Les 34 pensées et citations sur racisme :
Une éducation qui n'apprend pas à vieillir fabrique des monstres : des jeunes avilis par le racisme de leur âge.
Je suis très exactement le contraire d'un raciste parce que je crois à l'individu. Je crois à des individus supérieurs et à des individus inférieurs. Le sexe n'a rien à y voir, non plus que la couleur de la peau.
On est raciste quand on aime ou qu'on hait quelqu'un non pour ses vertus, pour ce qu'il s'est fait lui-même, pour ce dont il est responsable enfin, mais pour ce dont il n'est pas responsable, c'est-à-dire l'endroit où le ciel l'a jeté.
Il y a racisme dès que l'on considère que ce que l'on était à sa naissance doit vous coller à la peau toute votre vie, comme une malédiction ou un privilège.
La xénophobie et le racisme, ce ne sont pas des passions qui m'habitent. Je n'y penserais même jamais si je n'entendais à tout bout de champ des voix tragiques m'expliquant que c'est un grand crime de mépriser ou de persécuter des hommes qui n'ont pas ma couleur de peau ou ma religion.
Le racisme n'a jamais été plus violent que de nos jours. Les immigrés n'en sont pas les seules victimes.
Si les Français rejettent les travailleurs immigrés, ce n'est pas par racisme, comme le clament les démagogues, mais parce qu'ils sentent au fond d'eux-mêmes qu'un peuple obligé d'importer un prolétariat ne se porte pas bien. Le prolétariat est le sel d'une nation, son réservoir d'énergie, son avenir, son âme même.
Il existe des racistes bronzés comme il y a des prêtres qui ne croient pas en Dieu.
Si les dermatologues étaient plus compétents, le racisme aurait disparu depuis longtemps.
J'aimerais les gens de gauche s'ils ne succombaient pas autant au racisme anti-droite !
Haine : Plus répandue que le racisme, plus universelle que la xénophobie : la haine des autres qui ne puise ses racines que dans l'amour aveugle de soi.
Racisme : Solution de facilité qui n'exige qu'un coup d'œil pour choisir ceux qu'on haïra.
Racisme : Ce qui me désespère et me rassure à la fois dans toutes ses manifestations, c'est que la victime n'attend que le moment de devenir à son tour bourreau.
Que devrait être un antiracisme bien compris ? Une sagesse de la cohabitation, une séduction de la diversité quand des individus, de toutes origines, se côtoient dans un même espace. Mais aussi une intelligence du discernement capable de distinguer ce qui relève de la vexation et ce qui ressort de la liberté d'expression.
Il n'y a plus de races sinon celle, proliférante, des racistes qui pullulent comme vermine à rééduquer.
Très souvent, le raciste s'aime beaucoup. Il s'aime tellement qu'il n'a plus de place dans son cœur pour les autres, d'où son égoïsme.
Les discours racistes sont tous les mêmes : de la haine, de l'arrogance et un immense complexe d'infériorité qui cherche à se combler par la mort et les massacres.
L'ignorance et la peur sont ce qui suscite, provoque, fonde le racisme et l'intolérance.
Je n'aime ni l'injustice, ni le mensonge, ni les racistes, ni les snobs.
Le raciste est celui qui pense que tout ce qui est trop différent de lui le menace dans sa tranquillité.
Le racisme est bien l'infirmité la plus répugnante parmi les diverses laideurs de l'humanité.
L'avarice ou le racisme, n'est qu'un baume sécrété pour guérir nos plaies intérieures.
Le racisme est une manière de déléguer à l'autre le dégoût qu'on a de soi-même.
Le racisme quand il ne tue pas tend à blesser l'être dans ce qu'il a de plus profond.
Je suis un antiraciste militant, certes, mais il est néanmoins inenvisageable de me glisser dans la robe d'avocat des tueurs jihadistes qui assassinent aveuglement des êtres humains n'ayant commis d'autre crime que d'être nés.
La préoccupation constante de tout l'enseignement devrait être d'apprendre aux enfants la tolérance, le rejet du fanatisme, et de leur expliquer les mécanismes du racisme. Bref, il faudrait mettre sur pied une pédagogie ambitieuse pour lutter efficacement contre les dérives qui mènent au terrorisme.
Le racisme, c'est la leucémie du monde.
Le racisme engendre le racisme comme la putréfaction le ver.
Tous les racistes ont un bon ami africain. Ils ne sont pas débiles. Ils savent qu'au cas par cas, il faut toujours des exceptions.
Le raciste est quelqu'un qui souffre d'un complexe d'infériorité ou de supériorité.
Les messieurs dames du demi-monde ne sont que des demi-portions mondiales.
J'adhérerai à SOS-Racisme quand ils mettront un S à Racisme. Il y a des racistes noirs, arabes, juifs, chinois, et même des ocre-crème et des anthracite-argenté. Mais à SOS-Machin, ils ne fustigent que le Berrichon de base ou le Parisien-baguette. C'est sectaire.
L'Ecole Normale Supérieure, ou Normal Sup, ne prend son sens véritable que par rapport à l'Ecole anormale inférieure, ou anormale inf, d'où sont sortis les lauréats du génocide, du racisme et du totalitarisme.
Il est presque normal d'être raciste, mais il est criminel de le demeurer.