Les proverbes sur fumier.

Le fumier n'est pas un saint, mais où il tombe il fait miracle.

Chaque coq chante sur son fumier.

L'orgueilleux est hardi comme un coq sur son fumier.

Rosées de printemps pour les herbes valent fumier.

Le sol jamais ne s'appauvrit, tant que le fumier l'enrichit.

Fumier de fougère, cueillette légère.

Pour deux coqs il n'y a pas assez de place sur le fumier.

Le fumier couvert d'or reste toujours du fumier.

Deux fruits sur un fumier, récompensent le fermier.

Fumier qui porte un fruit, perd la moitié de son prix.

Un pré nourrit le bétail ; le bétail donne du fumier ; le fumier, du grain, et le grain, de l'argent.

Une poignée de paille donne une pelletée de fumier qui produit quatre jointées de blé.

Qui chaule sans fumier se ruine sans y penser.

Un coq est bien fort sur son fumier.

Enlevez le fumier devant votre porte, avant de balayer devant la mienne.

Plus on remue le fumier, plus il sent mauvais.

Doublez votre fumier, vous doublez votre champ.

L'œil du maître est le meilleur fumier du champ.

Sans fumier il n'est pas de bonnes terres.

Dans le fumier et dans l'urine, tout se développe, tout se nourrit.

Pluie de février vaut jus de fumier.

Plus met-on paille en l'étable, et plus il y a du fumier.

Qui vend son fumier vend son pain.

Prodigue de fumier, riche de paille, gueux de blé.

Labour d'été vaut fumier.

Goémon pourri et fumier moisi conduisent le paysan à la mendicité.

Le fumier fait venir le grain qui nourrit le monde et remplit le gousset.

Avec les prairies on nourrit le bétail, le bétail donne du fumier, et le fumier donne du blé.

Neige avant Noël vaut fumier dans le champ de seigle.

Où il y a du fumier plein la cour, il y a plus d'une miche de pain sur la table.

Pluie de février, c'est du fumier.

Du même bois on fait la croix et la pelle à fumier.

Deux moineaux se querellaient pour le fumier d'autrui.

S'il tonne en février, il faut jeter les fûts sur le fumier.

Avec du fumier on ne connaît pas de mauvaises terres.