Le plus pauvre des hommes a autant besoin de se nourrir et de manger à sa faim que l'homme riche ! Par conséquent, le patron ne doit pas trop marchander le salaire de son ouvrier, et le commerçant doit faire en sorte que le paysan qui lui cultive ses champs n'ait pas à souffrir de la faim.
Celui qui dépense suivant ses caprices, et sans calculer son revenu, ne tarde pas à se ruiner, quand bien même il serait riche à l'égal de Vaïsravana.
Tout homme qui ne rémunère pas un service (travail) est le pire des hommes.
La rémunération suit, comme une ombre, les bonnes et les mauvaises œuvres.
Le mal et le bien ont tôt ou tard leur salaire.
Une grosse fortune ne vaut pas un petit revenu de tous les jours.
Qui retient le salaire de l'ouvrier c'est comme s'il lui ôtait la vie.
Qui attend après le salaire de sa femme ne connaîtra pas l'abondance.
La dépense doit toujours être proportionnée au revenu.
L'ouvrier est digne de son salaire.
L'économie est le plus riche revenu.
Une belle vieillesse est ordinairement le salaire d'une belle vie.
Quiconque attend un salaire est esclave.
À demi-travail, demi-salaire.
Qui gagne un petit salaire ne vit pas.
Le salaire payé d'avance rend l'ouvrier oisif.
Petit travail petit salaire.
Qui dépense plus qu'il n'a de revenu tombe à la fin dans la pauvreté.
Règle tes dépenses suivant ton revenu.
Le salaire payé d'avance ralentit le travail.
Le monde est un travail dont l'autre vie est le salaire.
Une belle vieillesse est le salaire d'une vie saine.
Salaire de ménétrier : nourriture, boisson et argent.
Mieux vaut peu avec la justice que de grands revenus avec l'injustice.
Qui trompe le trompeur mérite salaire plutôt que peine.
À la vigueur des bœufs on doit l'abondance des revenus.
Qui sème la justice a un salaire véritable.
Travail fait demande salaire.
Toute peine mérite salaire.