Une épouse qui plaisante sur sa belle-mère donne bien des torts à son mari, et vice versa.
Proverbe chinois ; Le livre de la sagesse chinoise (1876)
L'homme bien éduqué, s'il plaisante, il ne plaisante qu'à propos ; parce qu'il sait qu'il n'y a rien de plus fatigant qu'une continuelle plaisanterie ; que dans le monde on traite les plaisants de profession comme les menteurs ; qu'on ne les croit ni les uns ni les autres ; et que la gausserie y est aussi suspecte que le mensonge.(Maxime de la sagesse populaire)
Une épouse qui plaisante sur sa belle-mère donne bien des torts à son mari, et vice versa.
À plaisanter sans cesse, à la fin on se lasse.
Une plaisanterie amère est le poison de l'amitié, et celui qui ne peut retenir sa langue vivra dans la peine.
On souffre la plaisanterie et on abhorre le plaisant.
En jouant et plaisantant on dit à plusieurs la vérité.
La plaisanterie est une arme à deux pointes et deux tranchants.
Qui plaisante toujours n'est jamais pris au sérieux.
Pour les esprits légers la plaisanterie est toujours de saison.
Il faut se défendre du goût que l'on trouve à la plaisanterie.
Il n'y a que l'enfer qui insulte aux malheureux par des plaisanteries.
Il ne faut hasarder la plaisanterie la plus douce qu'avec des gens d'esprit.
Ne plaisantez jamais qu'avec les gens d'esprit.
Il ne faut jamais plaisanter de la religion ni des malheureux.
Les sots prennent au sérieux ce qu'on leur dit en plaisantant.
Plaisante modérément, car il est nécessaire dans la vie d'être sérieux.
Il faut être avare de plaisanterie comme il faut l'être de sel.
La plaisanterie ne doit jamais se pousser jusqu'à l'offense.
Il faut toujours plaisanter, et cacher le fond de son âme.
Au plaisanter, on connaît l'homme.
Le grand savoir s'accommode de la plaisanterie.