L'homme vieillit, le coeur ne vieillit pas ; une famille s'appauvrit, les actions ne s'appauvrissent pas.
Opprimer un faible, c'est l'enrichir ; donner au riche, c'est s'appauvrir.
Le superflu appauvrit en prenant sur le nécessaire.
Quand le paysan trop reste au lit, la terre souffre et s'appauvrit.
Qui se fie à ses valets s'appauvrit au point de devenir valet lui-même.
Le paysan qui ne sait guère à bientôt appauvri sa terre ; mais, par les soins d'un homme instruit, en produisant elle enrichit.
La charité n'a jamais appauvri.
Donner pour Dieu n'appauvrit homme.
L'ordre enrichit, il agrandit le plus petit espace ; le désordre appauvrit, rétrécit tout.
Tel frais te semble bien petit, et la maison s'en appauvrit.
S'il sait peu, le paysan appauvrit et famille et terre.
Le lever matin enrichit, et le lever tard appauvrit.
Le sage, quoique appauvri, reste fort ; l'homme vulgaire, s'il est appauvri, aussitôt devient vicieux.
Neige huit jours terre nourrit, mais au-delà terre appauvrit.
Donner l'aumône n'appauvrit personne.
Bon domaine et mauvais fermier appauvrissent l'héritier.
L'aumône n'a jamais appauvri personne.
La générosité n'appauvrit personne.
Don aux pauvres n'appauvrit pas.
L'aumône n'appauvrit personne, ne dites jamais non au pauvre.
Le jeu, la femme et le vin friand, appauvrissent l'homme en riant.