Les citations sur mère.
1 — Notre citation favorite sur la mère :
Il n'est rien de plus charmant qu'une mère jeune et belle tenant un enfant dans ses bras, disait
Ivan Tourgueniev . Un publiciste, littérateur et écrivain français,
Louis-Auguste Martin , a écrit :
Une mère c'est l'ange gardien vigilant qui plane doux et bienfaisant sur l'enfance, chasse aux alentours les influences mauvaises qui la menacent, et pose une main blanche sous les pieds roses de son enfant. Et Pierre-Jean de Béranger (1780-1857) :
Le cœur d'une mère est une source inépuisable de miracles. Concernant les enfants, découvrez notre dico des
citations sur la maman et sa fille ainsi que notre sélection de
citations sur la mère et son fils .
2 — Les 73 citations et pensées sur le thème : Mère.
Quand ma mère est à mes côtés, il n'y a pas de nuages pour moi dans le ciel.
Delphine de Girardin - Marguerite, ou Deux amours (1854) La mère, dans sa perfection, est le véritable modèle, l'image vivante de l'éducation : la parfaite éducation, dans l'essence de sa nature, dans son idée la plus simple et la plus complète, doit être l'image de la mère de famille.
Joseph Alphonse - L'esprit de l'éducation du genre humain (1814) Il faut que les mères ne s'y trompent pas ! De nos jours, elles ont la plus grande part de responsabilité dans la dégénérescence morale et physique de la jeunesse, en ce qu'elles ont trop souvent substitué à l'amour maternel, qui doit être une noble et courageuse vertu, la passion maternelle, qui n'est qu'une faiblesse et une infirmité du cœur.
Benoît Champy - Les pensées et réflexions philosophiques (1872) Une mère ouvre sa bouche avec sagesse, et la loi de l'amour est sur sa langue.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) Dieu, en accordant à la femme le rôle de mère, a fait naître chez elle un sentiment tout instinctif d'abord, qui par l'habitude et l'exercice devient le plus doux des biens sur la terre ; la source des plus vives émotions, et du plus parfait bonheur.
Emile Mathieu - Études cliniques sur les maladies des femmes (1848) Rien ne m'ennuie davantage que rencontrer la mère de mes amis.
Oscar Wilde - Les aphorismes et pensées (1854-1900) La femme n'a qu'un défaut : elle a été engendrée par un homme. L'homme n'a qu'une maîtresse qualité : il a été porté pendant neuf mois par une mère !
Alexandre Weill - Le petit trésor d'esprit (1874) Ô ma mère, vos bras furent mon premier berceau. J'y trouvai vos mamelles pour m'allaiter, vos vêtements pour me couvrir, votre sein pour me réchauffer, vos baisers pour me consoler, et vos caresses pour me réjouir.
Citation chinoise - Les sentences et pensées morales chinoises (1832) Le cœur d'une mère est une source de tendresse qui se renouvelle continuellement sans jamais s'épuiser.
Pierre-Marie Quitard - Les proverbes sur les femmes (1861) Les femmes ne sont si malheureuses, au déclin de leurs charmes, qu'en oubliant que la dignité d'une mère est destinée à remplacer la beauté d'une épouse.
Pierre Louis de Lacretelle - Les pensées et réflexions (1817) Ô femmes ! C'est à vous, après Dieu, que je dois et la vie et tout le bonheur de ma vie ! Une femme m'a porté neuf mois dans son sein et a subi, pour me donner le jour, l'auguste martyr de la maternité ! Une femme a bercé dans ses bras mon enfance et l'a endormie au bruit de ses caresses et de ses chants ! Une femme m'a nourri de sa substance ! C'est à sa blanche et rose mamelle que j'ai sucé, avec le lait, cet amour et cette tendresse que plus tard mes lèvres brûlantes lui rendirent en voluptueux baisers ! C'est dans les enivrements et les transports d'un premier amour, qu'à seize ans, j'ai goûté, sur la terre, les plaisirs et les joies du ciel ; ces plaisirs et ces joies que le cœur suffit à peine pour sentir et qu'aucune langue ne saurait exprimer. C'est à l'affection, au dévouement et à la tendre amitié d'une femme que je devrai les jouissances plus calmes et non moins douces de l'âge mûr, les consolations et les adoucissements de la vieillesse. Merci donc, ô femmes ! merci, trois fois merci de tout le bonheur que j'ai reçu et de celui qui m'est réservé encore ! La reconnaissance la plus vive, une reconnaissance éternelle me voue pour jamais à votre défense, à votre amour et à votre culte, légitime comme celui des anges. Car, vous aimer, c'est aimer les plus charmants et les plus doux attributs de Dieu ; vous honorer et vous défendre, c'est honorer et défendre les anges de Dieu ; vous posséder enfin, c'est posséder le ciel de Dieu.
