La société des hommes est une mer orageuse où chacun y vogue pour ses propres intérêts,
La plus belle et la plus solide des sociétés est celle des gens de bien qui sont de mœurs semblables et unis par l'amitié.
Une société n'est bonne que si elle ressemble à une famille bien unie.
On est plus aimable et de meilleure société par le cœur que par l'esprit.
La société avec les livres vaut mieux que la société avec des sots.
L'homme prudent ne redoute rien plus que la société de son voisin.
La société des hommes est une mer infidèle, et plus orageuse que la mer même.
La discrétion est le bon ton de la société et le préservatif du repentir.
On ne fait société qu'avec des gens de son sabot (de son espèce).
L'eau trop claire est sans poissons : l'homme trop clairvoyant est sans société.
La société d'un véritable ami, la dévotion envers Késava, et les ablutions dans l'eau du Gange, voilà, dans ce monde insipide, trois choses excellentes, et qu'il faut conserver.
L'arbre empoisonné de cette vie produit deux fruits délicieux : la jouissance que donnent les douceurs de la poésie, et la société des gens de bien.
Ne t'éloigne pas de la société, si mauvaise qu'elle soit ; en vivant loin du monde, tes mœurs prendraient des formes sauvages : la colombe des oasis est à moitié privée.
Ne t'éloigne pas du monde parce que les hommes sont méchants : nous sommes faits pour vivre en société ; il faut savoir en supporter les vices, et tirer parti des avantages qu'elle procure.
Ne fréquente pas les mauvaises sociétés ; tôt ou tard elles te seraient nuisibles. Celui qui craint les fièvres malignes n'habite ni les bords des rivières, ni les lieux marécageux.
La société fourmille d'hypocrites par jalousie ou par envie.
Le devoir de l'homme est d'éclairer la société, et non de la maudire.
L'homme sociable n'est pas toujours social.
Dans la société des fous le plus fou est roi.
Il n'y a pas de société sans lois communes.
L'homme est né pour la société comme l'abeille, de là dérivent ses devoirs et ses droits.
Il n'y a pas société partout où la volonté d'un seul fait loi.
La loi est la prudence des sociétés.
Il n'y a de bonne société qu'entre gens de bonne compagnie.
La société est comme une voûte dont l'autorité est la clef.
Il n'y a pas de société sans devoirs réciproques entre les membres qui la composent.
Les gens d'esprit sont bien plus souvent en dehors de la société qu'à la tête.
Pour rendre votre société supportable, ne parlez que très peu de vous-même.
La société en général est devenue une grande cour.
Renonce à la société si ne tu veux rencontrer que des gens exempts de défauts.
Tout ce qui tranquillise ou fait taire la conscience nuit à la société.
Il n'y a pas de société sans loi.
Passe ton chemin, parmi la société de tes semblables, sans attirer ni éviter leurs regards.
Place-toi dans la société plutôt au-dessous qu'au-dessus de ton mérite.
La société enseigne à autrui ce qu'il sait.