Les 64 pensées et citations sur le thème : Faire du bien.
L'homme doit faire le bien, et à cause de cela même il le peut à tout moment. Quelles que soient son ignorance et son abjection, quelle que soit la force des passions qui le sollicitent, il peut toujours entre deux voies choisir la meilleure.
Faire du bien, soulager, est une jouissance intime, la moelle du cœur d'une femme.
Il est rare que l'on ne ressente pas une secrète jalousie contre ceux qui réussissent à bien faire ce que l'on a la prétention de bien faire soi-même.
Être propre à faire tout bien c'est n'être propre à rien faire très bien.
Donner du bonheur et faire du bien, voilà notre loi, notre ancre de salut, notre phare, notre raison d'être. Toutes les religions peuvent s'écrouler ; tant que celle-là subsiste, nous avons encore un idéal et il vaut la peine de vivre.
Le seul moyen d'obliger les hommes à dire du bien de nous, c'est d'en faire.
Bien faire ce qu'on fait, fût-ce des souliers, c'est contribuer pour sa part à la suprématie de son pays.
Il y a des choses qu'on ne fait bien qu'avec son cœur, et d'autres qu'il ne faut faire qu'avec sa raison.
Dire des hommes qu'ils sont indignes qu'on leur veuille du bien est un beau prétexte pour se dispenser de leur en faire.
L'idée d'avoir fait le bien à des gens qui ne le méritent pas ou n'en sont pas reconnaissants ne m'en dégoûte pas du tout. Les gens passent et le bien reste.
Faites à autrui ce que vous voudriez qui vous fût fait, ce sera bien : faites-lui ce qu'il voudrait qui lui fût fait, ce sera mieux.
Ce qui vaut la peine d'être fait vaut la peine d'être bien fait.
Ce qui est fait est bien fait. Le regret est bête et nuisible.
Faire du bien, quand on le peut, en dire de tout le monde, ne jamais porter un jugement précipité : c'est par de tels actes de justice et de bonté que nous acquérons de grands droits à l'estime publique.
Pour bien faire une chose, il faut de la réflexion, du temps et de l'à-propos.
Faire du bien sans discernement, c'est entretenir l'ingratitude et payer pour se créer des ennemis.
Il y a un moment pour bien faire chaque chose, le tout est de savoir le saisir.
Entre la chair et la chemise, il faut cacher le bien que l'on fait.
Faire du bien à ses ennemis, c'est ressembler à l'encens, dont l'arome parfume le feu qui le consume.
Que peut redouter du droit de tout dire celui qui a la volonté de bien faire ?
Qui veut faire du bien doit rallier et non blesser.
Souvent ceux qui pensent avoir bien fait se retrouvent à recommencer.
Ceux qui sont soucieux de bien faire ne pense pas à beaucoup parler.
Que de gens se plaisent à faire le bien parce que, pour eux, faire le bien n'est qu'une occasion de faire la leçon à celui qu'ils secourent !
Faire le bien est de tous les bonheurs le plus sûr, il ne dépend que de nous.
Celui qui fait le bien a devant lui une perspective de bonheur.
Faire du bien au pauvre et à celui qui ne peut payer de retour, c'est amasser un trésor de vertu, qui n'en est pas moins riche pour être caché : c'est quelquefois préparer un riche héritage à ses enfants.
Il ne suffit pas de faire le bien, il faut encore le bien faire.
Celui qui médite de noirs desseins, cherche les chemins détournés, et ne marche qu'à la faveur des ténèbres. Celui qui ne pense qu'à bien faire, suit les grandes routes, et marche à la clarté du soleil.
Il faut plutôt faire ce qu'on sera bien aise d'avoir fait que ce que l'on est bien aise de faire.