Pluie de février vaut un égout de fumier.
Après un engrais de fumier aigre et pourri on recueille un grain sain et bon.
L'orgueilleux est hardi comme un coq sur son fumier.
Chaque coq chante sur son fumier.
Pour deux coqs il n'y a pas assez de place sur le fumier.
Le fumier couvert d'or reste toujours du fumier.
Fumier qui porte un fruit, perd la moitié de son prix.
Une poignée de paille donne une pelletée de fumier qui produit quatre jointées de blé.
Un pré nourrit le bétail ; le bétail donne du fumier ; le fumier, du grain, et le grain, de l'argent.
Prodigue de fumier, riche de paille, gueux de blé.
Du même bois on fait la croix et la pelle à fumier.
Avec les prairies on nourrit le bétail, le bétail donne du fumier, et le fumier donne du blé.
Neige avant Noël vaut fumier dans le champ de seigle.
L'œil du maître est le meilleur fumier du champ.
Plus met-on paille en l'étable, et plus il y a du fumier.
Qui vend son fumier vend son pain.
Le fumier fait venir le grain qui nourrit le monde et remplit le gousset.
Un coq est bien fort sur son fumier.
Où il y a du fumier plein la cour, il y a plus d'une miche de pain sur la table.
Enlevez le fumier devant votre porte, avant de balayer devant la mienne.
Labour d'été vaut fumier.
Dans le fumier et dans l'urine, tout se développe, tout se nourrit.
Qui chaule sans fumier se ruine sans y penser.
Pluie de février, c'est du fumier.
Doublez votre fumier, vous doublez votre champ.
Pluie de février vaut jus de fumier.
Sans fumier il n'est pas de bonnes terres.
Deux moineaux se querellaient pour le fumier d'autrui.
Avec du fumier on ne connaît pas de mauvaises terres.