Le ciel veut que l'homme ait une compagne et qu'il lui donne le nom d'épouse ; il veut qu'alors l'homme devienne tout pour elle, comme elle est tout pour lui.
La maternité est l'auréole de la femme ; elle consacre la grandeur et la dignité de l'épouse.
Il y a des jours où la plus raisonnable des épouses ne peut pas sentir son mari. Le célibataire habile flaire ces jours-là !
Souvent la vertu d'une épouse doit être bien grande, puisqu'elle doit être utile pour deux.
Le bonheur d'une épouse est dans l'amour et dans l'estime de son mari et de ses enfants. Tout le reste n'est que chimère.
L'épouse la plus malheureuse, fidèle à un ingrat, est encore plus heureuse que la femme adultère ou la courtisane, qui dans les bras d'un amant, lui jure un amour éternel, car elle ment !
Admirez cet effet du droit au divorce : chaque femme étant pour chaque homme une épouse possible, toute convoitise est justifiée.
Je n'admets pas qu'on fourre le nez dans mon ménage, pas même mon épouse.
Une mère berce notre enfance ; une maîtresse charme nos jeunes ans ; une épouse console notre vieillesse.
Des doux objets de la tendresse, une épouse et des enfants couronnent la vieillesse.
Une épouse est précieuse dans l'adversité comme dans le bonheur !
Mon épouse qui était prodigue comme une cigale est devenue économe comme une fourmi.
Hommes qui prenez une épouse, aimez et soutenez celle que vous aurez choisie. Que votre amour, que votre prévoyance la dirige et la suive comme l'œil suit le pied.
Ce qui me charme le plus dans mon épouse, ce n'est ni sa beauté, ni son attrait sensuel, c'est cette foule de grâces qui ne la quittent jamais ; cette décence qui sous mille formes différentes accompagne toutes ses paroles et toutes ses actions ; ce mélange de doux soins et d'amour qui prouve l'intime union de nos esprits et de nos cœurs, harmonie ravissante, dont le spectacle, offert par deux époux, est plus agréable à l'œil que celle des sons ne l'est à l'oreille.
Une épouse, quand le danger ou le déshonneur l'épie, demeure plus en sûreté et avec plus de bienséance auprès de son mari qui veille sur elle.
Sois aussi irréprochable toi-même que tu demandes à ta compagne ou ton épouse de l'être, afin de ne lui causer aucun chagrin et de ne lui fournir aucune excuse.
Rien n'est plus difficile que le choix d'un bon mari, si ce n'est peut-être celui d'une bonne épouse. C'est aux époux seuls à juger s'ils se conviennent. Si l'amour ne règne pas, la raison choisira seule ; si l'amour règne, la nature a déjà choisi.
Notre mère nous donne nos premières vertus, notre maîtresse nous montre le chemin de l'honneur, notre épouse calme nos souffrances et nous console de nos chagrins.
Une épouse sanctifie son mari, et ses embrassements ont quelque chose de sacré.
L'amour véritable est une sanctification mutuelle, une bénédiction toujours renaissante. La vraie épouse est le meilleur de tous les amis, celui qui ne vous fait jamais que du bien et qui n'inspire que de bonnes pensées.
Une bonne épouse est une bénédiction de Dieu.
Mon épouse est une âme poétique, tout à fait détachée des biens de ce monde, elle nage dans l'éther, mon épouse méprise l'or, l'argent et les bijoux.
Mon épouse n'est pas seulement le bonheur, elle est la bonté, qui ne s'indigne de rien, qui trouve des excuses à toutes les méchancetés des hommes et de la vie.
La mort ne peut éteindre le souvenir d'une épouse chérie.
L'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à son épouse, et ils seront deux dans une seule chair.
Soyez toujours avec vos épouses joyeux et bienveillants, jamais chagrins ni bourrus ; graves et sérieux, et non inconstants et volages ; prompts à faire le bien, lents à les contrarier ; pleins de douceur et de modestie, mais pardessus tout remplis d'égards.
Les épouses sont jalouses des amies de leurs maris, c'est bien connu.