Auguste Guyard - L'hymne à la femme (1844) De tous les pouvoirs qui s'exercent sur la terre, le plus incontestable en bien, c'est celui de la mère. C'est dans les bras des mères que l'humanité s'élève et que, de génération en génération, elle reçoit les plus précieuses influences.
Edmond de Pressensé - La famille chrétienne (1856) Rien de plus charmant qu'une mère jeune et belle tenant un enfant dans ses bras.
Ivan Tourgueniev - Pères et enfants (1862) La beauté des mères dépasse infiniment la gloire de la nature.
Christian Bobin - Le Très-Bas (1992) Quand on est bonne mère, on sait tout pardonner.
Émile Zola - Nana (1879) Si la tête de ta mère s'est inclinée sur ta tête pendant la sombre et orageuse nuit de tes passions ; si c'est le bras de ta mère t'a soutenu pour faire ta première promenade de convalescence ; si la poitrine de ta mère s'est appuyée contre ta poitrine dans un de ces moments où l'on ne croit plus aux hommes, et où, les bras levés et tendus vers le ciel, on a plus que ces deux paroles : Mon Dieu ! mon Dieu ! Alors, ô mon bienheureux, tu as goûté le miel de la vie !
Alexandre Dumas - Saphir, pierre précieuse montée (1854) Le baiser d'une mère rafraîchit le front bouillant de son enfant.
Alexandre Dumas - Saphir, pierre précieuse montée (1854) Une bonne mère s'amuse pour amuser ses enfants, comme la colombe amollit dans son estomac le grain dont elle veut nourrir ses petits.
Jean-Jacques Rousseau - Julie ou La nouvelle Héloïse (1761) Enfant sans mère, c'est comme un nid sans plumes, sans chaleur.
Arthur Rimbaud - Les étrennes des orphelins, le 2 janvier 1870. Une femme qu'on a épousée très tôt dans sa jeunesse a été un peu votre mère.
Jean Dutourd - Les œuvres romanesques (1979) Lorsque vos mères ne vous dirigent pas ou que vous ne suivez pas leurs conseils, vous ne faites guère que des sottises, mes chers petits amis. Cela vous est déjà arrivé bien souvent et vous arrivera encore plus d'une fois. Le proverbe arabe vous en prévient : Quand le grand ne dirige pas, le petit s'égare.
Jean-Baptiste Sébastien Krantz - Les préceptes et proverbes (1895) Pour son bonheur un homme ne doit faire place dans sa vie qu'à deux femmes : sa mère et la mère de ses enfants.
Henri-Frédéric Amiel - Les fragments d'un journal intime (1821-1881) Quoi que fasse l'étranger naturalisé, il lui manquera toujours de ressembler à sa mère adoptive.
Anne Barratin - Chemin faisant (1894) On est toujours l'enfant de son temps, encore plus que l'enfant de sa mère.
Anne Barratin - Chemin faisant (1894) Les souffrances de la femme sont mêlées d'amour-propre, celles de la mère ne sont que de l'amour meurtri.
Anne Barratin - Chemin faisant (1894) La patience se nomme martyre quand une mère attend la guérison de son enfant.
Anne Barratin - Chemin faisant (1894) Il en est du bonheur comme d'une mère, on ne le comprend bien que lorsqu'on ne l'a plus.
Anne Barratin - Chemin faisant (1894) Ma mère est une brave femme, un peu trop à cheval sur ses droits, c'est son seul défaut. Je lui ai dit aujourd'hui ce que j'avais sur le cœur, je le lui ai même dit avec un peu trop d'emportement. Je lui ai déclaré que j'entendais qu'on respecte mon époux ici autant que moi. Elle m'a paru sentir ses torts, et que chose pareille ne se renouvellera point, j'y aurai l'œil et la main.
Victor Cherbuliez - La ferme du Choquard (1883) Il existe des regards, une voix, des gestes de mère, dont la force pétrit l'âme des enfants.
Honoré de Balzac - Les femmes (1857) La joie d'une mère est une lumière qui jaillit jusque sur l'avenir et le lui éclaire, mais qui se reflète sur le passé pour lui donner le charme des souvenirs.
Honoré de Balzac - Les femmes (1857) Pour être mères, les femmes n'attendent pas d'avoir des enfants.
Victor Cherbuliez - Noirs et rouges (1881) La mère représente le bien, la vertu, la Providence, la Loi, c'est-à-dire la Divinité sous sa forme accessible à l'enfance.
