Le propre de l'imagination sympathique est de s'intéresser moins à l'être qu'au devenir ; elle se sent moins curieuse de la forme essentielle des choses que de leurs modalités, de leurs accidents, de leurs affections, de leurs souffrances. Pour qu'elle nous fasse vivre de la vie des choses, il faut que cette vie soit analogue à la nôtre, et c'est bien ainsi qu'elle la voit.