Même si le bouc pue, ce ne sont pas les chèvres qui lui marqueront du dégout !
Le fat lasse, ennuie, dégoute et rebute.
L'excès des plaisirs est puni par le dégoût.
Les mets les plus délicieux inspirent le dégoût quand on est rassasié.
L'abondance amène le dégoût et la disette la faim.
La faim à peu de frais s'apaise et se soulage, mais le dégoût veut plus, et coûte davantage.
Fais plutôt un travail vil et dégoûtant que de tendre la main à la charité.
Qui crache au plat en dégoûte les autres.
Le dégoût prend également à ceux qui ont tout donné, et à ceux qui ont tout reçu.
Quand il pleuvra sur lui, il dégoûtera sur moi.
On dégoûte plus surement du monde, quand on est dégouté.
L'homme à qui plaît le sort d'un autre, a déjà du dégout pour le sien.
Comme la nécessité corrige les pauvres, le dégoût corrige les riches.
Ce qui coûte me dégoûte.
Après quelques heures agréables, on finit par en être ennuyé et dégoûté.
La volupté raffinée enfante le dégout.
Qui se rassasie toujours des mêmes mets s'en dégoûte.
Après avoir abusé de tout, on éprouve du dégoût de tout.
L'abus des plaisirs engendre le dégoût.
L'homme brusque déplait ; le doucereux dégoûte.
On dégoûte plus surement du monde quand on en est dégoûté.
L'homme brusque déplait ; l'homme violent dégoûte.
Après le goût, le dégoût.
Il n'y a rien de si bon dont on ne se dégoûte.
Le dégoût fait que le chat remange des souris.
L'abondance de nourriture donne du dégoût.
Ce qui trop coûte dégoûte.
Il faut, dans la vie, faire la part du dégoût, et jouir paisiblement du reste.
Au dégoûté le miel est amer.
Qui prend l'existence en dégoût a l'esprit malade ou le cœur gâté.
Il faut, dans la vie, faire la part du dégoût, de l'ennui, du chagrin, et jouir paisiblement du reste.
Le dégoût des autres ne trouve plus rien de tolérable.
Qui ne recherche que le plaisir trouvera bientôt le dégoût et l'ennui.
Qui goûte de tout se dégoûte de tout.
Les charmes que le renouvellement peut donner n'écartent le dégoût que pour un instant.