La prière d'une mère a le pouvoir de sauver son enfant, fût-il au fond de l'Océan.
Citation de la Russie ; Les proverbes et locutions russes (1954)
La prière d'une mère a le pouvoir de sauver son enfant, fût-il au fond de l'Océan.
Tout ce que nous pouvons pour nos enfants, c'est de bien choisir leur mère.
Les mères s'associent plus volontiers aux rêves de leurs enfants qu'aux labeurs de leur mari.
L'amour de la mère pour ses enfants ressemble par bien des côtés à celui de l'homme pour la femme qui lui est chère. Il y a chez tous les deux un sentiment très doux de protection et d'autorité.
Beaucoup de mères aiment leurs enfants comme les petites filles aiment leurs poupées.
Une mère, incapable de manger le pain de la paresse, le miel de la charité découle de ses lèvres, sa bouche ne s'ouvre que pour des paroles sages, et ses enfants la bénissent dès le matin.
La consolation d'une mère calme la révolte du cœur irrité de son enfant.
Le baiser d'une mère réchauffe le front glacé de désespoir de son enfant.
Si la mère, par son lait, fournit aux premiers développements du corps ; si, par sa tendresse vigilante et ses caresses de tous les jours, elle forme le cœur aux épanchements les plus doux, les premiers regards de l'enfant sont pour sa mère ; et l'enseignement de la vie débute ainsi par l'exercice de l'amour filial.
Les mères ont beau s'en défendre, rien ne les humilie tant que d'avoir un fils à qui le monde reproche d'être trop sage. C'est un affront qu'on leur fait et qu'elles ont peine à digérer.
L'amour d'une mère pour son enfant, c'est le symbole terrestre et touchant de l'amour de Dieu pour l'humanité.
L'amour vigilant et protecteur d'une mère s'attache à la vie de son enfant comme un parfum.
Une mère gratte le sol avec ses dents pour trouver à son enfant de quoi bouffer.
On est parvenu à donner la vie à des enfants sans père, mais jamais sans mère.
Le meilleur lait pour un enfant, c'est le lait provenant de sa mère.
L'amour d'une mère pour ses enfants est donné sans contrepartie.
Un papa, c'est une présence rassurante, chaleureuse, bienveillante, à la fois pour la maman et pour l'enfant.
Lorsque l'esprit s'éclaire le cœur devient meilleur ; l'épouse doit être plus vertueuse, la mère plus tendre, elle doit presser avec plus d'amour sur son sein l'enfant chéri qui vient d'entrer dans la vie.
À la beauté de la vierge qui inspire l'amour succède la beauté de l'épouse qui commande la vénération ; la gravité des traits, la majesté de la démarche, la sévérité du langage, dénoncent les qualités de l'âme unies aux agréments du corps ; aussi n'est-il point de beauté plus sublime que celle d'une mère allaitant son enfant.
L'amour d'une femme pour un homme doit ressembler à la tendresse d'une mère pour son enfant.
La tendresse d'une mère pour son enfant commence à l'instant même où son enfant voit le jour. Mais à mesure que l'enfant grandit, la mère s'attache à lui par tous les liens qui peuvent unir une âme à une autre. Elle l'aime pour les grâces qu'il a réellement, et pour celles qu'elle lui suppose ; elle l'aime pour le bonheur qu'il lui donne, et pour les soins et pour les peines qu'il lui a coûtés ; elle l'aime quelquefois pour ses défauts, ou pour ses souffrances ; elle aime en lui l'image vivante et embellie du père de famille ; elle l'aime comme la consolation et la gloire de son avenir.
La mère doit se considérer comme le soleil de son enfant, astre immuable et toujours rayonnant.
La maternité est tellement supérieure à la paternité, que je voudrais être la mère et non le père de mes enfants.
Les plus grands philosophes ont de la peine à lire dans le cœur humain, et le plus petit enfant sait lire couramment dans le cœur de sa mère.
Une mère pleure en secret du châtiment qu'elle a dû infliger à son enfant.
Un Dieu créa dans nos misères les baisers des enfants pour les larmes des mères.
Rien ne protège mieux un enfant que la bonne réputation de sa mère.
Une mère donne avec le lait à son fils la première leçon de reconnaissance.
Pour mieux vous guider sur la route éphémère, enfants, le Seigneur vous dota d'une mère.
L'amour de certaines mères est comme une corde passée au cou de l'enfant : au moindre mouvement de celui-ci vers la vie, le nœud coulant se resserre.