L'essentiel n'est pas de vivre, mais de bien vivre,disait Victor Cherbuliez. Un écrivain, poète et journaliste français, Raoul Follereau, a écrit :
Le jour où l'homme cessera d'être un loup pour l'homme, il n'y aura plus de famine, de taudis ni de guerre, plus d'enfants sans amour, de vieillards sans foyer, tous ceux qui vivront auront le droit de vivre.
Quand l'homme n'a plus aucune bonne raison de vivre, il cherche encore des prétextes.
Il faut vivre comme on pense, sinon tôt ou tard, on finit par penser comme on a vécu.
Il faut vivre au jour le jour, prendre le temps comme il vient et garder soigneusement pour soi ses petites pensées, ses petits souvenirs, comme une ressource pour les heures de solitude. Aussi quand tu me feras l'honneur de me tenir compagnie, les sujets de conversation ne nous manqueront pas.
Le meilleur moyen de bien vivre est de vivre bien.
Voulez-vous vivre ? Ne poursuivez exclusivement ni la gloire, ni la volupté, ni la richesse, ni la science. Vous êtes omnivore, morbleu ! mordez à tout, selon vos moyens.
Pour l'homme social, vivre, c'est se dépenser plus ou moins vite.
Si nous vivons avec des objectifs précis, nous vivons pour une minute, pour une heure, pour une journée au lieu de vivre chaque minute, chaque heure, chaque journée.
Tandis que les médecins veulent allonger la vie, les hommes veulent l'élargir en y faisant tenir de plus en plus de choses : vivre vite, c'est duper le sort, c'est vivre plusieurs fois.
Une souris vit d'un grain de blé, l'homme de moins encore, d'une espérance.
Il y a des gens qui vivent activement au moral, tout en menant une vie très immobile en apparence, tandis que d'autres qui croient vivre, ne font que remuer.
On ne peut pas vivre pour tout le monde, surtout pour ceux avec lesquels on ne voudrait pas vivre.
À quoi me sert d'être aimant ? À quoi bon vivre très longtemps ? Cela m'épouvante : vivre peu est encore trop, pour qui souffre.
Après avoir vécu tant bien que mal, il n'est pas désagréable d'employer quelques dix années à regarder vivre les autres, en riant sous cape de leurs sottises, et en se disant : Je n'en fais plus, mais je les comprends toutes.
Il faut du courage pour vivre ; il en faut davantage pour s'ôter la vie.
Avoir une vie double, c'est vivre doublement. On est un homme multiplié par deux.
Vigoureusement aimer, c'est vigoureusement vivre.
Ceux qui doivent vivre de leur plume ont la plume nécessairement bridée.
Tout s'apprend, surtout l'art de vivre.
Pour vivre, tout a besoin d'amour et de soins l'homme, le nid, la plante, la vertu.
Il faut toujours vivre au-dessus de ses moyens, c'est une excellente philosophie, une excellente maxime de vie.
Savoir vieillir est le chef-d'œuvre de la sagesse et l'une des plus difficiles parties du grand art de vivre.
On apprend à nager comme on apprend à peindre, mais il est un art qui ne se laisse ni apprendre, ni enseigner, parce qu'il n'a point de règles certaines : on l'appelle l'art de vivre.
L'habitude de vivre seul diminue la fidélité aux sentiments et augmente la fidélité aux idées.
L'essentiel n'est pas de vivre, mais de bien vivre.
À force de se regarder vivre, on ne vit plus.
Il y en a qui pensent que vivre, c'est donner des coups et en recevoir.
Le monde est plein de gens qui vivent avec ravissement hors d'eux-mêmes, par la bonne raison qu'ils n'ont pas de chez eux.
L'art de vivre consiste à sacrifier une passion basse à une passion plus haute.
L'homme ne vivra pas mieux ni plus longtemps parce qu'il a gagné quelques centièmes de seconde au cent mètres.
J'ai besoin de desserrer la courroie, de vivre pleinement, de nager en pleine eau, de courir en pleine carrière, de m'abandonner à l'élan, à l'entrain, à la nature généreuse, d'inventer, d'espérer, d'aspirer l'air libre, de redevenir un peu sauvage, un peu nature, un peu désordre, mais richesse ; j'en ai assez de ma discipline, de mon cilice, de mes pas comptés et de ma règle inflexible.
On meurt souvent pour n'avoir plus pensé à vivre.
Vivre ou ne pas vivre ne regarde que soi.
Il n'est rien de plus désirable, ni de plus délicieux, que de vivre avec ceux qu'on aime.
La vie, on doit savoir la vivre, et si on doit partir, partons.
Je n'en peux plus de toi, laisse-moi vivre ma vie.
Mieux vaut vivre un seul jour de la vie d'un lion que cent ans de la vie d'une brebis !
Le moment cardinal de la vie est celui où l'on ne cherche plus de raison de vivre.
Quelle folie que de se mêler à la vie, sans pour cela vivre vraiment.
Vivre sans amour n'est pas vivre, et vivre dans l'amour sans souffrir est impossible.
Vivre selon mon bon plaisir, ou ne pas vivre du tout : c'est là ce que je veux.
J'apprends à vivre, c'est rudement coton. Je crois que si je passais un examen aujourd'hui, je me ferais recaler !
Vivre à même l'éternité, c'est vivre au jour le jour.
Vivre est une aventure. Chaque être humain, dès l'enfance, dès l'école, à l'adolescence, âge des grandes aspirations et des grandes révoltes, au moment de faire des grands choix de vie, amour, famille, travail, et à tout âge et jusqu'à la fin de vie, rencontre le risque d'erreur et d'illusion, de connaissance partielle ou partiale.
Vivre s'apprend par ses propres expériences avec l'aide d'abord des parents, puis des éducateurs, mais aussi par les livres, la poésie, les rencontres. Vivre, c'est vivre en tant qu'individu affrontant les problèmes de sa vie personnelle, c'est vivre en tant que citoyen de sa nation, c'est vivre aussi dans son appartenance à l'humain.
Vivre, c'est aller vers la mort en la combattant.
Si je ne puis vivre avec vous pour vous, je vivrai pour vous sans vous.
Pour savoir ce que c'est que le bonheur, il faut aimer, il faut vivre dans les autres.
Vivre, c'est lutter contre ce qui empêche de vivre.
Vous vivrez toujours bien avec certaines personnes, tant que vous n'aurez rien à leur demander.
Ne vivre que pour soi, c'est être vraiment mort pour les autres.
Vivez pour un autre, si vous voulez que l'on vive pour vous?