Les 15 pensées et citations sur curieuse :
La plus curieuse des femmes, si elle s'amuse de celui qui parle, n'estime que celui qui se tait.
L'esprit des femmes marche d'une curieuse façon. Peut-être est-ce ces impulsions, cette violence irrationnelle qu'on appelle l'intuition féminine ?
C'est une chose étrange et curieuse à la fois, pour un homme de bon sens, l'art que les femmes déploient pour vous forcer à les tromper ; elles vous rendent hypocrites malgré vous, et puis elles vous accusent d'avoir menti, de les avoir trahies.
Le propre de l'imagination sympathique est de s'intéresser moins à l'être qu'au devenir ; elle se sent moins curieuse de la forme essentielle des choses que de leurs modalités, de leurs accidents, de leurs affections, de leurs souffrances. Pour qu'elle nous fasse vivre de la vie des choses, il faut que cette vie soit analogue à la nôtre, et c'est bien ainsi qu'elle la voit.
Que de filles se croient amoureuses, qui ne sont que curieuses !
L'homme est, pour l'observateur, une des choses les plus curieuses à examiner.
Les jeunes filles sont toujours fort curieuses d'apprendre ce que leurs mamans ont voulu ne pas ignorer.
L'ivresse vous plonge en des rêves dont les fantasmagories sont aussi curieuses que peuvent l'être celles de l'extase.
L'art de garder un secret demande de l'habileté à éluder les questions curieuses.
Le temps des hypothèses décousues et mobiles est passé, comme est passé le temps des expériences isolées et curieuses. Désormais, l'hypothèse est synthèse.
Quelqu'un qui parle comme un livre est extrêmement ennuyeux à écouter parfois, cependant, parler ainsi peut être utile, car, chose curieuse, un livre a ceci de particulier qu'il peut être interprété comme on veut.
Ô curieuses pâleurs de mes amours défuntes.
Un homme qui se mêle toujours des affaires des autres ressemble à celui qui observe trop curieusement le travail des abeilles : il en est souvent piqué pour sa curiosité.
Chose curieuse : les êtres malheureux attirent le malheur.
Âme curieuse qui souffres et vas cherchant ton paradis, plains-moi !... sinon, je te maudis !