Nul n'est plus chanceux que celui qui croit à sa chance.
Il y a des gens chanceux qui voient leur vie se transformer soudain comme si elle avait été touchée d'une baguette magique ; ils gagnent une fortune au casino ou à la loterie ; ils achètent pour une bouchée de pain un champ de pétrole ; ils ont une idée — une seule petite idée en quatre-vingts ans de vie — qui les métamorphose en millionnaires.
Ce que le chanceux n'a pas mérité est un cadeau, un sourire du destin.
L'homme chanceux est heureux parce que tout lui réussit, et non parce qu'il réussit.
L'existence est comme le jeu : finalement les gains et les pertes s'équilibrent à peu près. Evidemment il y a des joueurs chanceux et des joueurs malheureux, mais c'est l'exception.
Les hommes croient toujours que le malheur n'est pas pour eux : chacun espère avoir la chance de Métellus, comme s'il y avait forcément plus de gens chanceux que malchanceux ; comme si l'on pouvait être assuré de quoi que ce soit ici-bas ; comme si l'espérance était une attitude plus sage que la peur.
Les chanceux, en dépit du grand âge, conservent toute leur clarté d'esprit.
Il faut être bien chanceux ou bien adroit pour ne pas se crotter un peu dans le chemin de la vie.
La vie est un jeu, et quand on n'est pas chanceux il faut être beau joueur.
De tous les moyens de parvenir, le savoir est le plus chanceux.
On est chanceux ou on ne l'est pas.
Il n'y a pas de paysan chanceux, il n'y a que des paysans laborieux.
Il est toujours chanceux de compter sur les métamorphoses du cœur, et sur les conversions.
On ne se rend pas chanceux, on l'est ou on ne l'est pas.
Les hommes les plus chanceux sont ceux qui ont su provoquer la chance.
Plus tu travailles dur, plus tu es chanceux.
Nul n'est moins chanceux que le pauvre.