Les 65 pensées et citations sur le thème : Le mari et sa femme.
Entre mari et femme, on devrait toujours se faire un brin de cour.
La femme du monde reste difficilement la femme de son mari.
L'unique chose qu'une femme ne comprend jamais, c'est son mari. Combien de foyers heureux seraient brisés dans le cas contraire !
Les femmes quelconques sont toujours jalouses de leur mari et les femmes jolies ne le sont jamais. Elles sont trop occupées à être jalouses du mari des autres !
Lorsqu'une femme découvre que son mari est totalement indifférent à elle, soit elle néglige sa toilette, soit elle se met à porter les chapeaux très chics que lui paye le mari d'une autre femme.
Les femmes, jeunes et plus âgées, également désirent le retour de leurs maris trop longtemps éloignés ; les femmes âgées, parce qu'elles n'ont plus de temps à perdre ; et les jeunes, parce qu'elles ont du temps à gagner.
La femme, si prompte à se faire honneur des avantages de son mari, est souvent la dernière à reconnaître son mérite.
La femme rougit moins des vices de son mari que de ses ridicules.
Entre mari et femme que la politique ou la religion séparent, il n'y a plus d'accord possible que sur la coupe d'un vêtement ou l'assaisonnement d'un plat.
L'espoir de la voir bientôt mère rend une jeune femme plus chère à son mari.
Une femme laide à faire peur paraît à son mari aussi belle que Vénus.
Une femme, pour son mari, est dans tous les temps son soutien le plus doux.
Être jolie femme seulement pour son mari, on trouve que c'est un peu court.
Le problème du mari qui a une femme plus intelligente que lui est de consentir à être moins intelligent qu'elle.
Le mari d'une aussi jolie femme ne doit rester dehors qu'à son corps défendant.
Les conjoints se détestent sans vouloir se quitter, ou sans avoir l'esprit de se laisser à chacun.
Un mari est toujours plus ou moins ridicule. Se croire propriétaire d'une femme est puéril. Une femme n'appartient à personne. C'est une chose exposée aux convoitises. La femme la plus sérieuse se répand dans les yeux qui la sollicitent.
On ne reprend pas une femme, elle revient d'elle-même, si elle doit revenir.
Les femmes rendent leurs maris responsables de tous les désagréments de la vie, par le même sentiment qui faisait dire à cet Irlandais en voyant le feu à bord du bâtiment sur lequel il était embarqué : Qu'est-ce que cela me fait, je ne suis que passager.
Une femme n'aime son mari sans réserve que quand elle est veuve.
Un mari et une femme qui s'aiment et s'estiment l'un l'autre, inspirent à leurs enfants le même amour et le même respect.
Un mari doit être la règle vivante de sa femme, et pour ainsi dire son miroir.
On voit souvent qu'à un homme de mérite échoit une sotte, tandis qu'au contraire une femme sage a un fou pour mari.
Si ton mari te trompe, prends de la patience, les pauvres femmes sont nées pour souffrir !
Une femme d'esprit, douée d'un caractère doux, fait tout ce qu'elle veut d'un mari qui l'estime.
Un mari qui méprise ses devoirs de gaieté de cœur, en jurant, riant et buvant, est moins excusable que la femme qui trahit les siens en pleurant, en souffrant et en expiant.
Le bien le plus précieux d'une femme est l'amour de son mari.
Les types qui battent leur femme, c'est toujours des alcooliques.
Comme il est rare que le cœur d'une femme soit sans amour, si elle n'en a pour son mari, elle en a pour un autre.
Quand les flots, tourmentés par les vents d'hiver, écument et grondent, le pauvre oiseau de mer et sa compagne, réfugiés au creux d'un rocher, se pressent l'un contre l'autre, et s'abritent et se réchauffent mutuellement. Chers couples, il y a bien des tempêtes ainsi dans la vie, prenez donc exemple.