Si les Français rejettent les travailleurs immigrés, ce n'est pas par racisme, comme le clament les démagogues, mais parce qu'ils sentent au fond d'eux-mêmes qu'un peuple obligé d'importer un prolétariat ne se porte pas bien. Le prolétariat est le sel d'une nation, son réservoir d'énergie, son avenir, son âme même.