Il n'y a presque aucuns obstacles qu'un homme courageux ne puisse vaincre ; il n'y a si petite difficulté devant laquelle un lâche ne succombe. Un homme résolu attend le loup pour savoir s'il est aussi gros qu'on le dit ; l'homme peureux fuit rien qu'en apercevant de loin l'ombre du loup.
Qui laisse sa brebis à l'abandon, le loup la dévore.
Entre le berger et le loup, l'agneau dépérit.
Un loup n'engendre point de moutons.
Pendant que le loup hésite, l'escargot lui grimpe sur la queue.
Le loup aime le temps brumeux, il part en chasse au crépuscule.
Le loup enlève des brebis, lors-même qu'il est à l'article de la mort.
On ne rebouche pas le trou, que dans un parc a fait le loup.
Ne nous faisons pas plus bête que le loup qui nous mange.
Ce qui doit devenir loup ne deviendra pas renard.
Les brebis, sans berger, sont à la merci des loups.
Fais-toi bête, et tu verras que le loup te mangera.
La chouette ne loue pas la lumière, pas plus que le loup le jour.
Pour ranger les loups, il faut les marier.
Mieux vaut tuer le loup qu'être tué par le loup.
L'âme d'un loup se dissimule souvent sous la laine d'un mouton.
Les moutons fussent-ils tous comptés, le loup les enlève tout de même.
Si tu veux t'entretenir avec le loup, place ton fusil et ton chien auprès.
Le louveteau devient un loup, qu'il soit élevé ou non parmi les hommes.
Le fils du loup ne deviendra jamais un agneau.
Le poisson ne vit pas sans eau, ni le loup sans forêt.
Où le loup trouve un agneau, il y en cherche un nouveau.
Le cheval sur ses gardes ne sera pas mangé du loup.
Apprivoise le loup, il rêvera toujours à la montagne et aux bois.
Un loup ne mange point un autre loup.
La mort des loups est le salut des brebis.
Ne soyons pas pires que le loup qui nous mange.
Pasteur qui trouve le loup beau n'aime pas beaucoup son troupeau.
Les chiens et les brebis se moquent du loup qui a vieilli.
Enseigne au loup le pater-noster, il répétera quand même : Agneau, agneau !
Hurle avec les loups quand les circonstances t'y forceront.
Le loup qui se fait vieux ne change pas de poil.
Le loup qui vieillit devient la risée des loups.
Le loup ne se soucie pas du nombre des brebis.
Il y a plus de bien que de mal, plus de brebis que de loups.
Qui se fait brebis le loup le mange.
La brebis sans berger sera mangée par les renards et les loups.
Les loups étant morts, les renards les remplaçaient.
Le loup affamé marche à l'aveuglette.
Où le loup a ses petits, il ne fait pas de dégâts.
Le loup devenu vieux est la risée des chiens.