Heureux celui qui se sauve de sa propre malice.
Femme et châtaigne, belle en dehors et dedans la malice.
Noix, filles et châtaignes, les hardes couvrent la malice.
L'accusation devient preuve, où la malice et le pouvoir sont juges.
La franchise de la vanité fait sourire la malice.
Un homme louche n'est jamais pur de malice.
L'hypocrisie cache sa malice sous des apparences de bonté.
Vieille qui boit, qui rit et danse, fait que la jeune malice pense.
Qui sait quand et comme il faut, malice si au devoir faut.
Peu railler n'est pas un vice, et beaucoup passe pour malice.
N'est malice, comme celle de femme, d'esprit ou de mauvaise âme.
Le destin avec une active malice accumule les malheurs sur ceux qu'une fois il a frappé.
La malice engendre son propre supplice.
Une personne habile et intelligente déjoue les malices et se tire toujours d'affaire.
Plus la malice vieillit, plus elle a de finesse.
La malice est double qui se couvre d'une feinte.
Quand commères s'emmalicent (s'insultent) les vérités se découvrent.
Les larmes des femmes sont des fontaines de malice.
La malice et la ruse l'emportent souvent sur la force.
La malice est comme la rouille qui reparaît toujours.
Plus la malice des ennemis est cachée, plus on doit s'en méfier.
Qui dit fin dit fripon.
Homme ne connaît mieux la malice qu'un abbé qui a été moine.
Une larme de femme est un assaisonnement de malice.
Jamais la sottise ne fut sans malice.
L'homme malicieux porte des habits d'emprunt.
Le méchant s'inquiète dans sa malice, le juste espère jusque dans la mort.
Toute plaie est dans la tristesse du coeur, et toute la malice est dans la malice de la femme.
La malice peut bien obscurcir la vérité, mais elle ne peut l'atteindre.
Sagesse ne s'apprend pas dans les livres toujours ; malice s'apprend tous les jours.
La malice revêt souvent le manteau de la sagesse.
Où manque la police, abonde la malice.
Si la malice dépasse mon ami, elle gâche l'amitié.
L'âge vient avec la malice.