Chaque partage donne à mon écoute plus de sensibilité, pour accueillir l'indicible, entendre les murmures cachés d'une émotion, d'une joie, d'un chagrin ou d'un non-dit.
Savoir écouter est un rare mérite qui stimule l'esprit de celui qui parle et souvent en tient lieu à celui qui écoute.
Toute communication suppose l'alternance d'une expression et d'une écoute, sinon elle se piège dans le verbiage et le confusionnel. Il y a une foultitude de points qui seraient à redécouvrir, à étoffer, à baliser autrement que dans les pratiques habituelles, si nous voulions assainir nos relations et croître dans la rencontre avec l'autre.
L'écoute active est celle qui favorise non seulement l'expression de celui qui est en face, mais aussi celle qui lui permet surtout d'entendre ce qu'il dit. Une écoute qui favorise l'« entendre » de celui qui parle.
L'écoute active se propose sur le mode suivant : « Dans ce que vous avez dit, voici ce que j'ai entendu... » Elle permet à celui qui parle, de mieux entendre ce qu'il dit.
Être à l'écoute de nos enfants, c'est aussi être à l'écoute de nos enfances.
Entrer en relation avec l'autre, c'est tenter de créer un lien de réciprocité fait de l'expression individuelle de chacun (incluant l'écoute de soi) et de l'autre.
La demande la plus répandue au monde est celle d'une écoute, pas celle d'une réponse.
À l'écoute de ma vie j'ai entrevu des miracles, j'ai vécu mille printemps, j'ai ouvert des possibles, et dans ce puits de trésors insoupçonnés, j'ai rassemblé la mémoire éparse de mon histoire.
Les enfants ne souhaitent pas toujours de réponse à leur question, mais ils attendent une véritable écoute de leurs interrogations et de leurs inquiétudes.
Communiquer introduit un droit à la parole qui suppose l'écoute de l'autre.
Il y a très peu de gens qui ont cette capacité de posséder un don d'amour, c'est-à-dire quelque chose de l'ordre de l'attention, de l'écoute, de l'acceptation inconditionnelle à donner à l'autre, sans contrepartie.
L'écoute de l'autre donne son sens et son importance au dire.
À l'écoute de ta vie j'ai cueilli des étoiles, j'ai effacé des doutes, j'ai approché de nouvelles certitudes, et dans la profondeur de ta lumière j'ai enfoui tourments et lassitudes.
Par l'écoute active, on veille à ne pas laisser la personne s'égarer à propos de l'autre, à lui éviter de continuer à produire le même discours répétitif, accusateur, plaintif sur l'autre, mais à rester à l'écoute de ce qu'elle vit.
Oreille qu'on blesse n'est jamais de bonne écoute.
La tendresse s'appuie sur ce que j'appelle l'« écoute active », une écoute qui ne s'arrête pas aux faits mais qui permet à celui qui parle de dire son ressenti, d'oser s'exprimer sur ce qu'il éprouve sans se sentir critiqué ou culpabilisé.
C'est dans le bleu du ciel que je t'écoute, et dans le rire des saisons que je te cherche.
Il faut avoir des oreilles pour voir ce que les yeux entendent, et rien ne peut remplacer l'écoute d'une main.
La capacité à se proposer une relation vivante suppose un engagement intime de tous les jours, associé à une vigilance, une écoute ouverte.
Respirer proche d'un être cher, être attentif à un inspir hésitant ou profond, être à l'écoute d'un expir fluide ou retenu, autant de partages possibles, pour dépasser la violence de certains silences ou l'errance des non-dits.
La non-écoute émotionnelle est souvent provoquée par la difficulté à être soi-même, par la difficulté que nous avons à nous connaître et à nous accepter, par la croyance et la conviction qu'il est très difficile voire impossible de s'améliorer, de progresser dans le domaine émotionnel.
L'écoute au conseil ne doit pas être aveugle, il est juste de se réserver la liberté de raisonner.
Les hommes n'ont pas encore compris que les lois de la nature sont le respect, l'écoute, l'harmonie et l'amour.
Le plus grand risque que nous prenons face à une écoute authentique, c'est d'être enfin entendus !