Mêlons nos souffles, échangeons nos baisers ! que notre amour déborde !
Citation de Johann Wolfgang von Goethe ; La fiancée de Corinthe (1797)
Mêlons nos souffles, échangeons nos baisers ! que notre amour déborde !
Vive l'amour que l'ivresse accompagne ! Que tes baisers brûlants sentent le vin d'Espagne !
L'amour, quand il est intense et passionné, n'a souvent pas d'autre langage que les baisers.
L'amour refuse les baisers qu'il veut qu'on lui ravisse.
L'amour qu'il avait pour elle, l'amour qu'elle avait pour lui, se cherchèrent et se joignirent enfin sur leurs bouches unies. Ce baiser, enivrant pendant plusieurs secondes, dura très longtemps.
Oh ! laissez-moi vous tenir enlacées, boire dans vos baisers des amours insensées.
Il est impossible que je passe six ou sept heures en tête à tête avec toi sans mourir d'envie de te couvrir de baisers.
En amour, tel mot, dit tout bas, est un mystérieux baiser de l'âme à l'âme.
Les querelles d'amour s'éteignent toujours dans un baiser.
Belle à tenter tous les dieux de l'Olympe, donne-moi un baiser savoureusement passionné, ta beauté est faite pour être aimée, et l'amour pour éclore en baisers sur tes lèvres brûlantes.
Un baiser n'engage pas, l'amour n'a rien à voir avec ces divertissements.
Un baiser sur ta nuque dorée par l'été, ou sur tes lèvres purpurines est un régal des dieux.
Un baiser de tendresse est tout un discours condensé en un seul souffle.
Long baiser sur les lèvres, bonheur délicieux, extase sans pareille.
Je préfère au constance, à l'opium, aux nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane.
Seule la forme du baiser sépare l'amour de l'amitié.
Le premier baiser, c'est le mot prononcé de concert par quatre lèvres qui fait de l'amour un roi.
La passion amoureuse est affamée de baisers de feu.
L'amour n'est permis qu'aux amants mortels dont le baiser donne la vie.
Baiser, festin d'amour dont je suis le Lazare !
Ah ! dans ces premiers temps où l'on aime, les baisers naissent si naturellement !
Lèvres ! Baiser qui meurt, baiser qui mord ; lèvres, lit de l'amour profond comme la mort !
Les femmes, ces diablesses sont nos anges. Oui, l'amour, la femme, le baiser, c'est un cercle dont je vous défie de sortir, et quant à moi, je voudrais bien y rentrer.