Henri-Frédéric Amiel - Journal intime, le 6 janvier 1853. Qui ne serait reconnaissant à la tendresse maternelle ?
Alfred de Musset - Poésies posthumes, À ma mère (1835) Rien ne payera jamais deux larmes de joie dans les yeux d'une pauvre mère.
Frédéric Ozanam - L'aumône (1848) Ma bonne mère, je l'embrasse avec une joie incroyable ; la bonté est tout le prix de l'âme ; une mère est douce au cœur comme un oreiller au front ; on ne sent pas l'oreiller, il soutient en cédant, il est tout baiser.
Sully Prudhomme - Journal intime, le 22 octobre 1862. Je pense bien souvent à ma mère. Je me berce de l'espoir que je la reverrai un jour, je me dis que j'ai encore un peu de bonheur à vivre, quand elle me prendra dans ses bras, et m'appellera son fils, et m'embrassera. Tous ces baisers, toute cette tendresse que je n'ai pas eus, et dont j'aurais été si heureux ! Comme je souffrirai le jour où elle mourra, que je l'aie revue ou non. Ce jour-là, je serai seul pour de bon.
Paul Léautaud - Le journal littéraire (1968) Il n'y a pas de meilleur ami que sa propre mère.
Maxime Gorki - Ma vie d'enfant (1914) Une mère est aux femmes ce que les séraphins sont aux anges, et les cardinaux aux capucins.
Stanislas de Boufflers - Les lettres à ma mère sur la Suisse (1770) Le sein de la mère est un sanctuaire impénétrable et mystérieux.
Gustave Flaubert - Les lettres à Louise Colet, le 7 avril 1854. L'esprit qui domine, la main qui gouverne, l'influence régnante dans une maison, c'est l'esprit, la main et l'influence de la mère. Le foyer est son chez elle : fils, fille, mari, tout subit son ascendant.
Henri-Frédéric Amiel - Journal intime, le 25 août 1879. Le foyer est là où est la mère.
Mère Teresa - Les pensées spirituelles (2000) Comme mère une femme réelle, calme, permanente, et, s'il était possible, inusable ; comme maîtresse, un semblant de femme, très intense, tout à fait instantanée et parfaitement illusoire, un succube qui ne puisse être ni désillusionnant ni désillusionné.
Edmond Thiaudière - La soif du juste (1895) La mère, c'est la partie de la maman qui sait dire non, qui refuse, qui interdit, qui commande ou même exige parfois. Une mère dit ce qu'il faut faire, ou ne pas faire.
Jacques Salomé - Les contes des petits riens et de tous les possibles (2014) Si la main d'une mère suffit à bercer l'enfant et à guider ses premiers pas, elle devra s'aider de la main du père pour conduire sa marche dans le monde. Avec cette double escorte, il s'avancera riant et plein de foi en l'avenir, sûr d'être mené par elle dans les sentiers les moins scabreux de la vie.
Louis-Auguste Martin - L'esprit moral du XIXe siècle (1855) La mère frémit de joie et d'anxiété en contemplant son enfant ; elle le presse et l'étreint de baisers convulsifs, comme s'il allait fuir de ses bras. Elle épie l'heure où le sommeil est prêt à toucher ses yeux, et, le déposant doucement dans son berceau, le balance en chantant.
Louis-Auguste Martin - L'esprit moral du XIXe siècle (1855) Une bonne mère n'est pas seulement orgueilleuse de ses enfants comme de ses plus beaux atours ; elle est fière aussi des dangers qu'elle brave, des tourments qu'elle souffre pour eux ; elle se sent plus forte dans la douleur, plus puissante dans l'action, plus ingénieuse dans les moyens.
Silvio Pellico - Des devoirs des hommes (1834) Le sentiment maternel poussé à l'extrême devient une absolution pour la vie passée, aux yeux des gens sensibles qui pardonnent tout à une excellente mère.
Honoré de Balzac - Les femmes (1857) L'amour sans bornes de la mère rend tout facile !
Honoré de Balzac - Les femmes (1857) Les femmes qui sont exclusivement mères s'attachent plus par les sacrifices que par les plaisirs.
Honoré de Balzac - Les femmes (1857) Enfants, ayez soin de votre mère tous les jours de sa vie, car vous devez vous souvenir combien elle a souffert, et à quels dangers elle a été exposée pour vous, lorsqu'elle vous portait dans son sein.
Jean Baptiste Blanchard - Les maximes de l'honnête homme (1772) Celui qui ne cède pas d'abord aux instances d'une mère ne s'attendrira jamais.
