Les 73 pensées et citations sur mère. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur mère :
La mère, dans sa perfection, est le véritable modèle, l'image vivante de l'éducation : la parfaite éducation, dans l'essence de sa nature, dans son idée la plus simple et la plus complète, doit être l'image de la mère de famille.
Il faut que les mères ne s'y trompent pas ! De nos jours, elles ont la plus grande part de responsabilité dans la dégénérescence morale et physique de la jeunesse, en ce qu'elles ont trop souvent substitué à l'amour maternel, qui doit être une noble et courageuse vertu, la passion maternelle, qui n'est qu'une faiblesse et une infirmité du cœur.
Une mère ouvre sa bouche avec sagesse, et la loi de l'amour est sur sa langue.
Dieu, en accordant à la femme le rôle de mère, a fait naître chez elle un sentiment tout instinctif d'abord, qui par l'habitude et l'exercice devient le plus doux des biens sur la terre ; la source des plus vives émotions, et du plus parfait bonheur.
Rien ne m'ennuie davantage que rencontrer la mère de mes amis.
La femme n'a qu'un défaut : elle a été engendrée par un homme. L'homme n'a qu'une maîtresse qualité : il a été porté pendant neuf mois par une mère !
Ô ma mère, vos bras furent mon premier berceau. J'y trouvai vos mamelles pour m'allaiter, vos vêtements pour me couvrir, votre sein pour me réchauffer, vos baisers pour me consoler, et vos caresses pour me réjouir.
Le cœur d'une est une source de tendresse qui se renouvelle continuellement sans jamais s'épuiser.
Les femmes ne sont si malheureuses, au déclin de leurs charmes, qu'en oubliant que la dignité d'une mère est destinée à remplacer la beauté d'une épouse.
Ô femmes ! C'est à vous, après Dieu, que je dois et la vie et tout le bonheur de ma vie ! Une femme m'a porté neuf mois dans son sein et a subi, pour me donner le jour, l'auguste martyr de la maternité ! Une femme a bercé dans ses bras mon enfance et l'a endormie au bruit de ses caresses et de ses chants ! Une femme m'a nourri de sa substance ! C'est à sa blanche et rose mamelle que j'ai sucé, avec le lait, cet amour et cette tendresse que plus tard mes lèvres brûlantes lui rendirent en voluptueux baisers ! C'est dans les enivrements et les transports d'un premier amour, qu'à seize ans, j'ai goûté, sur la terre, les plaisirs et les joies du ciel ; ces plaisirs et ces joies que le cœur suffit à peine pour sentir et qu'aucune langue ne saurait exprimer. C'est à l'affection, au dévouement et à la tendre amitié d'une femme que je devrai les jouissances plus calmes et non moins douces de l'âge mûr, les consolations et les adoucissements de la vieillesse. Merci donc, ô femmes ! merci, trois fois merci de tout le bonheur que j'ai reçu et de celui qui m'est réservé encore ! La reconnaissance la plus vive, une reconnaissance éternelle me voue pour jamais à votre défense, à votre amour et à votre culte, légitime comme celui des anges. Car, vous aimer, c'est aimer les plus charmants et les plus doux attributs de Dieu ; vous honorer et vous défendre, c'est honorer et défendre les anges de Dieu ; vous posséder enfin, c'est posséder le ciel de Dieu.
De tous les pouvoirs qui s'exercent sur la terre, le plus incontestable en bien, c'est celui de la mère. C'est dans les bras des mères que l'humanité s'élève et que, de génération en génération, elle reçoit les plus précieuses influences.
Rien de plus charmant qu'une mère jeune et belle tenant un enfant dans ses bras.
La beauté des mères dépasse infiniment la gloire de la nature.
Quand on est bonne mère, on sait tout pardonner.
Si la tête de ta mère s'est inclinée sur ta tête pendant la sombre et orageuse nuit de tes passions ; si c'est le bras de ta mère t'a soutenu pour faire ta première promenade de convalescence ; si la poitrine de ta mère s'est appuyée contre ta poitrine dans un de ces moments où l'on ne croit plus aux hommes, et où, les bras levés et tendus vers le ciel, on a plus que ces deux paroles : Mon Dieu ! mon Dieu ! Alors, ô mon bienheureux, tu as goûté le miel de la vie !
Le baiser d'une mère rafraîchit le front bouillant de son enfant.
Une bonne mère s'amuse pour amuser ses enfants, comme la colombe amollit dans son estomac le grain dont elle veut nourrir ses petits.
Enfant sans mère, c'est comme un nid sans plumes, sans chaleur.
Une femme qu'on a épousée très tôt dans sa jeunesse a été un peu votre mère.
Lorsque vos mères ne vous dirigent pas ou que vous ne suivez pas leurs conseils, vous ne faites guère que des sottises, mes chers petits amis. Cela vous est déjà arrivé bien souvent et vous arrivera encore plus d'une fois. Le proverbe arabe vous en prévient : Quand le grand ne dirige pas, le petit s'égare.
Pour son bonheur un homme ne doit faire place dans sa vie qu'à deux femmes : sa mère et la mère de ses enfants.
Quoi que fasse l'étranger naturalisé, il lui manquera toujours de ressembler à sa mère adoptive.
On est toujours l'enfant de son temps, encore plus que l'enfant de sa mère.
Les souffrances de la femme sont mêlées d'amour-propre, celles de la mère ne sont que de l'amour meurtri.
La patience se nomme martyre quand une mère attend la guérison de son enfant.
Il en est du bonheur comme d'une mère, on ne le comprend bien que lorsqu'on ne l'a plus.
Ma mère est une brave femme, un peu trop à cheval sur ses droits, c'est son seul défaut. Je lui ai dit aujourd'hui ce que j'avais sur le cœur, je le lui ai même dit avec un peu trop d'emportement. Je lui ai déclaré que j'entendais qu'on respecte mon époux ici autant que moi. Elle m'a paru sentir ses torts, et que chose pareille ne se renouvellera point, j'y aurai l'œil et la main.
Il existe des regards, une voix, des gestes de mère, dont la force pétrit l'âme des enfants.
La joie d'une mère est une lumière qui jaillit jusque sur l'avenir et le lui éclaire, mais qui se reflète sur le passé pour lui donner le charme des souvenirs.
Pour être mères, les femmes n'attendent pas d'avoir des enfants.