Le plus grand des biens est la santé, non l'argent amassé,dit un proverbe français. Dans le livre des apologues et contes persans publié 1753, il est écrit :
Regarde chacun des instants de ta vie comme un bien inespéré que l'occasion te présente ; une fois échappé, il sera perdu pour toi sans retour. Si tu fais cas de la vie comme d'un bien précieux, tu agis sagement ; quand elle sera passée, jamais tu ne la reverras.
L'on ne risque rien à se servir des méchants pour faire le bien mais on risque tout à se servir des bons pour faire le mal.
Qui s'agite pour faire le bien, en a peu fait ; qui y cherche à être vu et remarqué, ne le continuera pas longtemps ; qui y met de l'humeur et du caprice, le finira mal ; qui n'y vise qu'à éviter des fautes et des reproches, n'y acquerra jamais de vertus.
Le bien n'est point connu s'il n'est perdu.
Vite et bien se trouvent rarement ensemble.
À deux on est bien, à trois on est trop.
Chacun préfère son bien-être à celui des autres.
La sagesse sans faire le bien n'est comptée pour rien.
Le profit de ton prochain ne te cause pas de bien.
Le bien ne vient jamais trop souvent.
Jamais homme de bien n'est devenu riche tout à coup.
La colère expire promptement dans le cœur de l'homme de bien.
Le bien d'autrui nous plaît, et les autres préfèrent le nôtre.
Dépêche-toi de faire du bien à autrui plutôt ce matin que ce soir.
Jour et nuit pense à faire du bien, la vie est courte.
Quand tu vas bien, ménage-toi.
Le bien tient à peu de choses, mais il n'est point peu de choses.
On ne connaît la valeur d'un bien que quand on l'a perdu.
Du bien d'autrui, large courtoisie.
Qui conserve son bien le donne à sa famille.
Un homme de bien et d'honneur n'a qu'une parole.
Qui néglige son bien est frère de qui le dissipe.
Peu de bien, peu de souci.
Un peu est bien, mais trop est trop.