L'ouvrier laborieux n'a pas besoin de souhaits.
Celui qui emploie un ouvrier est obligé de le payer.
Prier les jours ouvriers, ce n'est faire que bredouiller.
A l'hôpital, les bons ouvriers ; en dignité, les gros âniers.
Ouvrier payé, ouvrier sans bras.
Ouvriers non veillés, argent perdu.
Ne pas veiller sur les ouvriers c'est perdre des deniers.
Besogne terminée se paie rubis sur l'ongle à l'ouvrier.
La famine dura sept années, elle n'entra pas dans la maison d'un ouvrier.
Si l'ouvrier veut manger, il faut qu'il travaille.
Un mauvais ouvrier ne saurait trouver un bon outil.
Qui paie ses ouvriers par avance en attend longtemps la besogne.
Quatre parts pour le patron, quatre parts pour l'ouvrier.
Beaucoup d'ouvriers font une prompte besogne.
L'ouvrier se brûle la langue à la cuiller qu'il a lui-même fabriquée.
Six ouvriers font plus que trois.
Les apprentis ne sont pas maitres.
C'est au pied du mur qu'on voit le maçon.
Le travail récompense l'ouvrier.
Le samedi solde en entier la semaine de l'ouvrier.
On reconnaît le bon ouvrier à ses outils.
Les ouvrages donnent d'abord de la réputation à l'ouvrier, puis l'ouvrier en donne à ses ouvrages.
Un bon ouvrier est toujours trop mal payé.
Un bon maçon ne rejette aucune pierre.
Un ouvrier ne fait rien sans avoir les outils nécessaires avant de travailler.
Le vin donné aux ouvriers est toujours le mieux vendu.
Jour ouvrier, gagne denier ; jour de fête, dépensier.
À bon ouvrier pour gagner de quoi vivre il suffit d'un métier.
Le salaire payé d'avance rend l'ouvrier oisif.
L'ouvrier est digne de son salaire.
Qui a trouvé un bon ouvrier doit le bien payé.
Dieu est bon ouvrier, cependant il veut qu'on l'aide.
Le poisson et le riz font les bons ouvriers.
Un mauvais ouvrier accuse ses outils.
À l'ouvrier le travail, au maître le souci.
Mauvais ouvrier ne trouve jamais bon outil.
La hâche émoussée du maître coupe plus que celle de trois ouvriers.