L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille,
Un ami peut vous aimer pour votre intelligence, une maîtresse pour votre charme, mais une famille vous aime sans raison, parce que vous êtes né en elle, et morceau de sa chair.
L'enfant n'a pas besoin seulement de pain, il faut soutenir et former sa jeune âme ; la soutenir par la tendresse et l'amour, la former par la discipline. Qui sera sans cesse près de lui pour lui inspirer tous les bons sentiments ? Sa mère. Qui lui apprendra les périls et les malheurs de la vie, la force de la volonté et la grandeur de la vertu ? Son père. L'enfant doit avoir ses deux bons génies auprès de lui, jusqu'à ce qu'il puisse voler de ses propres ailes.
Plus le cercle qui nous enferme dans la famille est infranchissable pour les étrangers, plus l'amour de la famille est grand chez nous.
La famille de bon exemple est celle où l'on s'entraide et s'entr'aime, où jeunes et vieux cheminent dans la bonne voie en se donnant la main. C'est un milieu salutaire où l'on se complète et s'épanouit doucement.
L'amour tient tout entier dans la préface de l'amour, d'autant qu'une bonne union bénéficiera en retour à la famille et assurera la sécurité de la maisonnée.
La famille est le cœur même de l'homme ; elle y verse l'amour sous toutes les formes qu'il a reçues de Dieu, et ce qu'il nous en reste en dehors d'elle est une goutte trop rare et trop amère pour nous contenter.
L'amour conjugal est la base sur laquelle reposent tous les sentiments qui font le charme et le lien de la famille. N'en médisons pas, ne le dédaignons pas. Il n'y a, sans l'amour conjugal, ni bonheur ni dignité du foyer domestique.
L'amour devient famille ; le feu devient foyer.
Les joies de la famille sont de douces joies ; l'amour d'une femme donne des instants d'un bonheur délicieux.
Exilé, malheureux, on regrette sa famille, et surtout la douceur de l'amour maternel.
Le premier de nos devoirs, c'est de veiller sur notre famille et les gens qu'on aime.
La famille s'appuie sur l'amour, et la société sur la famille.
L'amour de la patrie commence à la famille.
Heureuse la famille qui, dans l'union la plus pure, coule au sein de l'amitié et de l'amour ses paisibles jours, et semble n'avoir qu'un cœur à tous ses membres ! Ô innocence des mœurs, douceur d'âme, antique simplicité, que vous êtes aimables !
Tout ce que le père de famille dit aux siens doit inspirer l'amour ou la crainte.
La famille est un asile et un abri, un petit nid où l'on se sent en sécurité, protégé et aimé.
Il est une autre richesse que celle de l'or ou de l'argent, c'est l'amour de sa famille.
La famille doit être un petit nid d'amour et douillet.
Une femme qu'on aime est toute une famille.
L'épouse qui sera mère de famille a plus besoin de respect que d'amour.
Fonder une famille, chérir son épouse et ses enfants ; les prendre jour et nuit dans ses bras, leur dire je t'aime, je vous aime, vous êtes tout pour moi, sans vous je n'existe pas, voilà l'unique but d'une vie.
Quand on est en famille on doit s'entendre, ça ne sert à rien de se disputer, sinon à se rendre malheureux !
La famille, c'est l'amour sans regrets et sans amertume.
Amour, mariage et famille, charmantes choses qui occupent l'esprit d'une belle jeune femme.
La famille, l'ambition, ces secondes et dernières amours de l'homme.
Mon amour tu es ma seule famille avouée, et je vois par tes yeux le monde, et c'est toi qui me rends cet univers sensible et qui donnes sens en moi aux sentiments humains.
Point de chagrins de famille ; point de douleurs d'amour.
Une famille unie mange dans la même assiette