Il est aisé de ramasser les jolis coquillages que la mer jette sur ses magnifiques rivages, mais il est fort difficile de plonger au fond de l'Océan pour en récolter le corail, ou pour y chercher les conques qui donnent les perles.(Sentence orientale)
La mer n'a pas de bornes ; le Kiang (fleuve chinois) n'a pas de fond.
Louez la mer, mais tenez-vous sur le rivage.
L'eau coule toujours vers la mer.
Qui s'embarque seul sur la mer court danger de se noyer
On connaît le marin quand survient la tempête.
Le bateau va mal sans gouvernail.
Il faut naviguer d'après le vent.
Là où un océan sans bornes agite l'immensité de ses flots, une goutte de rosée, produite par la fraîcheur de la nuit, peut-elle prétendre à être aperçue ?
Il faut louer la mer et se tenir en terre.
Si tu as recueilli les perles de l'Océan de la sagesse, répands-les sur les humbles.
Ne fais rien étant en colère ! Pourquoi sortir en mer pendant la tempête ?
À l'impossible autant vouloir essayer de sécher la mer avec des éponges.
Il faut avoir navigué soi-même sur la mer agitée pour en connaître les dangers.
Il en est de la cour comme de la mer ; le vent qu'il y fait décide de tout.
Celui qui a bu la mer peut boire le Rhône.
Il ne faut qu'un petit trou pour noyer le plus grand navire qui soit sur la mer.
C'est un homme âgé, il se souvient du creusement de la mer.
Vantez la mer, mais restez à terre.
Qui craint l'eau et le vent, ne se risque pas sur l'Océan.
Tout impôt des digues embrasse les terrains que la mer menace.
Les endigueurs contre la mer, votent la loi de leur polder.
Le vent de mer et l'air salin poussent la haie sur le voisin.
Il est prudent d'avoir deux ancres pour maintenir son vaisseau.
Vaisseau en mer qui prend eau, est moins maison sûre que tombeau.
On ne peut pénétrer les profondeurs de l'Océan pour avoir ramassé quelques coquilles sur le rivage.
Le navire qui n'obéit point au gouvernail obéira sûrement à l'écueil.
Mauvaise réputation va jusqu'à la mer ; bonne réputation reste au seuil de la porte.
Si traîtresse que soit la mer, plus traîtresses les femmes.
Qui veut faire son chemin, suive la cour, l'église, ou la mer.
Plus la mer est agitée, plus elle donne d'écume.