Il ne faut jamais s'éloigner des gens heureux lorsqu'on a l'aubaine de vivre près d'eux,
L'homme ne s'estime que rarement heureux dans son état naturel ; il lui faut une ivresse quelconque pour lui faire croire au bonheur.
Il est des heureux qui naissent pour aimer, et d'autres pour être aimés.
Heureux ceux qui vivent par le cœur et l'esprit ! Ils foulent la terre d'un pied léger et effleurent à peine les choses matérielles.
Ce n'est pas notre condition, c'est la trempe de notre âme qui nous rend heureux.
On est heureux en ce monde qu'à la condition de s'adapter à son milieu, ce qui demande une certaine souplesse naturelle ou une éducation très intelligente. Oui, l'adaptation au milieu, voilà le secret du bonheur. Mais ne s'adapte pas qui veut !
L'on n'est vraiment heureux que dans l'humilité la plus totale.
Quelqu'un qui vous dit qu'il va vous rendre heureux, c'est comme quelqu'un qui vous apporte une surprise. Il est rare que la surprise soit agréable. Elle tombe presque toujours à côté. Cela se comprend : le donateur, pour son cadeau, tâche d'imaginer ce qui lui ferait plaisir à lui.
Il ne faut pas s'éloigner des gens heureux lorsqu'on a l'aubaine de vivre près d'eux.
Que de gens sont heureux d'être les enfants de leur père, les neveux de leur oncle et même les filleuls de leur parrain !
L'amour veut ce qu'il aime heureux et fort ; tel est l'amour fraternel, maternel, conjugal.
Personne n'est parfaitement heureux, s'il n'a des témoins de son bonheur.
Peut-on n'être pas sensible au plaisir de faire des heureux, plaisir si vrai, si touchant, si digne du cœur !
Par une simple exagération de leur zèle cordial, ceux qui nous aiment voient souvent un malheur dans ce qui nous arrive d'heureux.
Quand on ne croit pas à une autre vie, il est naturel qu'on se rende heureux dans celle-ci.
Heureux aussi les hommes de plaisirs qui ne demandent qu'à se distraire !
On ne peut se rendre heureux qu'en contribuant au bonheur des autres.
On ne doit regarder aucun homme comme heureux, avant sa mort.
L'homme ne s'estime pas heureux dans son état naturel ; il lui faut une ivresse quelconque pour lui faire croire au bonheur.
On est heureux à sa façon et pour soi-même, et non selon la manière de voir des autres.
Les gens les plus heureux semblent être ceux qui réfléchissent le moins.
Je ne suis heureux que d'espoirs.
Je suis un désespéré heureux.
Soyez heureux si vous pouvez, c'est la sagesse ; rendre les autres heureux, c'est la vertu.
La plus belles des merveilles est un couple d'époux heureux.
En ce monde, on traîne sa brouette, mais on ne respire pas. — Qui est heureux ? Personne. Chacun n'a que des jours heureux, et privilégiés sont ceux qui en comptent quelques-uns par mois, ou par année.
Un homme heureux semble glisser entre tous les chagrins.
Rien ne rend heureux comme de rendre heureux.
Les heureux de ce monde sont les hommes qui ont quelques joies pour compenser leurs peines.
Celui-là seul est heureux qui rêve le bonheur.
Faire un heureux, quelle jouissance ! et surtout faire un heureux qui me fera rire !
Qui n'est pas heureux pourrait souvent le devenir par la seule vue du bonheur des siens.
On n'est jamais heureux qu'à ses propres dépens.
Nul homme n'est exempt d'alarmes, le moins triste est le plus heureux.
Tel au-dehors nous semble heureux, qui au-dedans ne diffère point des autres hommes.
Un homme heureux se porte toujours bien.
Il faut bien se garder de se dire trop heureux quand on ne l'est pas, crainte d'en payer l'impôt.
Si la vie est une loterie, mieux vaut prendre conseil des heureux que des sages.
On est digne de mépris quand on peut faire des heureux et qu'on ne le fait pas.
Toute prospérité ne rend pas l'homme heureux, tout ce qui brille n'est pas or.
Pour être pleinement heureux, le cœur a besoin de s'unir à un autre cœur.
Il n'est pas de plaisir plus doux que de faire des heureux.
On n'est heureux, ni riche, tant qu'on s'efforce de l'être davantage.
Rendons chacun heureux à sa façon et à sa guise, non à la nôtre, ainsi le veut la bonté, et ce n'est pas si difficile.
Il y aurait de quoi faire bien des heureux avec tout le bonheur qui se perd dans ce monde.
Soyez meilleur, vous serez plus heureux.
Rendre heureux quelqu'un, c'est augmenter son être, doubler l'intensité de sa vie, le révéler à lui-même, le grandir et parfois le transfigurer.
L'occasion de faire des heureux est plus rare qu'on ne pense, la punition de l'avoir manquée est de ne la plus retrouver, et l'usage que nous ferons de celle-ci nous va laisser un sentiment éternel de contentement ou de repentir.
Soyez heureux, il n'y a plus d'amis dès qu'on est malheureux.
N'est pas heureux qui ne veut l'être.
Les gens pardonnent pas volontiers que l'on soit heureux, et que l'on puisse se passer d'eux.
Chacun en ce monde a ses jours heureux, les privilégiés les comptent en mois ou en années.
Les temps les plus heureux sont les plus fugitifs