Sénèque - La Thébaïde - env. 60 ap. J.-C. Veille chaque jour sur les vieux ans de ta mère qui passait des nuits à côté de ton berceau.
Pierre Louis de Lacretelle - Les pensées et réflexions (1817) Lorsqu'une préférence involontaire entraîne une mère vers un de ses enfants, elle a la plus puissante des raisons d'être encore meilleure envers ses autres enfants.
Pierre Louis de Lacretelle - Les pensées et réflexions (1817) Le plus beau triomphe d'une mère est de réunir par leurs vertus des enfants divisés par leurs passions, et de se soumettre leurs cœurs par le charme de sa tendresse.
Pierre Louis de Lacretelle - Les pensées et réflexions (1817) Une bonne mère de famille est à la fois la gaieté et la force de la maison.
Maxime Du Camp - Les forces perdues (1867) Un mari ne remplace jamais une mère pour une femme.
Honoré de Balzac - Les mémoires de deux jeunes mariées (1841) La femme qui redoute d'être mère, qui préfère la finesse de sa taille et les joies bruyantes de l'hiver aux gloires cachées de la maternité, peut être la plus charmante femme du monde aux flambeaux et sous l'éclat des bougies ; mais, a la face du soleil vivifiant, devant la nature incessamment féconde, c'est un monstre.
Pierre-Jules Stahl - L'esprit des femmes et les femmes d'esprit (1855) Le célibat de la femme est plus contraire encore au vœu de la nature que celui de l'homme. Ôter à la femme d'être mère, c'est la déposséder de ce qui, dans la famille humaine, assure sa supériorité en un point sur l'homme. La femme la plus tombée a cette ressource de pouvoir être une mère sublime.
Pierre-Jules Stahl - L'esprit des femmes et les femmes d'esprit (1855) Adieu, ma belle, ma bonne, ma chère mère ; aime-moi toujours beaucoup plus que je ne mérite, ce sera encore beaucoup moins que je ne t'aime.
Stanislas de Boufflers - Les lettres à ma mère sur la Suisse (1770) Les larmes d'une mère sont les seules qui donnent envie de mourir de chagrin.
Jean Gastaldi - Le petit livre de maman, 51 (2003) Fêter sa mère comme si elle était éternelle, c'est y penser tous les jours.
Jean Gastaldi - Le petit livre de maman, 24 (2003) L'amour seul fait plier les genoux d'un homme devant une mère.
George Sand - Le dieu Plutus (1862) Les deux hommes sont de la même mère, mais pas de la même paire.
Frédéric Dard - Les pensées de San-Antonio (1996) Une mère éplorée n'a pas assez de cœur pour la douleur et la vengeance à la fois.
William Faulkner - Le requiem pour une nonne (1951) Il y a des enfants sans état civil, il n'y a pas d'enfant sans mère.
André Malraux - L'homme précaire et la littérature (1977) Quand on perd sa mère on perd tout. On ne trouvera jamais, chez d'autres personnes, ce dévouement illimité, cette extrême ressource dans les plus grands malheurs. Il y a des enfants ingrats, il n'y a pas de mère oublieuse.
Louis-Auguste Martin - L'esprit moral du XIXe siècle (1855) L'œil d'une mère comprend nos furtives amours.
Caius Cornelius Gallus - Élégies, III - Ier s. av. J.-C. Ma mère, la seule personne au monde que je veux précéder dans la mort.
Georges Perros - L'occupation et autres textes (1996) Je souhaite à tous les enfants du monde d'avoir des mères folles, ce sont les meilleures mères, les mieux accordées aux cœurs fauves des enfants.
Christian Bobin - La folle allure (1995) Mère - Seule personne qu'on n'imagine pas capable de faire l'amour.
Georges Perros - L'occupation et autres textes (posthume, 1996) Ma mère m'a appris que j'étais né entre deux éclats de ses rires, ce qui sans doute explique le grain de cette phrase : nous allons par le pire à des choses très fleuries et très douces, accordées au secret de nos âmes.
Christian Bobin - Un assassin blanc comme neige (2011) Si jeune que l'on soit, le jour où l'on perd sa mère, on devient vieux tout à coup.
Alexandre Dumas, fils - Le demi-monde, le 20 mars 1855. Les larmes de bonheur, les louanges adressées au ciel, les expressions d'une mère reconnaissante sont des impressions à jamais ineffaçables.
Emile Mathieu - Études cliniques sur les maladies des femmes (1848)
3 — Le dictionnaire des proverbes et adages :
4 — Les rubriques de citations et synonymes en rapport :