L'abus des plaisirs engendre le dégoût.
Plusieurs couvrent les abus du manteau de coutume.
Le monde n'est qu'abus et que vanité.
Il vient un temps où la tête chauve de l'abus ne s'attire plus ni protection ni respect.
Rien n'est si bon que quelque abus n'en suive.
On rend odieuses les meilleures choses en les confondant avec leurs abus.
Les abus se centuplent avec les années.
L'abus des choses en ôte le goût.
Quand un abus est enraciné, il faut un coup de foudre pour le détruire.
Les plus grands maux viennent souvent de l'abus des plus grands biens.
La réforme sera toujours en horreur à ceux qui vivent dans l'abus.
Quand l'abus est passé en coutume, il n'est plus possible ni de punir ni de retrancher.
L'abus s'introduit toujours comme la rouille.
Le mal n'est pas dans les richesses, mais dans l'abus qu'on en fait.
Le bon usage d'une mauvaise chose est préférable à l'abus d'une bonne.
Il est plus facile de prévenir les abus que de les réprimer.
Un grand pouvoir peut tomber par l'abus qu'on en fait.
Où l'abus commence, l'utilité cesse.