Quand on en appelle à notre bon sens, il semble qu'on en appelle à notre conscience, tant est fort le lien de parenté.
Citation de Anne Barratin ; Chemin faisant (1894)
Quand on en appelle à notre bon sens, il semble qu'on en appelle à notre conscience, tant est fort le lien de parenté.
Tous les liens du sang et de la parenté valent-ils de deux cœurs la douce intimité ?
Il n'est ni parenté ni si proche alliance qui vaille d'un bon cœur la douce bienveillance.
Quand on en appelle à notre bon sens, il semble qu'on en appelle à notre conscience, tant est fort le lien de parenté.
Le rapport des caractères forme la parenté la plus intime.
Chaque chose a plusieurs biais et plusieurs lustres. La parenté, les anciennes accointances et amitiés saisissent notre imagination et la passionnent pour l'heure, selon leur condition ; mais le contour en est si brusque, qu'il nous échappe.
La parenté n'est rien, ce sont les faits qui comptent ! et l'on aime plus justement son père, s'il a été bon et dévoué pour vous, que simplement parce qu'il est votre père.
C'est un lien fort que la parenté et l'habitude de vivre ensemble.
Que les liens de l'affection vous attachent à vos frères, afin que la paix, qui produit tous les biens, se conserve dans la maison paternelle. Quand vous vous séparerez dans le monde, souvenez-vous que la parenté qui vous lie, exige de vous un amour et une union réciproques, et ne préférez pas un étranger à votre propre sang.
Les amis réparent un peu les chagrins que cause la parenté, ce sont eux qui rendent le courage qu'usent les relations du sang.
Il est peu de cousins qui n'aiment point leurs jolies cousines : Dans cette parenté sans conséquence, il y a presque toujours un danger sérieux ; l'habitude de se voir le fait naître, et l'occasion de se rencontrer le rend menaçant.
Il existe une politesse du cœur, elle est parente de l'amour, c'est d'elle que naissent les manières les plus aisées dans la société.