Cela va bien mal dans le ménage quand la poule fait le coq.
Proverbe provençal ; Les proverbes et dictons provençaux (1882)
La route du bien comme celle du mal sont également ouvertes devant nous ; nous sommes complétement libres de choisir l'une ou l'autre. Non seulement rien ne nous empêche de faire le mal ou d'accomplir le bien, mais Dieu et les hommes nous facilitent encore les moyens d'être vertueux ou de nous livrer au vice.(Maxime hébraïque)
Cela va bien mal dans le ménage quand la poule fait le coq.
L'ignorance du bien est la cause du mal.
Si tu as fait à ton prochain peu de mal, que ce soit beaucoup à tes yeux ; et si tu lui as fait beaucoup de bien, que ce soit à tes yeux peu de chose.
Si je fais bien, on ne m'en parle pas ; si je fais mal, je ne cesse de l'entendre.
Que la nourriture te fasse du bien, que la boisson ne te fasse pas de mal.
Bien vient à mieux, et mieux à mal.
Mal ou bien tel nous paraît, non pas souvent tel qu'il est.
Mal commence à nous venir, quand le bien se voit finir.
Tirer le bien du mal n'appartient qu'à Dieu seul.
Il n'y a pas de mal qui dure toujours ni de bien qui ne finit jamais.
L'hiver nous fait plus de mal que l'été ne nous fait de bien.
Prolonge une bonne action, elle tourne à mal ; prolonge une mauvaise, elle tourne à bien.
Le mal ou le bien de sa semence vient.
Il n'est mal qui ne serve à bien.
Fais le bien quand tu pourras, tu feras le mal quand tu voudras.
Le bien et le mal ne peuvent rester dans un état de repos.
Le bien n'est autre chose que ce qui est honnête ; le mal que ce qui est honteux.
Les hommes détestent qui leur a fait du bien, et ils aiment qui leur a fait du mal.
On oublie facilement le bien, mais le mal demeure ferme dans la mémoire.
On ne connaît le bien que lorsqu'on sent le mal.
Si tu mets autant d'ardeur à faire le bien que d'autres à faire le mal, tu es sage et vertueux.
Marche droit sur la ligne du bien, un travers de doigt à peine te sépare du mal.
Le mal se recommence plutôt que le bien.
Il y a plus de bien que de mal, plus de brebis que de loups.
Mieux vaut labourer peu et bien que beaucoup et mal.
Si l'on ne fait pas de différence entre ce qui est le bien ou le mal, peut-on alors appeler toutes choses le bien ?
Si tu cultives le bien, la récompense sera le bien ; si tu cultives le mal, la récompense sera le mal.
Le bien et le mal ne peuvent pas plus s'associer que l'eau et le feu.