qui est leur vie, leur sang, leur cœur, vient chaque matin leurs donner le baiser de paix, et leurs dire des petits mots doux.
La femme aimée est plus heureuse que l'homme aimé ; la femme domine, l'homme est dominé.
Chaque homme a le pouvoir de rendre une femme heureuse, en restant célibataire.
Souvenez-vous que si votre époux vit heureux chez lui, vous serez une femme heureuse.
Les seules femmes heureuses sur cette terre sont celles à qui nulle caresse ne manque.
Une femme sans douceur ne peut être heureuse, ni faire des heureux.
On n'aime que les femmes qu'on rend heureuses.
Un homme ne peut se flatter de connaître sa femme, et de la rendre heureuse, que quand il la voit souvent à ses genoux.