Toutes les maladies sont un effet de la volonté de Dieu, excepté celles qui proviennent du froid et de la chaleur. Car l'homme peut se prémunir contre le froid et contre le chaud. Déjeune de bon matin, en été pour pouvoir supporter la chaleur, et en hiver pour pouvoir résister au froid.
Il n'y eut jamais chaleur d'affection qui ne fût accompagnée de quelque faiblesse.
La chaleur est salutaire quand le froid caresse le derrière.
Aux grandes chaleurs, si tu veux me croire, quitte la femme et prend le verre.
Il porte le poids du jour et de la chaleur (faire tout le travail, endurer toute la peine, tandis que les autres se reposent).
La lune brille, mais ne donne point de chaleur ; elle mange le pain du bon Dieu, sans le payer de retour.
Dieu nous préserve des chaleurs de mai, et des orages de fin d'été.
Bien à plaindre serait celui qui compterait sur de la chaleur en hiver et sur une promesse de gentilhomme.
D'été en chaleur vient un automne, pendant lequel souvent il tonne.
Si le vent se tient du bas, quand la chaleur diminue, l'eau ne te manquera pas, elle est déjà dans la nue.
Malgré les vents d'est ou du nord, si tu sens que la chaleur monte, le vent du sud approche alors ; la pluie y trouvera son compte.
Chaleur qui monte, bourrasque prompte.
La chaleur du lit ne fait pas bouillir la marmite.
L'amour est la chaleur qui rajeunit les êtres, les fait fleurir et les revêt d'espérance.
Chaleur en automne pique fort, et cause à bien des gens la mort.
Au mois de mai la chaleur, toute l'année est de valeur.
La chaleur et le froid, tous deux me font souffrir (tous les deux se valent l'un l'autre).
Une bonne parole ressemble à la chaleur pendant trois hivers.
Chaleur pour tous, froid pour soi.
Veux-tu profiter de la chaleur du feu ? Souffres-en la fumée.
Les pucelles et la chaleur du soleil font rares à Noël.
Qui se plaint du froid se plaint de la chaleur.
Le soleil perd le soir sa chaleur et son éclat.
Quand la lune est bien rousse, vient la chaleur.