L'homme quittera son père et sa mère, et il s'attachera à son épouse.
Une épouse est une femme pour vous suivre dans la vie réelle et positive, ou plutôt pour y marcher avec vous du même pas, quelque mauvais et difficiles que soient les chemins.
Épouse, aide et mère, œil de la maison, par qui tout prospère, une maman établit l'ordre ; à fille et garçon montre le devoir, et fait la leçon.
Aujourd'hui on prend une épouse comme une maîtresse, dont on se lasse en six mois, et l'on divorce l'année suivante.
Quand vous aurez donné à une femme le nom sacré d'épouse vous devez vous consacrer à son bonheur, comme elle doit se consacrer au vôtre. Mais l'obligation qui pèse sur vous est d'autant plus grande que votre femme est une créature plus faible, et que vous lui devez, comme étant le plus fort, le bon exemple et toutes sortes de secours.
La virginité de l'épouse est le pain quotidien du mariage ; la virginité virile en est la perle rare.
Une épouse vertueuse, un époux respecté sont tout l'un pour l'autre, parents et amis, richesse, amour, existence.
Une épouse raisonnable, loin de dominer son mari, ne doit s'attacher qu'à le faire valoir. La femme qui se conduit autrement est le fléau de celui dont elle est la compagne.
Une épouse et des enfants sont les racines qui nous attachent et nous fixent sur la terre.
L'épouse qui aime son mari, et qui chérit ses enfants, fait l'ornement de sa maison.
La tendresse qu'inspirent une épouse et des enfants est une leçon continuelle d'humanité.
La compagnie d'une épouse aimante, active, spirituelle et gracieuse embellit tout.
Ne choisir pour son épouse que la femme qu'on choisirait pour ami si elle était homme.
Une vraie épouse personnifie tout le sexe masculin dans son mari ; un bon époux voit tout le sexe féminin dans sa femme ; et par cet admirable artifice de la nature, il peut y avoir des myriades de ménages heureux, et chaque famille peut se sentir un abrégé du monde.
Le plus doux des repos, s'endormir dans les bras de l'épouse que l'on aime.
Choisissez votre future épouse avec vos oreilles et non pas avec vos yeux.
Fallope : Épouse d'un mari trompé qui, de plus, a perdu son dentier.
Choisis une femme qui soit aussi bien ton amie que ton épouse.
Que ton épouse te soit comme un ange tutélaire ; qu'elle t'éloigne de tout ce qui est bas pour t'élever à tout ce qui est noble. Dans tout ce que tu entreprendras, cherche à mériter son approbation, afin que sa belle âme jouisse de t'avoir pour époux ; honore-la non pas devant les hommes, ce qui est peu important, mais aux yeux de Dieu qui voit tout.
Ne sois pas trop crédule à tout ce que déclame contre tes serviteurs une épouse en courroux : On déplaît souvent à la femme pour avoir le malheur de trop plaire à l'époux.
Si une épouse manque au premier devoir du mariage, c'est à dire, à la foi conjugale, quand même elle aurait tous les autres mérites, c'est comme si elle n'en avait aucun.
Je suis fille noble, et de ce sang jalouse : Trop pour la concubine, et trop peu pour l'épouse !
S'il est une personne qui ne devrait être surprise du succès d'un homme, c'est bien son épouse !
Une jolie épouse est une retraite décente.
Ne choisissez jamais pour épouse celle qui aura été gâtée par ses parents. Une fille à qui on aura laissé faire toutes ses volontés, fera presque toujours une femme très indocile, pleine de fantaisies et de caprices qui feront le supplice et le malheur de son mari.
On ne refuse rien à l'épouse qu'on aime.
Épouse : Femme qui a un bel avenir de bonheur derrière elle.
La jalousie d'une épouse est une bourrasque d'où sort l'ouragan.
La femme mariée est un esclave qu'il faut savoir mettre sur un trône.
La femme mariée la plus chaste peut être aussi la plus voluptueuse.
Si ton épouse est petite, penche-toi vers elle.